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Fête nationale : la fierté québécoise à son apogée (photos)

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ÉVÉNEMENT. Les Drummondvillois sont fiers d’être Québécois. Ils l’ont prouvé lundi soir à l’occasion de la fête nationale, alors qu’ils étaient des milliers à danser, chanter et célébrer haut et fort au parc Woodyatt.

«Ce soir, ce n’est pas juste un rassemblement. Ce soir, c’est une grande déclaration d’amour qu’on se fait pour notre langue, pour notre culture, pour nos racines, pour notre monde», a dit d’une voix forte la mairesse de Drummondville, Stéphanie Lacoste, en s’adressant à une foule particulièrement nombreuse.

«Depuis près de quatre ans, je suis fière d’être Québécoise, fière d’être Drummondvilloise, fière de voir ces gens s’engager dans leur communauté, travailler avec passion pour faire du Québec un Québec plus fort, plus juste, plus solidaire», a-t-elle ajouté, en décrivant notre peuple comme étant fort, accueillant et surtout enraciné.

Brigitte Boisjoli a animé la soirée de belle façon. (Photo : Ghyslain Bergeron)

Pour la première fois, Brigitte Boisjoli a accepté de chanter, d’animer et d’assurer la direction artistique du spectacle de la fête nationale. L’artiste a relevé son défi avec brio, offrant au public une soirée haute en couleur, sans temps mort.

La pétillante Brigitte Boisjoli est arrivée sur la scène en sautillant, transmettant dès les premières notes sa bonne humeur au public. La chanteuse a pris possession de la scène avec fougue, interprétant le succès d’Offenbach J’ai l’rock’n’roll pis toé.

Elle s’est ensuite adressée au public, question de lancer les festivités comme il se doit.

«Merci d’être au rendez-vous, s’est-elle exclamée. J’ai pensé vous créer la plus belle Saint-Jean-Baptiste parce que vous le méritez. Je me suis dit que je suis une fille qui a la fleur de lys sur le cœur, mais j’ai aussi Drummondville tatouée sur le cœur. Je suis fière d’être Drummondvilloise. J’ai invité un paquet d’amis à chanter le Québec pour vous autres.»

Le premier artiste invité à fouler la scène a été le fils de Robert Charlebois, Jérôme. Les spectateurs ont chanté avec entrain les succès de ce grand de la chanson québécoise, dont Les ailes d’un ange, The Frog Song, Les talons hauts et Je t’aime comme un fou.

Après coup, l’auteur-compositeur-interprète Marc Déry a offert un retour dans le passé avec les chansons de Zébulon dont l’incontournable Marie-Louise, tout en chantant quelques-unes de ses compositions.

En nouveauté, l’alpiniste Charles Page a livré un poignant discours patriotique, juste avant de partir pour sa prochaine expédition.

Charles Page a prononcé le discours patriotique. (Photo : Ghyslain Bergeron)

«On me connait pour être celui qui grimpe les montagnes où même les nuages ont peur d’aller. Quand je suis là-bas et qu’on me demande d’où je viens, je dis que je viens du Québec. J’ai eu la chance de porter notre drapeau sur le top de l’Everest. Demain je prends l’avion pour aller grimper le K2 au Pakistan. J’espère faire pareil.»

«Dans ma tente, je vais penser à ma langue et mon monde. Je vais penser à Drummondville et la poutine du Jucep, aux chaises pliantes et à nos milliers de festivals et à nos voix qui chantent faux mais ensemble. Pis c’est là que tu comprends que ce n’est pas la hauteur de la montagne qui compte, c’est ce que tu transportes dans ton cœur. Nous, c’est le Québec qu’on transporte dans notre cœur», a-t-il complété, brandissant haut et fort le fleurdelisé.

Une troisième artiste a assuré la suite du spectacle, soit Martine St-Clair. La chanteuse a montré l’étendue de ses prouesses vocales avec les chansons Il y a de l’amour dans l’air, Laver laver ainsi que Ce soir l’amour est dans tes yeux.

Les spectateurs attendaient avec impatience l’arrivée de Dan Bigras sur la scène. Ils n’ont pas été déçus. L’auteur-compositeur a offert une solide performance, où l’émotion était au rendez-vous. Au plus grand plaisir du public, il a interprété Chez nous, chez nous et Trois petits cochons.

Le spectacle s’est terminé en compagnie de Brigitte Boisjoli, où elle a offert sa version de l’Hymne à l’amour d’Édith Piaf.

«Cette chanson-là est une chanson d’amour. Gerry Boulet l’a chantée. Notre belle Céline Dion l’a chantée aux Jeux olympiques à Paris. Ce soir je veux la chanter avec tout mon cœur.»

Les traditionnels feux d’artifice ont clos la soirée, sous les yeux émerveillés des petits et des grands.

L’organisation a remercié les spectateurs en faisant exploser un coeur dans le ciel de Drummondville.(Photo : Ghyslain Bergeron)

Soulignons que la première partie du spectacle a été assurée par le groupe Exode, faisant briller le département de musique du Cégep Drummond. Cette formation drummondvilloise bourrée de talent a enchaîné les classiques québécois dans une ambiance festive.

Cette année, c’est la Ville de Drummondville qui a organisé les festivités de la fête nationale.

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