Il n’y a pas qu’aux Etats-Unis où l’on entend des histoires de personnes contactées ou « abductés » par des Extraterrestres, en France également se joue ce scénario hors du commun. Mais si l’aventure de Marc Gakyar commence là, elle ne s’y arrête pas. Marc, au fil des ans et des contacts, devint le dépositaire de l’histoire de l’homme depuis l’aube des temps jusqu’à demain. Non pas celle racontée dans les livres scolaires, mais une version tout à fait différente, bien plus vaste et incroyable, mêlant plusieurs races extraterrestres à notre destinée, ainsi que nous dévoilant le rôle de ceux que l’on peut appeler « les illuminatis ». Découvrez ici ce qui est peut-être la véritable histoire de l’espèce humaine et surtout ce qui l’attend dans les années à venir : une transition tout à la fois dramatique et bénéfique.

Chapitres :

• Partie 1 : Le témoignage, l’histoire d’une vie mouvementée
• Prise de conscience
• Abductions en série
• Premières visions de l’avenir
• L’ère internet
• Synchronicité et coïncidences : guidé par le hasard
• L’époque récente et les visites éducatives
• Conclusion

• Partie 2 : Le Passé, l’Histoire de l’Homme et de la civilisation moderne
• Les Jardiniers
• Les débuts de la famille humaine
• Les géants humanoïdes
• L’héritage reptilien
• La colonisation de la Terre
• Guerre génétique interposée
• Le déclin
• Agriculture, élevage et civilisation
• L’écroulement Annunaki

• Partie 3 : Le Présent, l’Ordre naît du chaos
• Les lignées prophétiques
• Un héritage rectifié et malmené
• Les Illuminatis
• Intervention extérieure
• L’ère nucléaire
• Le retour des Raksasas
• La grande offensive
• L’Apocalypse financière

• Partie 4 : Le Futur, le Monde d’après
• Destruction généralisée
• La croûte terrestre malmenée
• Atmosphère modifiée, ciel chaotique
• Big One planétaire et plan des Illuminatis
• Les temps d’après
• Les abductions
• Multidimensions
• Épilogue

Les Jardiniers

Bien avant le développement de l’homme moderne, alors que la vie s’épanouissait sous d’autres formes sur notre planète, des visiteurs extraterrestres parcouraient déjà notre environnement. Ces formes de vie intelligentes ont souvent atteint de hauts degrés de civilisation bien avant nous.

N’oublions pas que notre Soleil, et la Terre à sa suite, sont des créations récentes de l’Univers. Officiellement, notre astre a seulement 4,5 milliards d’années alors que l’Univers s’est formé il y a 13 à 14 milliards d’années. De nombreuses étoiles sont donc nées, ont formé des planètes et des systèmes, des mondes se sont peuplés de vie, ont donné naissance à des formes intelligentes, puis se sont éteintes. Certaines civilisations ont vu notre Étoile naitre, la Terre s’acrétionner, les premières bactéries se répandre dans les océans primitifs alors qu’eux-mêmes avaient déjà la possibilité de voyager entre les galaxies. Il existe donc des civilisations non humaines hautement sophistiquées dans l’Univers et dans notre Galaxie en particulier, mais leur apparition n’est pas le fruit du hasard. Les premières grandes civilisations galactiques furent donc rares et éparpillées. Pendant des millions d’années, certaines furent complètement isolées, pensant être uniques en leur genre et cherchant partout, sur toute planète visitable et potentiellement habitée une autre espèce avec qui partager leur existence, leur culture, leurs interrogations sur le sens de la Vie et du Monde. Certaines parvinrent à se rencontrer, mais ce ne fut pas suffisant : l’intelligence a besoin de découvrir, et une autre civilisation est le plus formidable terrain d’apprentissage et de découverte. 

Partant de ce principe, ces civilisations primordiales décidèrent de façon unilatérale ou de concert, de favoriser l’émerge d’autres formes de vie conscientes partout où cela était possible, plutôt que d’attendre que le hasard et le temps fassent leur travail, elles décidèrent donc d’intervenir pour accélérer le développement de formes biologiques ayant un potentiel génétique pouvant déboucher sur une civilisation galactique. Ainsi les premières civilisations se mirent à parcourir l’Univers pour sélectionner, hybrider, modifier et encadrer des mondes entiers dans ce but d’agrandir leur cercle.

