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Le 21 juin, les États-Unis ont frappé trois sites nucléaires en Iran – Fordow, Natanz et Ispahan. Le président US Donald Trump déclare avoir infligé des « dégâts monumentaux » aux sites nucléaires iraniens bombardés, pourtant derrière cette rhétorique guerrière se cache une stratégie ambiguë : affaiblir le programme nucléaire iranien sans déclencher un conflit total. En effet des sources iranniennes de haut rang ont révélé que l’administration Trump a informé les autorités iraniennes de l’attaque et a insisté qu’elle serait « ponctuelle » pour éviter une confrontation directe. En coulisse, les sites étaient déjà évacués, et les options de riposte de l’Iran restent limitées.

Après les frappes américaines sur les trois installations nucléaires en Iran, le président Donald Trump a déclaré publiquement que l’attaque a été un « succès ». Il a menacé de lancer de nouvelles frappes « si la paix n’est pas rapidement rétablie ». Pourtant, des sources d’Amwaj.media ont révélé que l’administration Trump a informé les autorités iraniennes de l’attaque et a insisté qu’elle serait « ponctuelle ».
Une attaque annoncée à l’avance
Selon des sources iraniennes de haut rang, l’administration Trump a prévenu discrètement Téhéran de frappes imminentes, tout en assurant qu’il ne s’agissait pas d’une entrée en guerre. Cette communication, confirmée par Amwaj.media, visait à circonscrire l’opération à des cibles « symboliques mais sensibles » : les sites d’enrichissement de Fordow, Natanz et Ispahan.
Les autorités iraniennes, conscientes des enjeux, ont vidé ces installations de leur personnel et de la majorité de leur stock d’uranium enrichi, minimisant les pertes humaines et les dégâts stratégiques.
Sur le plan militaire, l’opération fut impressionnante Selon les rapports, les trois bombardiers B-2 qui ont frappé le site nucléaire souterrain de Fordow provenaient des Etats-Unis. Ils ont largué six bombes MOP (Massive Ordnance Penetrator) de 13,6 tonnes sur l’installation. Deux autres bombes ont été lancées sur les deux entrées principales de et deux MOP sur le puits de ventilation. Les 30 missiles Tomahawk qui ont ciblé l’usine d’enrichissement d’uranium de Natanz et le complexe nucléaire d’Ispahan ont été tirés depuis un sous-marin. Les frappes ont été menées sans recours à des bases américaines dans la région, rendant les représailles iraniennes plus complexes.
Le président américain Donald Trump a déclaré que l’attaque a été réussie. Les installations nucléaires iraniennes ciblées étaient « complètement et totalement anéanties ». Il a menacé de lancer de nouvelles frappes si « la paix n’est rapidement rétablie » et a ajouté que toute attaque future potentielle serait « bien plus importante et beaucoup plus facile ». Pourtant, une source politique iranienne de haut rang a informé Amwaj.media qu’avant les frappes, l’administration Trump a envoyé un message à l’Iran, indiquant qu’elle avait seulement l’intention de frapper les trois sites nucléaires et ne recherchait pas une confrontation totale.
Les autorités iraniennes ont confirmé que les frappes américaines ont effectivement touché les installations nucléaires de Fordow, d’Ispahan et de Natanz. L’Organisation iranienne de l’énergie atomique (AEOI) a d’ailleurs qualifié cette attaque comme « un acte brutal qui contredit les lois internationales, en particulier le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP). Elle accuse l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) d’avoir soutenu les Etats-Unis.
Une attaque américaine à double tranchant
Donald Trump a proclamé que les installations avaient été « complètement effacées » et a promis que d’autres cibles suivraient si « la paix ne se produisait pas rapidement ». Toutefois, l’attaque semble avoir été calculée :
- L’administration américaine cherchait manifestement à affaiblir les capacités nucléaires iraniennes tout en évitant une guerre ouverte.
- La Maison Blanche savait que les sites étaient largement connus de l’AIEA et déjà surveillés – donc peu susceptibles d’abriter un programme militaire clandestin.
Il s’agit d’un signal politique fort, surtout dans le contexte électoral américain, plutôt qu’une opération de guerre totale.
Ayant subi des attaques sévères de la part d’Israël, Iran n’a pas intérêt à mener une autre guerre avec les Etats-Unis. Pour rappel, Téhéran a accepté de reprendre les négociations nucléaires avec l’administration Trump avant les bombardements américains du 21 juin, si l’Etat hébreu cessait les assauts. Mais cette attaque surprise risque de compromettre l’issue diplomatique.
Plusieurs analystes affirment que la pression israélienne a joué un rôle central dans la décision de frapper Fordow.
- Ce site, profondément enterré, est une obsession sécuritaire pour Israël.
- Convaincre Trump de l’attaquer, même symboliquement, servait à tester sa volonté d’entrer en confrontation avec l’Iran.
En informant Téhéran avant de frapper, Trump a tenté de concilier démonstration de force et gestion du risque. L’attaque a offert une victoire symbolique à la Maison Blanche, mais pourrait paradoxalement se retourner contre elle .
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