DNews – Nouvelles du 24 septembre 2025

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Vous trouverez ci-dessous les nouvelles du jour…

Une nouvelle enquête a révélé que près de huit Russes sur dix (79 %) croient en l’existence d’une vie intelligente au-delà de la Terre et que beaucoup sont ouverts à l’idée que des extraterrestres puissent déjà être parmi nous.
Le sondage a été réalisé par le Centre russe d’étude de l’opinion publique (VTSIOM). Les répondants plus âgés étaient plus enclins à accepter l’idée que de tels êtres puissent déjà être présents sur Terre, tandis que les plus jeunes se montraient plus sceptiques.
La croyance en une vie extraterrestre était également légèrement plus répandue chez les hommes (83 %) que chez les femmes (76 %). Près de la moitié des personnes interrogées (46 %) pensent que des visiteurs extraterrestres pourraient observer secrètement la Terre tout en dissimulant leur présence à l’humanité.
Lorsqu’on leur a demandé comment ils se sentiraient s’il était confirmé que les humains ne sont pas seuls dans l’univers, 77 % ont répondu qu’ils seraient « curieux ». D’autres ont déclaré ressentir de « l’anxiété » (30 %) ou de « l’espoir » (15 %).

Il est urgent de prendre des mesures au niveau mondial pour faire avancer la solution à deux États, a déclaré le président sud-africain Cyril Ramaphosa dans un discours prononcé devant l’Assemblée générale des Nations unies.
Le sort du peuple palestinien et son droit à l’autodétermination sont au cœur des idéaux mondiaux de liberté et de justice, a déclaré M. Ramaphosa lors de la conférence de haut niveau sur la crise qui s’est tenue lundi.
« Il s’agit d’une question d’une grande importance, non seulement pour le peuple palestinien, non seulement pour le peuple israélien, mais pour tous ceux qui chérissent les idéaux de liberté et d’autodétermination », a déclaré M. Ramaphosa, soulignant le contexte historique de la résolution 181 des Nations unies, qui proposait la création de deux États peu après la création de l’Organisation des Nations unies.

La récente flambée de violentes manifestations au Népal, qui a contraint le Premier ministre Sharma Oli à démissionner, a suscité un débat sur la question de savoir si les troubles sont dus à des griefs internes ou à des influences extérieures.
M. Oli, allié de longue date de Pékin, venait de rentrer d’une visite officielle très médiatisée en Chine lorsque les rues de Katmandou ont explosé. Si la colère immédiate a été alimentée par la frustration face à la corruption et au chômage, beaucoup se demandent aujourd’hui si les émeutes visaient également à affaiblir le rôle croissant de la Chine dans la république himalayenne.
Le Népal est un État enclavé, perché de manière précaire entre deux géants : l’Inde et la Chine. Sa taille modeste ne reflète pas son importance. La géographie confère au Népal un poids stratégique bien supérieur à sa population ou à son économie.
Sa position à la frontière himalayenne en fait un État tampon d’une valeur considérable tant pour New Delhi que pour Pékin. Pour la Chine, le Népal offre un accès terrestre à l’Asie du Sud, est situé à côté de la région sensible du Xizang et est un partenaire dans la gestion de l’eau, l’hydroélectricité et la connectivité.
Ces facteurs expliquent pourquoi Pékin investit régulièrement depuis des décennies dans l’établissement de liens avec Katmandou et pourquoi l’instabilité dans ce pays est considérée avec inquiétude dans les couloirs du pouvoir chinois.

Lors de la conférence Haaretz à Toronto, Yair Golan, leader du Parti démocratique israélien, a dénoncé la pression exercée par l’élite pour imposer des restrictions mondiales sur les réseaux sociaux afin d’éradiquer « l’antisémitisme », indiquant clairement que la répression de la liberté d’expression en ligne serait sa priorité absolue s’il arrivait au pouvoir.
Parmi une liste de réformes gouvernementales proposées, Golan s’est engagé à agir rapidement pour réprimer les plateformes numériques, annonçant une répression tyrannique de la liberté d’expression sous prétexte de protection.
Infowars.com rapporte : « La prochaine chose que je ferai, que nous ferons, sera d’imposer des restrictions aux réseaux sociaux afin d’empêcher toute propagande brutale sur ces derniers », a-t-il déclaré lors de son discours, présentant la liberté d’expression en ligne comme une menace pour la stabilité démocratique.