La Terre fait partie de ces jardins, c’est d’ailleurs un des plus prisés, car les conditions de vie sont tout à fait particulières et elles permettent à la vie de véritablement s’épanouir, comme cela s’est produit il y a 550 millions d’années. Une autre particularité de notre planète est le rythme récurrent des extinctions massives, si bien que la biodiversité explose puis disparaît de façon cyclique, permettant une évolution immensément variée, sans stagnation, chaque extinction permettant à de nouveaux modèles de vie de se développer à leur tour. Sans ces remises à zéro, les reptiles ne seraient jamais apparus, ni les mammifères et les hommes.

Les Extraterrestres Cultivateurs/Jardiniers se sont naturellement intéressés à notre monde pour les formidables opportunités qu’il offre, et il fut le berceau de plusieurs formes de vie évoluées conscientes. L’ être humain n’est pas le premier à fouler ces terres ou ces mers. Par exemple, une forme de vie intelligente de céphalopodes marins se développa avec le soutien des E.T Cultivateurs/Jardiniers pendant des millions d’années, jusqu’au jour où une extinction de masse survint, ainsi elles furent transplantées sur une autre planète aquatique, afin d’éviter leur extinction. Néanmoins, ces céphalopodes originaires de notre Planète existent toujours, ils ont continué à évoluer sur leur nouveau monde en toute sécurité. Cette notion de transplant est importante car elle montre le soin tout particulier que les espèces cultivatrices entretiennent avec les autres formes de vies conscientes. Cette méthode de transplant, afin d’éviter des extinctions face à des changements brutaux est très prisée, ainsi de très nombreuses espèces sont en réalité des transplants et ne sont pas originaires des mondes dans lesquels elles évoluent actuellement. Ce n’est pas le cas de l’homme, mais de nombreux environnements ont accueilli des réfugiés biologiques, ce qui a permis de sauvegarder et de multiplier la communauté des peuples galactiques. 

• Les espèces autochtones naturelles, celles qui sont apparues sans aucune intervention extérieure, qu’on appelle civilisations primordiales, et qui sont souvent cultivatrices.
• Les espèces autochtones artificielles, comme l’être humain, dont l’évolution a été encadrée et accélérée par les civilisations cultivatrices.
• Les espèces non endémiques artificielles, ou transplants, qui ont été déplacées soit pour les sauvegarder, soit pour inséminer des mondes primitifs.

Les Débuts de la Famille Humaine

C’est à la suite de la dernière grande extinction massive, il y a environ 65 millions d’années, que les mammifères commencèrent leur développement en s’accaparant des niches écologiques de plus en plus nombreuses et variées. Contrairement à l’idée répandue par les paléontologues dans l’esprit du public, le règne des dinosaures ne s’est pas achevé à la fin du crétacé. Certaines espèces, ce que l’on nomme les dinosaures aviens (de « oiseaux ») ont survécu et ont prospéré, tenant le haut de la pyramide alimentaire ainsi que de nombreux autres secteurs, car leur capacité d’adaptation, leur sang chaud, leur aptitude à se déplacer sur de grandes distances (pour les espèces volantes), ainsi que leur système d’oxygénation, leur donnèrent un avantage sur les mammifères.

Ce stade de développement de la vie se trouve aussi sur d’autres mondes vivants, et il existe des espèces intelligentes proches des oiseaux terrestres, ainsi que d’autres intermédiaires entre les reptiles et les dinosaures aviens.

Toutes les formes de vie de l’Univers sont fondées sur une même technique d’assemblage génétique codé par l’acide polymère et ses différentes briques, les nucléotides, qui sont des points de convergence obligés dans le grand schéma cosmique de la vie. Cette notion de nécessité est dictée par des facteurs quantiques, et l’ADN ainsi que ses 4 nucléotides sont les plus optimaux. L’ ADN est donc le seul langage commun entre toutes les formes de vie, mais si les combinaisons sont nombreuses, elles ne sont pas infinies.

