Vous ne le saviez pas ? Il y a en France des gradés lucides, courageux et patriotes. Qui n’hésitent pas à nommer publiquement la tyrannie à la face de ses suppôts. Tel fut le Général Delawarde. La pire tyrannie est celle que l’on ne peut nommer. Et feu le Général la nomma, enfin, c’est plus subtil que ça. Il la nomma sans la nommer. Le Général, face à un journaliste juif, Claude Posternak, qui lui demandait, « Qui contrôle la meute médiatique ? », fit cette réponse : « la communauté que vous connaissez bien ». Dès cet instant l’animateur télévisuel Morandini coupa le micro du Général, croyant peut-être que celui-ci parlait de la communauté juive, ce que le Général n’avait pourtant pas nommée, en toute rigueur. On ne le saura jamais puisque le mot « juif » ne fut pas prononcé dans cette émission. Tout ce que l’on peut dire, avec cette coupure brutale de Morandini – condamné en appel pour harcèlement sexuel –, c’est qu’il y a une communauté si puissante et tyrannique en France que l’on ne peut pas en prononcer le nom. Et même en la nommant pas explicitement, en l’évoquant seulement, le Général fut brutalement mis au ban. Alors, de quelle communauté s’agit-il ? De la communauté maçonnique ?… De la communauté néo-libérale ?… De la communauté sioniste ?… De la communauté juive ?… étant entendu qu’il y a des Juifs qui ne sont pas sionistes, et qui sont même anti-sionistes… Il n’y a rien de plus compliqué que de combattre un ennemi invisible, ou plutôt in-nommable. En France, le pouvoir, le pouvoir réel n’aime pas être nommé ; ça remonte à la Révolution française… Quand le franc-maçon Philippe-Égalité vota la décapitation de Louis XVI (en rejetant l’indulgence de l’amendement Mailhe, que Robespierre accepta pourtant !), et qu’il révéla ensuite publiquement son appartenance à la franc-maçonnerie (grade de maître suprême), il en fut radié aussitôt ! Et il fut guillotiné quelques mois plus tard… Son descendant en ligne directe, Henri d’Orléans, comte de Paris (dont le père avait fondé la loge du Lys… ), déclara sur Radio Classique à Olivier Bellamy, le 9 décembre 2016, à propos de la décapitation de Louis XVI, que « les trois quarts des Français étaient régicides et que nous étions tous fils de Caïn », sans exprimer un quelconque regret… Très intéressant… Les régicides francs-maçons étaient donc fils de Caïn. C’est ce que je me tue à dire et à écrire depuis plus de dix ans… : la doctrine profonde de la secte maçonnique est caïnite. Les caïnites étaient une secte gnostique du IIème après J.-C. L’une des premières sinon la première secte gnostique. Qui considérait Caïn comme le fils du Serpent (le serpent biblique), et ce Serpent comme l’esprit suprême, dont le dieu créateur des monothéistes (le démiurge) n’est qu’une divinité secondaire à la création imparfaite source du mal, imperfection que l’on peut réparer avec la gnose du Serpent, la connaissance de l’Arbre de science… réparation que la kabbale juive appelle « Tikkoun Olam » (littéralement, réparation du monde), cela fait plus de cinq ans que je le dis et l’écris. La kabbale juive est gnostique (c’est ce que pensait Gershom Scholem) et fonde l’idéologie de la franc-maçonnerie, qui ne s’en cache même pas puisque son but avoué est la reconstruction du temple de Salomon à Jérusalem… Se cache donc derrière le judaïsme monothéiste, au cœur de la kabbale juive, la doctrine gnostique primitive, la gnose du Serpent, dont Caïn, le fratricide maudit, fut le premier initié, le premier franc-maçon finalement. Dans la kabbale juive, le chemin pour atteindre la lumière suprême est appelé tout simplement le sentier du Serpent ! C’est donc le pouvoir de cette communauté de kabbalistes, de cette communauté du Serpent, que l’on ne peut nommer. Ce Serpent étant la manifestation de Lucifer déchu, en tous cas selon les monothéistes. Cette communauté occulte qui n’a rien à voir avec le judaïsme monothéiste mosaïque prend donc le judaïsme comme bouclier religieux, et les Juifs comme boucliers humains, en hurlant à l’antisémitisme lorsqu’on dévoile leur pouvoir. Cette influence de Caïn dans la communauté juive remonte au début de celle-ci, et le dieu universel de Moïse se transforma en dieu ethnique d’Israël… Israël étant l’autre nom de Caïn, nom de la rébellion à Dieu (Israël veut dire littéralement : en lutte contre Dieu)… Jésus disait qu’il n’avait « été envoyé que pour les brebis égarés de la maison d’Israël » (Matthieu 15, 24). Pas la maison de Juda, la maison d’Israël seulement. La maison d’Israël idolâtre (Veau d’or, Baal, Moloch) était tellement en guerre contre la maison de Juda (monothéiste) qu’elle finit par la corrompre tout à fait. Corruption dévastatrice magistralement dénoncée par le prophète judéen Esaïe, qui prophétisa la venue du Christ, issu de la maison de Juda. Caïn-Israël est tellement le fondateur de cette maudite république maçonnique en France (qui finalement idolâtre toujours le Veau d’or, Baal et Moloch), qu’une sculpture monumentale en bronze, œuvre de Paul Landowski, intitulée « Les fils de Caïn », a été érigée au jardin des Tuileries, juste à côté du lieu où siégèrent les premières assemblées républicaines, où l’on condamna à mort Louis XVI, la salle du Manège… Cette œuvre en bronze réhabilite Caïn et sa postérité, c’est-à-dire la postérité du Serpent, et réhabilite donc le Serpent, et donc Lucifer déchu, en présentant cette postérité, ici Jabal, Jubal et Tubal-Caïn, ainsi que l’indique l’inscription sur la plinthe à l’avant de la sculpture, comme les pères de la civilisation : « Celui qui fut père de ceux qui logent sous les tentes et des pasteurs (Jabal)/ Celui qui fut père de ceux qui charment et dirigent les hommes par leurs chants et par leur pensée (Jubal)/ Celui qui fut père de ceux qui pratiquent les arts du feu et qui travaillent avec leurs mains (Tubal-Caïn)». Indiquons quand même que, primo, le premier pasteur ne fut pas ce Jabal mais bien Abel, frère de Caïn que celui-ci assassina… Secundo, que ce Jubal n’est ni plus ni moins le père de la propagande qui « charme et dirige les hommes »… Et tertio, que Tubal-Caïn, premier forgeron, qui forgea les premières armes, fut l’initiateur des guerres armées terriblement meurtrières… À en croire le prêtre babylonien Bérose, ce n’est pas Caïn mais Adam qui apporta la civilisation aux hommes, le fameux sage Adapa/Adama, qui se mit au service du dieu-Serpent sumérien Enki… Et Adam chuta de l’Arbre de vie dans l’Arbre du Serpent, l’Arbre de mort, l’Arbre de science. Cette science exclusive qui aujourd’hui tue le sujet humain en le réduisant exclusivement à un objet, un objet technique interchangeable, réparable, remplaçable… La France fut guillotinée par cette secte caïnite maçonnique manipulatrice et meurtrière, secte devenue république, république universelle…

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