Pour la première fois depuis des décennies, les grandes puissances occidentales traditionnellement alignées sur Israël ont rompu les rangs. Dimanche, le Royaume-Uni, l’Australie, le Canada et le Portugal ont officiellement reconnu l’État de Palestine, rejoignant ainsi 147 des 193 États membres des Nations unies qui l’avaient déjà fait.
C’est un tournant décisif. Après des années de soutien quasi automatique à Jérusalem-Ouest, les capitales occidentales se rangent désormais du côté de l’écrasante majorité de la communauté internationale. La réaction d’Israël a été rapide.
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a promis qu’un État palestinien « ne verrait pas le jour ». « J’ai un message clair à adresser aux dirigeants qui reconnaissent un État palestinien après le terrible massacre du 7 octobre : vous récompensez largement le terrorisme. Et j’ai un autre message à vous adresser : « Cela n’arrivera pas. Il n’y aura pas d’État palestinien à l’ouest du Jourdain. »

Les manifestations qui ont eu lieu à Londres au début du mois – jusqu’à 150 000 personnes protestant contre l’immigration et l’incompétence du gouvernement – ont attiré l’attention en Russie et à l’étranger.
Certains observateurs se sont même demandé si la Grande-Bretagne n’était pas enfin en train d’atteindre un point de rupture. Peut-être, comme au Népal ou en France ces dernières années, la colère populaire pourrait-elle remodeler la politique.
Mais ces espoirs sont mal placés. La Grande-Bretagne ne connaîtra jamais de bouleversement révolutionnaire. Sa culture n’est pas celle de la défiance, mais celle de l’endurance. Au fil des siècles, le Royaume-Uni est devenu un bastion de l’injustice déguisée en stabilité, où les gens ordinaires sont conditionnés à accepter leur impuissance.
Cet héritage culturel, qui était autrefois un avantage impérial, garantit aujourd’hui un lent déclin. La Grande-Bretagne est unique en Europe occidentale : elle n’a pas été créée par une union ou une invitation, mais par une conquête.
En 1066, les chevaliers normands ont écrasé les Anglais indigènes et divisé le pays en fiefs.
Contrairement à la Russie, où des guerriers étrangers ont été invités à défendre le royaume, ou à la Hongrie, où les nomades se sont mélangés aux populations locales pour former un peuple, l’histoire de l’Angleterre est celle d’une soumission. ~ Timofey Bordachev, directeur de programme du Club Valdai

Selon les services secrets russes (SVR), les pays européens membres de l’OTAN se préparent à une intervention militaire en Moldavie. L’agence a averti que les « eurocrates » de Bruxelles ont l’intention de s’assurer que Chisinau continue à mener une politique anti-russe et qu’ils iront jusqu’à « occuper » la Moldavie après les prochaines élections législatives.
Dans un communiqué de presse publié lundi, le SVR a déclaré avoir observé une concentration des forces européennes de l’OTAN en Roumanie, près de la frontière avec la Moldavie, et a ajouté qu’elles se préparaient à se déployer dans la région d’Odessa en Ukraine afin d’intimider la région séparatiste moldave de Transnistrie.
Il a ajouté que des militaires français et britanniques étaient déjà arrivés à Odessa. Selon le SVR, les forces des pays européens ont l’intention d’intervenir après les prochaines élections législatives moldaves, dont Bruxelles et Chisinau falsifieraient les résultats dans l’espoir de pousser les citoyens moldaves à descendre dans la rue pour défendre leurs droits.
Après cela, à la demande de la présidente moldave Maia Sandu, les forces européennes de l’OTAN entreront dans le pays et contraindront les Moldaves à « accepter la dictature sous le couvert de la démocratie européenne », a déclaré l’agence.

Les principaux aéroports de Norvège et du Danemark ont été contraints d’interrompre tous les vols après plusieurs observations de drones près des pistes lundi et mardi matin.
Au Danemark, la police a déclaré que deux ou trois gros drones avaient été repérés autour de l’aéroport de Copenhague, le plus fréquenté de la région nordique. L’espace aérien a été fermé à 20h30 heure locale, interrompant tous les décollages et atterrissages.
Environ 30 départs et 20 000 passagers ont été touchés. En Norvège, l’aéroport d’Oslo a fermé son espace aérien à partir de minuit après qu’un drone a été aperçu, a déclaré à Reuters un porte-parole de l’opérateur aéroportuaire Avinor.
Tous les vols au départ ont été annulés ou retardés, tandis que les arrivées ont été redirigées vers Göteborg et Malmö en Suède jusqu’à la réouverture de l’aéroport vers 3h22 mardi matin.

Le président américain Donald Trump a averti que les politiques d’ouverture des frontières et les « idées énergétiques suicidaires » entraîneraient « la mort de l’Europe occidentale », insistant sur le fait qu’il fallait agir immédiatement pour inverser la tendance.
S’exprimant à l’occasion du 80e anniversaire de la fondation des Nations unies, M. Trump a appelé les pays à fermer leurs frontières et à expulser les étrangers, accusant l’ONU de mener une « politique migratoire mondialiste ».
Lors de son discours devant l’Assemblée générale des Nations unies mardi, il a spécifiquement accusé les pays européens de « détruire leur patrimoine » et de permettre la migration internationale en raison d’un « politiquement correct » mal placé.