On retrouve donc sur différentes planètes des espèces évoluées assez semblables à certaines formes de vie terrestres, vivantes ou disparues : céphalopodes, insectes, reptiles, vers, batraciens, poissons, oiseaux, acariens, crustacés, trilobites etc., mais tous les modèles de base n’ont pas été automatiquement représentés sur notre planète, même si la Terre a su développer un échantillon représentatif des différents patrons des possibles génétiques. 

Il existe par exemple une race originaire de Sirius qui aura un grand impact sur notre propre développement. Cette espèce intelligente fut « travaillée », comme beaucoup d’autres, par les civilisations primordiales jardinières. Cette race intelligente, les Raksasas-Reptiliens (dénomination pratique, référence aux démons védiques), a une morphologie et un métabolisme proche des dinosaures aviens, tel le vélociraptor, ayant évolué vers une bipédie proche de la notre, il y a de cela plusieurs millions d’années avant notre propre apparition sur Terre. Malheureusement toutes les civilisations cosmiques ne deviennent pas des cultivateurs pacifiques. Certaines races, minoritaires, s’orientent vers un système dominateur et conquérant ; tels que les Raksasas-Reptiliens qui colonisèrent de nombreux mondes afin d’étendre leur domination et leur puissance, et ce dans le but de toujours s’étendre davantage. Constamment à la recherche de ressources, ils exploitent les mondes qu’ils découvrent, les pillent et parfois les endommagent irréversiblement. De ce point de vue, ils sont un véritables fléau que les races primordiales canalisent la plupart du temps. 

Les Raksasas-Reptiliens, qui sont donc beaucoup plus anciens que nous dans l’histoire de l’Univers, colonisèrent une partie des systèmes autour de leur planète mère, un monde orbitant autour du système d’étoiles triple de Sirius (A, B et C), plus précisément Sirius B. La majorité de leurs colonies se développa donc dans cette proximité pratique, et fut un jour où cette frontière finit par atteindre notre système solaire.

Leur métabolisme étant compatible avec notre environnement, ils s’installèrent en différents points et plus particulièrement sur la Terre et sa Lune (comme base arrière logistique) il y a de cela 4 à 5 millions d’années.

Il y a environ 4 millions d’années, la Terre fut colonisée par les Raksasas-Reptiliens : comportant de nombreuses richesses, tant minières qu’en terme de biodiversité, c’était un monde idéal pour assouvir leur soif de développement. 

Mais leur société très hiérarchisée, rechigne aux basses besognes et se sert d’autres espèces animales comme main d’œuvre. Très avancés scientifiquement (puisqu’ils ont développé des moyens d’atteindre d’autres étoiles proches et de les coloniser), ils remarquèrent les primates bipèdes et sélectionnèrent des individus qu’ils modifièrent génétiquement : ils augmentèrent les capacités cognitives des créatures afin qu’ils puissent recevoir et exécuter des ordres simples, renforcèrent leurs caractéristiques physiques (ossature, musculature). Ainsi naquit l’homo habilis primitif, qui se déclina en différentes sous-espèces par la suite, chaque groupe évoluant parallèlement à partir de l’hybride artificiel pétri par les reptiliens de Sirius B à partir d’homo érectus préexistant.

Les Géants Humanoïdes

Zecharia Sitchin, un spécialiste renommé et décrié des civilisations sumériennes anciennes fut le premier à avancer cette hypothèse : il existerait une 12^ème planète dans notre système solaire, massive, orbitant autour de notre soleil telle une comète sur une trajectoire très elliptique et dont la période serait de 3600 ans. Ce chercheur avait deviné sa nature, mais en plus il avait découvert qu’elle abritait une forme de vie humanoïde, les Annunaki. Ses sources étaient les propres connaissances que ces mêmes Annunaki laissèrent en Mésopotamie lors de leur séjour sur notre planète et retranscrits par les sumériens en cunéiformes sur des tablettes d’argile.

