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ce jeudi 26 juin, les 188 741 lycéens de terminale des séries pro, candidats au bac pro 2025, ont planché pendant deux heures sur l’épreuve Prévention Santé Environnement – dont voici le sujet.
Jeudi 26 juin 2025 : de 9h30 à 11h30
Coefficient : 1
PREMIÈRE PARTIE : Thématiques A et B
À partir de la situation d’actualité :
Les papillomavirus, c’est quoi ?
Les infections à papillomavirus humains ( font partie des trois principales infections sexuellement transmissibles ( les plus fréquentes en population générale. Ces virus peuvent infecter les muqueuses génitales, ainsi que d’autres parties du corps, telles que la bouche et la gorge. Dans la majorité des cas, l’infection asymptomatique* est éliminée spontanément par l’organisme. Mais dans environ 10 des cas elle persiste et peut provoquer différents types de lésions précancéreuses puis évoluer, 10 à 20 ans plus tard, en cancers.
On estime qu’il existe plus de 200 types d’HPV dont certains dits à « haut risque », sont responsables de cancers du col de l’utérus, de la vulve, du vagin, du pénis, de l’anus et de la gorge.
La vaccination comme moyen de protection contre les papillomavirus
Le vaccin contre les papillomavirus (HPV – Human papillomavirus) est recommandé depuis plusieurs années chez les filles et depuis 2021 chez les garçons, dès l’âge de 11 ans. Il offre une protection à long terme contre ces virus qui peuvent être à l’origine de cancers. Il est désormais proposé gratuitement à tous les collégiens des classes de 5 ème
* asymptomatique qui ne présente aucun symptôme clinique
Source d’après http://www.iledefrance.ars.sante.fr
À partir de la situation d’actualité
1.1 Indiquer le type de microorganisme responsable de l’infection à HPV.
Jeudi 26 juin 2025 : de 9h30 à 11h30
Coefficient : 1
PREMIÈRE PARTIE : Thématiques A et B
À partir de la situation d’actualité :
Les papillomavirus, c’est quoi ?
Les infections à papillomavirus humains ( font partie des trois principales infections sexuellement transmissibles ( les plus fréquentes en population générale. Ces virus peuvent infecter les muqueuses génitales, ainsi que d’autres parties du corps, telles que la bouche et la gorge. Dans la majorité des cas, l’infection asymptomatique* est éliminée spontanément par l’organisme. Mais dans environ 10 des cas elle persiste et peut provoquer différents types de lésions précancéreuses puis évoluer, 10 à 20 ans plus tard, en cancers.
On estime qu’il existe plus de 200 types d’HPV dont certains dits à « haut risque », sont responsables de cancers du col de l’utérus, de la vulve, du vagin, du pénis, de l’anus et de la gorge.
La vaccination comme moyen de protection contre les papillomavirus
Le vaccin contre les papillomavirus (HPV – Human papillomavirus) est recommandé depuis plusieurs années chez les filles et depuis 2021 chez les garçons, dès l’âge de 11 ans. Il offre une protection à long terme contre ces virus qui peuvent être à l’origine de cancers. Il est désormais proposé gratuitement à tous les collégiens des classes de 5 ème
* asymptomatique qui ne présente aucun symptôme clinique
Source d’après http://www.iledefrance.ars.sante.fr
À partir de la situation d’actualité
1.1 Indiquer le type de microorganisme responsable de l’infection à HPV.
Jeudi 26 juin 2025 : de 9h30 à 11h30
Coefficient : 1
PREMIÈRE PARTIE : Thématiques A et B
À partir de la situation d’actualité :
Les papillomavirus, c’est quoi ?
Les infections à papillomavirus humains ( font partie des trois principales infections sexuellement transmissibles ( les plus fréquentes en population générale. Ces virus peuvent infecter les muqueuses génitales, ainsi que d’autres parties du corps, telles que la bouche et la gorge. Dans la majorité des cas, l’infection asymptomatique* est éliminée spontanément par l’organisme. Mais dans environ 10 des cas elle persiste et peut provoquer différents types de lésions précancéreuses puis évoluer, 10 à 20 ans plus tard, en cancers.
On estime qu’il existe plus de 200 types d’HPV dont certains dits à « haut risque », sont responsables de cancers du col de l’utérus, de la vulve, du vagin, du pénis, de l’anus et de la gorge.
La vaccination comme moyen de protection contre les papillomavirus
Le vaccin contre les papillomavirus (HPV – Human papillomavirus) est recommandé depuis plusieurs années chez les filles et depuis 2021 chez les garçons, dès l’âge de 11 ans. Il offre une protection à long terme contre ces virus qui peuvent être à l’origine de cancers. Il est désormais proposé gratuitement à tous les collégiens des classes de 5 ème
* asymptomatique qui ne présente aucun symptôme clinique
Source d’après http://www.iledefrance.ars.sante.fr
À partir de la situation d’actualité
1.1 Indiquer le type de microorganisme responsable de l’infection à HPV.
1.2 Formuler la problématique évoquée.
Document 1 : Infections à papillomavirus et risques de cancers
(…)
À partir de la situation d’actualité et du document 1
1.3 Identifier les principales conséquences à long terme sur la santé d’une infection au HPV.
1.4 Expliquer pourquoi l’infection au HPV est considérée comme une infection sexuellement transmissible (IST).
Document 2 : Les missions des centres gratuits d’information, de dépistage et de diagnostic (CeGIDD)
1.5 Expliquer pourquoi les autorités sanitaires ont décidé d’élargir la vaccination aux garçons.
1.6 Préciser les actions mises en oeuvre dans le cadre des missions du CeGIDD pour limiter la transmission des IST.
1.7 Proposer un moyen de prévention individuelle qui protège contre toutes les IST.
1.8 Argumenter le choix d’un parent de faire participer son fils à la campagne de vaccination, contre les HPV, organisée par son collège.
