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Gaza: Israël intensifie ses frappes malgré le conflit avec l’Iran

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Alors que l’armée israélienne continue à frapper des cibles en Iran, elle poursuit également ses massacres à Gaza, tuant au moins 34 Palestiniens, dont des civils en quête d’aide humanitaire. Ces « actes génocidaires », survenus ce vendredi, aggravent une crise humanitaire déjà critique.

Ce matin, l’armée israélienne a mené des frappes meurtrières dans la bande de Gaza, tuant au moins 34 Palestiniens, dont de nombreux civils. Selon l’agence de presse officielle palestinienne WAFA, une attaque a visé des civils rassemblés près du carrefour de Shouhada, au nord de Gaza, dans l’espoir de recevoir de l’aide humanitaire. Ces frappes s’inscrivent dans un contexte où Israël maintient une offensive militaire à Gaza, malgré l’escalade avec l’Iran. Cette « guerre d’extermination » ne fait qu’empirer une situation humanitaire déjà désastreuse, marquée par des pénuries de nourriture, d’eau et de médicaments.

Attaque contre des civils en quête d’aides humanitaires

L’attaque au carrefour de Shouhada a ciblé des Palestiniens désespérés, attendant une distribution d’aide humanitaire dans une région où la faim menace des centaines de milliers de personnes. Selon WAFA, 23 personnes ont été tuées dans cette frappe, et des dizaines d’autres blessées. L’hôpital Avde, situé dans le camp de réfugiés de Nusayrat, a rapporté avoir reçu les corps et les blessés, submergé par l’afflux de victimes. Ce drame s’ajoute à une série d’incidents similaires, où des civils cherchant de l’aide ont été pris pour cible. Le système d’aide, géré en partie par la Gaza Humanitarian Foundation (GHF), soutenue par Israël et les États-Unis, est critiqué pour son inefficacité et les dangers qu’il fait peser sur les civils.

Dans le centre de Gaza, à Deir al-Balah, une autre frappe israélienne a visé une maison, tuant 11 personnes, selon le Croissant-Rouge palestinien. Les corps ont été transportés à l’hôpital Aksa Martyrs, qui peine à faire face à l’afflux constant de victimes. Cette attaque s’inscrit dans une série de bombardements visant des zones résidentielles, souvent sans avertissement, aggravant le sentiment d’insécurité parmi les habitants. Depuis le 7 octobre 2023, début de la guerre actuelle déclenchée par une attaque du Hamas, plus de 54 000 Palestiniens ont été tués, selon le ministère de la Santé de Gaza, majoritairement des femmes et des enfants.

Les restrictions sur l’aide humanitaire, combinées aux destructions massives, ont conduit à une famine imminente, avec 500 000 personnes au bord de la starvation. Les Nations unies ont dénoncé les attaques répétées contre les civils près des centres de distribution d’aide, qualifiant le système de la GHF de « piège mortel ». Les hôpitaux, comme celui d’Avde et d’Aksa Martyrs, sont débordés, manquant de ressources pour traiter les blessés.

Une offensive maintenue malgré l’ombre iranienne

Ce nouvel épisode sanglant intervient alors que l’attention internationale est focalisée sur l’escalade entre Israël et l’Iran. Malgré ce contexte explosif, Israël maintient la pression dans la bande de Gaza, signe que le front sud reste une priorité stratégique pour le gouvernement de Benjamin Netanyahou.

De nombreuses voix se sont élevées ces dernières heures pour condamner les frappes et exiger un cessez-le-feu immédiat. Des ONG, des agences onusiennes et des diplomates de plusieurs pays européens rappellent qu’aucune justification sécuritaire ne peut légitimer des attaques contre des civils non armés, encore moins lorsqu’ils attendent de l’aide humanitaire.

La situation à Gaza est qualifiée de « pire que l’enfer sur Terre » par la présidente du Comité international de la Croix-Rouge, Mirjana Spoljaric.

Le Haut-Commissaire des Nations unies aux droits humains, Volker Türk, a appelé à une enquête immédiate sur ces attaques, qualifiées d’« inconcevables ». Amnesty International a conclu en décembre 2024 qu’Israël commettait un génocide à Gaza, pointant du doigt la destruction systématique des infrastructures vitales et les conditions de vie imposées aux Palestiniens.

Les appels à un cessez-le-feu et à une levée du blocus humanitaire se multiplient, mais sans accord durable, la tragédie de Gaza risque entre temps de s’aggraver.

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