Pour comprendre qui sont ces Annunaki, il est important de s’intéresser à Nibiru, leur planète. Nibiru est un monde rocheux environ 4X plus massif que la Terre, et entouré de nombreux satellites mineurs de la taille de Pluton. Une année sur Nibiru étant équivalent à 3600 ans de nos propres années. Mais comment alors une espèce humanoïde, a-t-elle pu voir le jour sur ce type de planète primitive ? Il existe des transplants d’espèces intelligentes qui peuvent s’opérer d’une planète à une autre. Dans certains cas, ces transferts servent à ensemencer volontairement de nouveaux mondes, mais dans le cas des Annunaki, les choses sont plus exceptionnelles encore. 

Lors de leur séjour dans notre système, les Raksasas-Reptiliens utilisèrent la Terre comme colonie, en exploitant les richesses grâce à une espèce d’esclave fabriquée génétiquement à partir d’une race de primate bipèdes. Ces esclaves, du genre Homo Habilis, servirent très largement et furent même exportés sur d’autres colonies Raksasas-Reptiliens. Nibiru ayant une flore pratiquant une forme de photosynthèse, elle produit également, comme sur Terre, de grandes quantités d’oxygène afin de synthétiser des matières carbonées et ainsi une atmosphère compatible avec les formes de vie terrestres a pu naître. Ce monde sombre pu nourrir et abriter une colonie Raksasas-Reptiliens prospère. Nibiru a un sous-sol beaucoup plus riche que notre planète, on y trouve en grande quantité des métaux lourds, de l’uranium, ainsi qu’un élément qui nous est inconnu pour l’instant, l’indratium numéro atomique 114. Se situant dans une zone de stabilité atomique suspectée par nos scientifiques, cet élément a la particularité d’engendrer un champ gravitationnel négatif quand il est stimulé, mais il reste très rare et ne se forme que dans des conditions extrêmes.

L’héritage Reptilien

Les Raksasas-Reptiliens intelligents originaires de Sirius ayant quitté le système solaire ainsi que Nibiru, les Annunaki et nos ancêtres humains continuèrent leur développement séparément.

Sur Terre, les descendants des homos habilis évoluèrent sous l’influence discrète des cultivateurs. Sa culture fondée sur le respect de la nature, fut influencée par l’enseignement des entités intelligentes cultivatrices, notamment à travers les chamans qui servent de canaux (channeling). Les chamans préviennent parfois lors de catastrophes à venir ou guidés vers des plantes qui servent à stopper des épidémies, c’est souvent parce que des esprits avec qui ils communiquent ont un savoir très avancé. Ainsi, pour des civilisations supérieures technologiquement et télépathes, les chamans sont le lien parfait pour influencer, de façon subtile, notre développement tout en protégeant les populations qu’elles parrainent, sans pour autant leur dicter leur façon de se comporter. Les cultivateurs sont des guides, les espèces aidées et chaque individu parmi celle-ci conservent leur libre arbitre. 

Sur Nibiru, les « Homos Annunaki » formant leur propre « humanité ». La rareté des ressources et des effectifs a mené à une structure sociale particulière, à la fois très centralisée mais aussi très ritualisée, puisque les conflits ne peuvent aboutir à trop de mortalité. 

Il y a des guerres entre eux, mais ce sont des guerres de factions, souvent basées sur des jeux, qui ne sont que des batailles encadrés et symboliques ; les perdants ne sont pas tués, mais descendent dans la hiérarchie par rapport aux vainqueurs.

La société Annunaki est très pyramidale et très élitiste, parce que cette centralisation permet de globaliser la gestion des ressources.

Sur Nibiru, la centralisation extrême uniformise les rites et les coutumes, ainsi naît très tôt une unique civilisation, un gouvernement mondial unique avec à sa tête des familles nobles et un Roi-Empereur (qui se pratique dans la société des reptiliens de Sirius. Une des particuliarités de l’histoire des Annunaki, c’est qu’ils sont restés en contact avec les Raksasas-Reptiliens beaucoup plus longtemps que les terriens ; les mœurs reptiliennes se sont plus profondément propagées et ont été copiées avec plus de ferveur. 

La Colonisation de la Terre

Une sphère orbitale atteignit la Terre lors d’un des créneaux disponibles sur le trajet de Nibiru il y a environ 450 000 ans et une nef de colonisation, avec 500 individus, aborda notre planète à l’équateur, au niveau du Liban actuel. La 1^ère colonie Annunaki ne s’installa donc pas en Mésopotamie comme certains l’avaient supposé, mais en Mer morte. 

