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Si les dirigeants iraniens étaient intelligents, ils feraient
ami-ami avec le grand Satan, qui les laisserait alors développer leur
bombe, ou tout du moins ne leur mettrait pas tant de bâtons dans les
roues.
– La bombe n’est pas l’objet du conflit. Depuis trente ans l’Iran aurait pu développer une bombe et ne l’a pas fait.
Non seulement une décision religieuse l’interdit, mais l’Iran n’y a pas intérêt, car, étant à l’Est de la Palestine, il est sous le vent.
– Le conflit porte sur l’indépendance et l’existence nationale. L’Iran ne veut pas devenir ce que la France et l’Allemagne sont devenues, passées en un demi-siècle de puissances industrielles majeures et Etats respectés, à régions insignifiantes, désindustrialisées, appauvries, occupées par les pouvoirs financiers et sionistes, où les habitants natifs n’ont plus leur mot à dire et sont réprimés.
– Les principaux centres de pouvoir en Iran sont les militaires, surtout les Pasdarans dont les chefs sont un peu empâtés dans le confort mais qui dirigent bien la fabrication d’armes, les hauts religieux (mais le clergé reste dans ses mosquées) et les hommes d’affaires, souvent désignés par le terme archaïsant « Le Bazar ».
Le Bazar a voulu plusieurs fois se rapprocher des Anglo-saxons, pour renouer des relations commerciales et industrielles. Mais c’est impossible, car les Anglo-saxons veulent tout. Si les Iraniens leur laissent mettre un pied chez eux, les Anglo-saxons prendront tout ce qu’ils pourront, et placeront des larbins à la direction de l’Etat. Etant fondamentalement îliens, ils ne connaissent pas la guerre sur leur sol (le Blitz de 1940 fut très peu de chose) et se pensent invincibles. Cette mentalité rejoint le sentiment messianiste des Elus de Dieu, puritains et juifs. Etant surtout commerçants, ils ne considèrent les traités internationaux que comme des accords provisoires, révocables à tout moment. Nulle entente n’est possible.
Pour des Français patriotes, la victoire de la Russie et de l’Iran est considérée comme une condition nécessaire à la Libération.
Cela ne signifie pas qu’une confiance absolue soit à accorder à ces Etats, mais simplement que dans la situation actuelle, la France est un pays occupé par le pouvoir zanglo-ziono, dont nous devons nous libérer si nous ne voulons pas que notre pays disparaisse. Il suffit de constater qui préside aux instances politiques françaises, et quels groupes financiers ont pris le contrôle de l’économie.
Pas de parti pris ni d’idéologie : seulement des faits.
Comme toujours, il faut classer les inconvénients, et s’allier avec l’adversaire secondaire ou potentiel contre l’adversaire principal.
Et bien entendu, comme toujours, les peuples n’y sont pour rien et ne veulent que la paix, mais les puissants rivalisent.
Christian Darlot