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Le Courrier n’aime ni le racolage, ni la récupération politique. Pour cette raison, nous évoquons rarement les sujets d’insécurité. L’assassinat d’une surveillante en Haute-Marne relance toutefois le débat. On retrouve partout les mêmes appels à « l’autorité » et aux « lois sécuritaires ». Il se trouve que ceux qui appellent à ces lois sont aussi ceux qui ont massivement approuvé une politique d’angoisse et d’enfermement massif depuis le COVID, qui a détruit la santé mentale de nos jeunes. Et voilà comment les responsables d’un désastre dénoncent les conséquences de leurs propres actes.
Mes pensées vont aux proches de la victime et à l’ensemble de la communauté éducative, touchés par cette tragédie. Nous devons, à ce stade, attendre les conclusions de l’enquête pour en connaître les causes. Mais une chose est certaine : la réponse ne peut être uniquement… pic.twitter.com/Dz6YA4tBpp
— Bruno Retailleau (@BrunoRetailleau) June 10, 2025L’émotion est grande et vive, en France, après l’assassinat d’une surveillante de 30 ans dans un village sans histoire de Haute-Marne. Manifestement, l’auteur de cet acte odieux n’avait pas d’histoire particulière : à rebours de la mythologie obsolète dont Bruno Retailleau raffole, ce n’est pas un jeune musulman sorti d’une banlieue pourrie par la drogue qui a frappé. C’est un Français ordinaire, un Français de la vie de tous les jours qui est passé à l’acte.
Disons tout d’abord l’émotion, la compassion, les condoléances. Mélanie, la victime, avait un petit garçon qui ne reverrait pas sa mère. C’est l’horreur et aucun mot ne dira jamais la souffrance de ceux qui vont survivre à cette maman injustement arrachée à sa propre histoire.
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