Les premières installations en dur furent réalisées non loin de la Mer Morte, sur le site de Baalbek au Liban et sur le site de Jérusalem, ce qui n’a pas été sans impact sur notre propre histoire. Ces plates-formes massives servaient notamment de bases stabilisées pour les atterrissages et les décollages des engins de liaison orbitale. Mais les ressources d’énergies fossiles nécessaires ne se rencontraient pas à proximité, et il fallut qu’une 3^ème colonie soit construite dans la plaine de l’Euphrate. Face à l’absence d’indratium sur Terre et sa rareté sur Nibiru, les Annunakis furent poussés à concevoir des fusées-cargos chargées de faire les allers retours entre le sol et la sphère spatiale en orbite. Même si la construction de tels engins de retour n’était plus disponible, les géants conservaient un stock de cristaux qu’ils avaient amené avec eux, notamment ceux tirés de la nef de la colonisation démontée. Avec des engins à antigravitation, ils purent construire des murs et des plates formes avec des pierres gigantesques qu’ils transportaient sans effort des carrières vers les sites d’édification, on retrouve quelques unes de ces monolithes dans les fondations de la terrasse de Baalbek, ainsi qu’à Jérusalem.

Jordanie

Contrairement à l’exploitation des ressources, la prospection historique fut une raison de perpétuer la présence et d’étendre les colonies sur toute la planète, ainsi des implantations furent décidées en Europe, en Asie ainsi qu’en Amérique du Sud. C’est lors de ces voyages d’exploration que les géants prirent connaissance de l’existence d’or sous forme native très prés de la surface du globe. D’énormes quantités d’or étaient à portée de main, il suffisait de creuser pour le récupérer et  transférer ces stocks grâce aux fusées de transferts des colonies vers la sphère orbitale. Une fois la sphère orbitale remplie, elle faisait l’aller-retour entre la Terre et Nibiru lors des 2 créneaux où elle pouvait le faire, c’est-à-dire partait, se mettait en orbite autour de Nibiru et avait 7 ans pour décharger son contenu avant de repartir, à la fin de ce délai, en direction de la Terre pour un nouveau cycle de 3600 ans.

Le Retour des Raksasas (Reptiliens de Sirius)

À la fin de la 2^ème guerre mondiale, les Races Cultivatrices passèrent à la phase suivante de leur plan, prévu depuis des centaines d’années et décidé à la suite de l’intervention des Annunaki sur Terre. Ces derniers ayant quitté la planète, ils n’en avaient pas moins perturbé l’équilibre de la planète, comme l’avaient fait avant eux leurs créateurs, les Reptiliens originaires de Sirius.

Cette nouvelle phase dans le processus de libération des peuples humains mise en esclavage, consistait à enlever le voile sur la nature des entités responsables des apparitions mariales et de nombreux contacts avec les humains depuis toujours, c’est-à-dire les extraterrestres bénéfiques qui parrainent l’intelligence et la spiritualité dans l’Univers.

La première chose à savoir sur les Illuminati, c’est qu’ils n’existent pas ! Aucun groupe occulte ne porte ce nom, mais c’est un moyen intuitif que les gens et notamment les défenseurs des théories conspirationnistes ont utilisé pour rassembler sous une même bannière, différents courants réels ayant des aspirations analogues. Ce que tous ces gens ont en commun est le caractères élitiste et discriminatoire de leur comportement, et leur soif de domination qui passe immanquablement par de la désinformation et de la manipulation.

Les Illuminati, et ce à cause des cultes qu’ils avaient empruntés au Annunaki, qui à leur tour vénéraient les Reptiliens, lancèrent involontairement l’invitation, en particulier à cause de leur adoration de Sirius. Pour cette raison, les Races Cultivateurs/Jardiniers furent prises au dépourvu et ne purent empêcher les Reptiliens-Raksasas de rencontrer les Illuminati, puisqu’ils ne violaient aucune des règles de quarantaine. Une série de coordonnées furent transmises aux militaires américains, et la rencontre se fit dans la Zone 51 (le scénario de ce contact est retracé de façon à peine déformé dans le film « rencontre du 3^ème type » de Spielberg).