Document 3 : Caractéristiques des préservatifs en latex naturel ou synthétique
(…)
À partir du document 3 :
1.9 Identifier les impacts environnementaux liés à la production des préservatifs en latex naturel.
1.10 Indiquer la ressource en énergie utilisée pour produire le latex synthétique.
1.11 Expliquer le lien possible entre la production des préservatifs et le réchauffement climatique.
1.12 Proposer une mesure collective qui permette de réduire l’impact environnemental des préservatifs.
ET POURTANT CE QUE NOUS SAVONS
Hélène Banoun
@BanounHelene
·
Les infections à papillomavirus étaient le sujet de l’épreuve Prévention Santé Environnement (PSE)du Bac pro 2025
Il était question de promouvoir la vaccination chez les ados garçons et filles.
https://leparisien.fr/etudiant/lycee/bac/bac-pro-2025-le-sujet-de-lepreuve-prevention-sante-environnement-pse-TIGJQ5UWHVA7TDF7KMGVDEMP6U.php
Étude publiée en 2024 par des spécialistes des cancers
La vaccination contre le HPV ne fait pas baisser la prévalence des types HPV16 et 18 et on observe une augmentation des types HPV non couverts par le vaccin. Parmi ces types de HPV non couverts par le vaccin certains sont à haut risque de cancer du col de l’utérus. On observe une augmentation des lésions précancéreuses par les types non couverts par le vaccin dans une population largement vaccinée.
Dans les pays nordiques, aux USA , en Écosse et au Royaume Uni on observe une augmentation récente de l’incidence du cancer invasif du col de l’utérus dans les cohortes de femmes vaccinées.
https://mdpi.com/1999-4915/16/8/1245#B30-viruses-16-01245
Hampson, I.N. ; Oliver, A.W. Update on Effects of the Prophylactic HPV Vaccines on HPV Type Prevalence and Cervical Pathology. Virus 2024, 16, 1245. https://doi.org/10.3390/v16081245
« Toutefois, avant la vaccination, le HPV16 était le type de VPH le plus souvent associé à la CCI, mais il existe aujourd’hui un nombre considérable de preuves qui montrent une augmentation significative de la prévalence des types de VPH non couverts par le vaccin après la vaccination. Gardasil ne couvre pas les types HR 31, 52 et 45, qui ont tous montré une augmentation significative de la prévalence après la vaccination. Plus important encore, Gardasil 9 ne couvre pas les types de HPV HR 35, 39, 56, 59 et 68, dont la prévalence a également augmenté après la vaccination. Ces résultats sont cohérents avec les études menées à New York (voir les figures 1 et 2 dans [13]) et à Stockholm (voir la figure 1 dans [14]), qui montrent une augmentation post-vaccinale des types de VPH à haut risque non couverts par la vaccination chez les femmes vaccinées et non vaccinées. En Italie, il est surprenant de constater que, malgré les 14 années qui ont suivi la vaccination, il n’y a pas eu de diminution globale du pourcentage de femmes positives au HPV 16 ou 18, et que tous les autres types de HPV HR analysés ont en fait montré une augmentation marquée dans la population de 2023.
L’évaluation de l’évolution de l’incidence de l’ICC (cancer invasif du col de l’utérus) au niveau national, avant et après l’introduction de la vaccination met en évidence certaines observations intéressantes. Par exemple, l’augmentation récente de l’incidence de l’ICC chez les femmes âgées de 25 ans dans les pays nordiques [28,29] et au Royaume-Uni [30] est paradoxale si l’on considère leurs vastes programmes de vaccination, avec un taux de participation élevé de 80 %.
De toute évidence, il est peut-être trop tôt pour que la vaccination ait eu un impact sur ces statistiques, bien que ces résultats justifient clairement une enquête plus approfondie, comme indiqué dans notre précédente étude [11]. »
Mercier
@Art50Mercier
·
27 juin
Ohé 0hé mesdames messieurs les journalistes du
@figaro
@OuestFrance
@ladepechedumidi
et autres troubadours subventionnés gavés d’argent public 😘
nous vous invitons après avoir vérifié ici
👇👇👇👇👇👇👇👇👇👇👇👇👇
https://aihw.gov.au/reports/cancer/cancer-data-in-australia/contents/cancer-incidence-by-age-visualisation
les 2 graphiques officiels VALIDANT l’échec complet
de la vaccination contre le papillomavirus
en #Australie (juste un exemple 🥱)
puis…
A écouter ce « petit débriefing » d’un sujet de bac professionnel tout frais d’hier, avec Gérard et
@NicoleDelepine
Après tout ce travail peut-être, aurez vous envie de chercher ?
- l’année ?
- le nom du ministre qui lancé cette campagne pour les ados garçons et filles ?
- pour quel tarif en comparaison avec les autres vaccins, en #France ?
