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Ehud Olmert accuse Benyamin Netanyahou de mener une « guerre d’extermination » à Gaza

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Dans un éditorial choc publié le 22 mai 2025 dans l’édition hébraïque de Haaretz, l’ancien Premier ministre israélien Ehud Olmert a admis que les actions actuelles d’Israël à Gaza constituent des « crimes de guerre » et une « guerre d’extermination ». Il y dénonce une guerre « insensée » appuyée par des attaques aveugles contre des civils, une « guerre d’extermination ».

Ehud Olmert, Premier ministre israélien entre 2006 et 2009, a provoqué un séisme politique en publiant dans la version hébraïque du journal Haaretz, le 22 mai 2025, un éditorial intitulé : « Nous commettons des crimes de guerre ». Dans ce texte, il reconnaît, sans détour, que l’armée israélienne mène à Gaza une « guerre d’extermination », avec des civils comme cibles délibérées, dans le cadre d’une politique « criminelle et préméditée ». En 2024, deux rapports de MSF et Human Rights Watch avaient déjà qualifié les opérations militaires à Gaza de génocidaires.

Une confession accablante sur la politique de Benjamin Netanyahu

Ehud Olmert, ancien Premier ministre israélien entre 2006 et 2009, a déclaré dans la version hébraïque du journal Haaretz, le 22 mai 2025, un éditorial intitulé : « Nous commettons des crimes de guerre ». Dans cet article, il dénonce la guerre menée par Benyamin Netanyahou :

Ce que nous faisons à Gaza, c’est une guerre d’extermination : aveugle, sans restriction, cruelle et criminelle de civils. Nous le faisons non pas en raison d’une perte de contrôle dans une certaine zone, mais en conséquence directe d’une politique gouvernementale, délibérée, malveillante, imprudente et intentionnelle.

Si auparavant Olmert avait nié les accusations de crimes de guerre tout en reconnaissant un « coût humain insupportable ». Il admet désormais que ces actes sont intentionnels, citant des déclarations de responsables israéliens qui assimilent l’ensemble de la population de Gaza au Hamas. Dans une interview avec la BBC en mai 2025, Olmert avait adopté un ton plus modéré, affirmant qu’Israël combattait le Hamas et non des civils, tout en qualifiant les actions de « très proches d’un crime de guerre ». Cette prudence contraste avec la franchise de son éditorial, qui semble destiné à un public israélien.

La peur d’une exclusion internationale

Bien qu’il n’ait jamais été connu pour sa compassion envers les Palestiniens — ayant lui-même imposé un blocus sévère à Gaza dès 2007 — Olmert met en garde contre les conséquences des actions israéliennes, notant que des alliés traditionnels comme le Canada, le Royaume-Uni et la France envisagent des mesures sévères. Il évoque les possibles poursuites devant la Cour pénale internationale (CPI), avertissant : « Il est temps de s’arrêter, avant que nous ne soyons chassés de la famille des nations. »

« Il est temps de s’arrêter – avant que nous ne soyons chassés de la famille des nations et appelés à La Haye pour crimes de guerre. »

Cette crainte est amplifiée par les rapports de HRW et MSF, qui pourraient servir de base à des actions juridiques internationales.Human Rights Watch et Médecins Sans Frontières ont qualifié les massacres à Gaza de génocide, documentant des violations systématiques des droits humains, y compris des attaques contre des civils et des infrastructures essentielles.

Olmert n’est ni militant des droits humains, ni sympathisant du Hamas. Sa déclaration est destinée aux Israéliens eux-mêmes, pour les avertir de la politique d’Israël actuellement.

Par ailleurs, l’ancien général Yair Golan, ex-chef d’État-major adjoint de Tsahal et président du parti de gauche Les Démocrates, a déclaré récemment sur une radio israélienne que Tsahal menait une guerre contre des civils, parlant même de « bébés tués par plaisir ». Il craint qu’Israël devienne « un État paria parmi les nations, comme l’Afrique du Sud d’antan ».

« Il n’y a pas de limite à la décadence morale », a immédiatement répondu Benjamin Netanyahu, l’accusant de propager des « calomnies antisémites (…) à l’encontre des soldats de l’armée israélienne ».Son gouvernement appelle à l’ouverture d’une enquête pour appel à la haine.

En qualifiant les actions israéliennes de « crimes de guerre » et de « guerre d’extermination », Olmert ne plaide pas pour les Palestiniens, mais lance un avertissement à ses compatriotes : la poursuite de cette guerre risque de mener à l’isolement d’Israël et à des poursuites internationales. Ces voix dissidentes, combinées aux preuves internationales, soulignent l’urgence d’une solution pacifique pour mettre fin à la violence et restaurer la justice.

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