Les Raksasas sont le modèle même de ce que nous décririons comme des créatures démoniaques : ces reptiliens impressionnants sont cruels et sans pitié, froids et condescendants, et n’hésitent pas à tromper leurs victimes pour mieux les soumettre ; et n’en firent pas autrement avec les Illuminati ! Lors de cette rencontre hors du commun, les reptiliens informèrent les Illuminati du danger que représentaient les Gris-Zéta, ces fameux petits gris qui sont représentatifs parmi les Races Cultivatrices dans l’environnement terrestre : selon eux, les Gris-Zéta, qu’ils décrivent comme une race de « communistes » athées intergalactiques, préparaient un vaste débarquement sur toute la planète afin de la conquérir. Les Reptiliens-Raksasas convainquirent les Illuminati et les militaires qui les accompagnaient que le seul espoir de l’humanité était de se réunir sous un seul et unique gouvernement et de respecter des règles strictes, et que si ces conditions étaient respectés, les reptiliens de Sirius accepteraient en échange un transfert de technologie. Alléchés par tant de puissance, et puisque la domination du monde avait de toute façon été leur projet dès le départ, une alliance fut signée entre l’Empereur Reptiliens-Raksasas lui-même et le Pater Illuminati. 

On retrouve les termes du contrat gravés sur ce que l’on nomme généralement les Georgia Guidestones : il s’agit d’un grand monument en granit érigé dans les années 1980 prés d’Alberton (Géorgie USA) par les Illuminati pour sceller le pacte, comme les reptiliens l’avaient expressément demandé. En effet, pour respecter les règles établies pour toutes les Races Extraterrestres, la population humaine devait publiquement avoir à sa disposition les termes de ce rôle, c’est pour cela que leurs textes furent rédigés dans de nombreuses langues terriennes afin qu’elles puissent être lues ou traduites par la majorité des humains.

Ces termes sont les suivants :

1. Maintenez l’humanité en dessous de 500 000 000 d’individus en perpétuel équilibre avec la nature (c’est-à-dire contrôlez les naissances et exterminez la population si nécessaire)
2. Guidez la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité (c’est-à-dire pratiquez l’eugénisme et la ségrégation raciale)
3. Unissez l’humanité avec une nouvelle langue mondiale (c’est-à-dire l’anglais)
4. Traitez de la passion, de la foi, de la tradition et toutes les autres choses avec modérations (c’est-à-dire limitez la puissance des religions et l’épanouissement spirituel sources de révoltes)
5. Protégez les personnes et les nations avec des lois et des tribunaux équitables (c’est-à-dire maintenez les populations sous le joug des lois et des tribunaux à la solde des puissants)
6. Laissez toutes les nations gérer leurs problèmes internes, et réglez les problèmes extranationaux devant un tribunal mondial (c’est-à-dire créez un gouvernement mondial fédéral, juge des nations)
7. Évitez les lois et les fonctionnaires inutiles (c’est-à-dire limitez les détenteurs du pouvoir à une Élite la plus réduite possible)
8. Équilibrez les droits personnels et les devoirs sociaux (c’est-à-dire limitez au maximum aux gens de penser et d’agir)
9. Faites primer la vérité, la beauté, l’amour en recherchant l’harmonie avec l’infini (c’est-à-dire imposez les propres lois, principes et symboles Illuminatis à tous)
10. Ne soyez pas un cancer sur la terre. Laissez de la place à la nature (c’est-à-dire laissez juste quelques oasis de vie et utilisez la planète au maximum de ses capacités)

Ces règles sont emballées dans du papier doré, pour montrer la vraie portée de ces règles telles que les Reptiliens les entendaient.

