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Selon le journal israélien Haaretz, l’administration Trump, tout comme celle de Biden avant elle, dispose du pouvoir d’arrêter les frappes israéliennes à Gaza mais choisit de ne pas agir. En janvier 2025, elle a démontré sa capacité à influencer Israël en imposant un cessez-le-feu, mais a ensuite soutenu le sabotage de cet accord par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou.La tragédie de Gaza n’est pas une fatalité, mais le fruit de choix politiques israélo-américains.

Grâce au fragile accord de cessez-le-feu négocié sous l’administration Biden du 15 janvier, plusieurs otages et prisonniers ont été libérés. Cet accord a aussi facilité l’arrivée de l’aide humanitaire en un temps record à Gaza. L’administration Trump aurait pu mettre fin à cette guerre immonde en forçant Israël à mettre fin aux hostilités. Mais tout comme l’administration Biden, elle a choisi de ne pas le faire selon le journal israélien Haaretz.
Trump accusé de soutien au génocide
Tout comme l’administration Biden, l’administration Trump a le pouvoir de forcer Israël à mettre fin au génocide à Gaza. Mais selon le journal israélien Haaretz, elle a aussi choisi de ne pas le faire.Selon le journal, l’envoyé spécial du président Donald Trump pour le Moyen-Orient, Steven Witkoff, en Israël en janvier était capable de forcer Benyamin Netanyahou de signer l’accord de cessez-le-feu qu’il a rejeté plusieurs fois.
Selon le journal Haaretz,ce dernier aurait réussi à exiger une réunion officielle avec le Premier ministre israélien pendant un jour de Shabbat. Mais il s’avère que l’arrivée de Witkoff et d’Adam Bohler en Israël était une simple ruse, un « stratagème cynique ».
Deux sources israéliennes ont révélé à Haaretz que Netanyahou n’avait aucune intention de passer à la deuxième phase de l’accord, qui incluait un cessez-le-feu complet et un retrait israélien. Il a privilégié son projet du « Grand Israël » pour préserver sa coalition , malgré le respect de l’accord par le Hamas, comme l’ont confirmé l’armée israélienne et le média Maariv.
Trois responsables israéliens et deux médiateurs qui ont requis l’anonymat ont confirmé que « les accusations du Hamas selon lesquelles Israël n’aurait pas tenu ses promesses concernant la première phase du cessez-le-feu ». Le New York Times a confirmé qu’Israël n’avait pas tenu ses engagements, comme l’envoi de tentes promises, tandis que le Hamas respectait scrupuleusement la trêve. En d’autres termes, Netanyahou, avec le soutien de l’administration Trump, a saboté cet accord.
Le père du soldat Tsahal Nimrod Cohen, capturé par le Hamas le 7 octobre, a demandé à Witkoff pourquoi il n’a pas obligé le gouvernement israélien a stopper la guerre selon Haaretz. « Nous ne sommes pas le gouvernement israélien. Nous ne sommes pas en désaccord. Le gouvernement israélien est un gouvernement souverain. Ils ne peuvent pas nous dicter notre conduite et nous ne pouvons pas leur dicter leur conduite ».
Selon Times of Israel, Steven Witkoff a déjà déclaré aux autres médiateurs que:
« Washington n’avait pas l’intention de forcer Israël à mettre fin à la guerre à Gaza, alors que le Premier ministre Benjamin Netanyahou refuse catégoriquement de le faire ».
Comment Trump soutient les opérations de Netanyahou à Gaza
Après l’abandon unilatéral du cessez-le-feu en mars, l’administration Trump a cessé de faire pression sur Israël et a soutenu sa reprise des hostilités. Lors d’une conférence de presse en février, comme on l’avait évoqué, Trump a approuvé la prise de contrôle israélienne de Gaza et le déplacement forcé des Palestiniens, déclarant qu’il espérait qu’ils « ne veuillent pas retourner » à Gaza. En février, Trump a également approuvé une vente d’armes de 3 milliards de dollars à Israël, coordonnant ses frappes contre les Houthis au Yémen pour faciliter la reprise du génocide.
Depuis mars, Israël a intensifié ses crimes de guerre, tuant 82 % de civils selon ses propres chiffres, soit au moins 2 280 civils. Un blocus total impose une famine à Gaza, menaçant 3 500 enfants de mort imminente, selon le bureau des médias de Gaza. Des responsables israéliens ont admis en privé au New York Times que Gaza est au bord de la famine, mais le blocus persiste.
Le plan israélien, approuvé par le Cabinet de sécurité et nommé « Opération Les Chariots de Gédéon », vise à réoccuper Gaza et à déplacer 2 millions de Palestiniens dans une « zone humanitaire » ou à les forcer à quitter l’enclave « volontairement », conformément à la vision de Trump. Le ministre Bezalel Smotrich a admis que ce plan cherche à désespérer les Palestiniens pour qu’ils quittent Gaza, tandis que Netanyahou a déclaré que la destruction des maisons pousserait les Gazaouis à émigrer.
De plus, selon Drop Site News, Witkoff a promis au Hamas un cessez-le-feu en échange de la libération de l’otage américain Eden Alexander, une promesse non tenue. L’administration Trump envisage même de déplacer 1 million de Palestiniens en Libye, un État instable depuis l’invasion de l’OTAN en 2011, selon NBC News.
Par ailleurs, le soutien de Trump à Israël a été renforcé par des dons importants, comme les 100 millions de dollars de Miriam Adelson. L’administration a également mis en place un « cabinet noir » pour réprimer les mouvements pro-palestiniens dans les universités américaines, selon le Wall Street Journal. Ces actions montrent que, loin de s’opposer à Netanyahou, Trump est pleinement aligné à son agenda.
Si Benyamin Netanyahou a annoncé dimanche soir qu’Israël allait autoriser l’entrée à Gaza d’une « quantité de base de nourriture », ce matin dans une vidéo publiée sur son compte Telegram, le premier ministre israélien menace de vouloir « contrôler l’intégralité du territoire de la bande de Gaza ».
La tragédie à Gaza, le blocus et les projets de déportation s’inscrivent dans une stratégie commune, où les deux alliés jouent leurs rôles : Netanyahu en bourreau, Trump en complice silencieux.
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