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ENQUÊTE - Ce trouble psychique, encore très peu connu, toucherait 5% des femmes à chaque cycle, avec pour certaines des pensées suicidaires. Des pistes de médicaments sont à l’étude.
« La Sarah habituelle était heureuse, dynamique, sociable. Mais du jour au lendemain, j’étais plongée dans une dépression. J’avais un brouillard dans la tête. Je ressentais une grande tristesse, de l’anxiété, mais aussi une difficulté à raisonner, me concentrer. La seule chose à faire était d’attendre que ça passe », raconte aujourd’hui Sarah Rodrigue, 47 ans, auteur de Maudites hormones (éditions Prisma, 2021). « Après le déclenchement de mes règles , je redevenais sereine. » Chez Priscilla, 37 ans, « tout devient gris, terne. Quelque chose s’éteint dans mon cerveau. J’ai l’impression que tout va mal, je n’ai pas envie de sociabiliser. Mais une fois que j’ai mes règles, tout va bien. » Touchées dès leurs premières menstruations, Sarah et Priscilla ont dû supporter respectivement vingt et quinze années d’errance médicale avant de comprendre qu’elles étaient atteintes du trouble dysphorique prémenstruel (TDPM).
Encore très peu connu des professionnels de santé, le TDPM est…