On s’aperçoit que ce n’est pas du tout à l’avantage des peuples ! Mais les Reptiliens-Raksasas prirent comme prétexte que ces règles empêcheraient l’invasion des Gris-Zéta. Une population limitée peut être surveillé, surtout grâce à des lois très dures et privant les individus de leurs libertés, et donc tout contact avec des humains pourrait être stoppé rapidement. Surtout que les Reptiliens-Raksasas avaient convaincu leurs cosignataires que ces mauvais Gris-Zéta utilisaient une technologie qui leur permettait de leur faire passer sous leur contrôle mental, grâce à des parasites cérébraux mi-technologiques mi-organiques. Ces parasites existent, ce sont des implants qui servent à les suivre.

L’idée des Reptiliens-Raksasas était de faire assassiner tous les humains suivis ou contactés par les Races Cultivatrices grâce à ce subterfuge. Peu importe la vérité, les Illuminatis acceptèrent toutes ces mises en garde et autres allégations sans se douter qu’ils venaient de se faire duper.

Un générateur de changement de phase fut offert secrètement à l’armée américaine : cette technologie permet de faire passer une zone de l’espace dans une autre dimension, ou phase physique, le rendant du même coup invisible et invulnérable, tout en augmentant sa vitesse par 10 fois celle de la lumière, c’est-à-dire que pour un observateur, un véhicule équipé de cette technologie peut disparaître et réapparaître instantanément à l’autre bout de la planète. 

C’était bien plus que ce que les Illuminati et les militaires espéraient. Ils équipèrent rapidement un navire de guerre et lancèrent l’opération Rainbow (Arc-en-ciel), en référence à la distorsion de l’espace-temps (bow/arc signifiant courber). Cette expérience, connue sous le nom d’expérience de Philadelphie. Cet essais fut un véritable désastre : le vaisseau avait bien disparu aux yeux du monde mais c’est lors de sa réapparition, c’est-à-dire au retour de phase, que le pire arriva : les Raksasas avaient offert un moteur dimensionnel, mais pas le moyen de le contrôler correctement. En effet, tout objet se déplaçant lors du déphasage risque de se retrouver matérialisé dans d’autres objets à proximité, surtout si par exemple une personne bouge juste dans la seconde du rephasage physique ; ainsi la plupart des marins à bord furent atrocement mutilé, puisque leurs membres et pour certains la moitié de leurs corps fut emprisonné dans les parois ou le sol du navire, leurs atomes mêlés à ceux de l’acier environnant. Certains moururent sur le coup, d’autres durent être amputés et face à cet échec, l’expérience ne fut jamais retentée à cette échelle.

Mécontents, les Illuminati le firent remarquer aux Reptiliens-Raksasas qui les moquèrent, en leur signifiant que si les humains n’étaient pas assez évolués pour se servir de ces technologies, que pouvaient-ils y faire… mais promirent en échange un autre type de technologie et apportèrent plusieurs de leurs vaisseaux à l’armée américaine dans la zone 51. Les Illuminati, convaincue encore une fois, démontèrent certains des engins, mais il s’avéra que pour reproduire cette technologie, il fallait un élément qui leur était jusqu’à présent inconnu, l’indratium ! Or cette substance n’existe pas sur Terre, et qu’il est impossible de la synthétiser avec notre technologie.

Des pilotes et des équipages furent formés en secret, les vaisseaux reçurent des appellations officielles, et les premières sorties s’effectuèrent au-dessus des Etats-Unis (ces équipages et leurs appareils correspondent aux listes découvertes par le hacker Anglais Gary MacKinnon dans les ordinateurs du Pentagone et de la CIA).

Cela concerne à la fois l’atmosphère et le sous-sol : il s’agit des sons mystérieux, tels des trompettes, qui surgissent aléatoirement à travers le monde. Ces sons distordus, dont on trouve de nombreux témoignages sur internet mais aucun écho dans les médias sont en réalité créés par les pressions dans la croûte terrestre qui vibre sous la contrainte, notamment grâce aux strates sédimentaires qui servent de cordes. Or quand ces cordes rencontrent des éléments du relief comme des cavernes, des grottes, des tunnels ou des barrages hydroélectriques, ceux-ci fonctionnent à la fois comme des chambres de résonnance ou comme des cordes vocales. Les vibrations normalement inaudibles sont amplifiées. De nulle part des vrombissements terrifiants semblent avertir les populations sur place, incapable de comprendre l’origine de ces échos.