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PSYCHOLOGIE - Après avoir quitté un conjoint violent, certaines femmes font de leur mieux pour préserver la relation parentale entre lui et leur enfant. Un espoir fragile et souvent malmené.
Tout au long de leur vie commune, Eva Ngalle n’a cessé d’être dévalorisée par son ex-conjoint. Il reprochait à cette jeune femme timide de ne pas parler assez fort, comptait sur elle pour l’assister et tout payer au prétexte qu’il était malvoyant et avait du mal à trouver un emploi, lui faisait sans cesse sentir qu’elle n’était bonne à rien... Il a insisté pour avoir un enfant, puis n’a cessé de répéter qu’Eva ne s’en occupait pas bien. Celle-ci avait 28 ans quand son compagnon a fait pour la première fois usage de violence physique sur elle. « Il m’a mis une claque dans un magasin parce que je n’étais pas d’accord avec lui, raconte-t-elle. Là, j’ai compris que ça n’allait pas. Avant, je restais pour mon enfant, (...) finalement, c’est pour lui que je suis partie. » Quitter un conjoint violent, c’est déjà compliqué. Mais quid des relations parentales ? Faut-il s’efforcer de maintenir le lien entre l’enfant et son père, et comment le faire sans se mettre (et mettre son enfant)…