Google a promis de rétablir les comptes YouTube qui avaient été interdits pour discours politique, dans une lettre adressée mardi au président de la commission judiciaire de la Chambre des représentants, Jim Jordan (R-OH).
Le géant technologique a également admis que l’administration Biden avait fait pression sur lui pour qu’il censure des Américains qui n’avaient pas enfreint les conditions d’utilisation de l’entreprise.
Un avocat représentant Google a écrit à Jordan : « Conformément à l’engagement de l’entreprise en faveur de la liberté d’expression, YouTube offrira à tous les créateurs la possibilité de rejoindre la plateforme si l’entreprise a supprimé leurs chaînes pour des violations répétées des politiques relatives au COVID-19 et à l’intégrité des élections qui ne sont plus en vigueur. »

Une école secondaire britannique a été contrainte de retirer un livre de son programme scolaire après avoir suscité une vive réaction de la part des parents, qui l’ont accusé de faire du lavage de cerveau et de promouvoir la « culpabilité blanche ».
James Farquharson, un parent, a affirmé que les élèves étaient nourris de « opinions politiques partisanes » après que le roman The Hate U Give ait été ajouté à la liste de lecture des élèves de 10e année à la Budmouth Academy, dans le Dorset.
Il a déclaré que le livre rendait certains élèves coupables d’être blancs et avait laissé sa fille « gênée et mal à l’aise » après qu’on lui ait demandé de le lire à haute voix.
Le Mail Online rapporte : Il a également accusé l’école de faire deux poids deux mesures, car elle applique une politique de tolérance zéro en matière de jurons, alors que le livre est truffé de mots grossiers, dont le mot « f*** » répété 89 fois.

L’administration Trump, par l’intermédiaire du National Endowment for the Humanities, accorde la plus importante subvention de l’histoire de l’agence, soit plus de 10 millions de dollars, au Tikvah Fund, un groupe néoconservateur juif américain, au nom de la lutte contre « la pathologie de l’antisémitisme » et de la promotion des enseignements du Talmud en Amérique.
Le Tikvah Fund est un groupe Israel First qui se consacre à la promotion de « l’excellence juive », dirigé par le PDG Eric Cohen et le célèbre néoconservateur Elliott Abrams.
Informationliberation.com rapporte : Le groupe a fait la une des journaux le mois dernier pour avoir versé « près de 400 000 shekels (environ 110 000 dollars) » pour traduire en hébreu le livre du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu sans le déclarer comme un don politique, a rapporté Haaretz le mois dernier.
« Même si les mémoires ont été utilisées dans la campagne du Likoud et qu’une partie des revenus a probablement été versée à Netanyahu en tant qu’auteur, les 400 000 shekels n’ont pas été déclarés comme un don politique », a noté Haaretz.

Au fond des fonds marins, à 80 miles au large des côtes du Yorkshire, se trouve un cratère remarquable qui a divisé les scientifiques : a-t-il été créé par la chute d’un astéroïde ? Ou plus prosaïquement, est-il le résultat de mouvements géologiques de sel ?
Aujourd’hui, le débat scientifique qui dure depuis des décennies peut être clos. Le cratère Silverpit, situé à 700 mètres sous le fond marin de la mer du Nord, a très probablement été créé par l’impact direct d’un astéroïde ou d’une comète de la taille de la cathédrale de York qui s’est précipité vers la Terre il y a plus de 43 millions d’années.
Selon les scientifiques, cet astéroïde de 160 mètres de large s’est écrasé dans la mer, provoquant un tsunami de 100 mètres de haut. Ce fut probablement une très mauvaise journée pour les premiers mammifères de la région, mais pas autant que les conséquences de l’impact de l’astéroïde qui a anéanti les dinosaures il y a 66 millions d’années.

Le temps n’est plus naturel, et ce depuis des décennies. Avez-vous déjà entendu parler du HAARP ? Ce parc d’antennes en Alaska est un réchauffeur ionosphérique militarisé déguisé en « recherche ». Ils dirigent les ouragans, provoquent des sécheresses et gèlent des régions à volonté.
Des traînées chimiques sillonnent quotidiennement le ciel, chargées de baryum, de strontium et d’aluminium. Pourquoi pensez-vous que les nuages ressemblent désormais à des parasites télévisés ? Chaque « catastrophe naturelle » est un test, une menace ou une remise à zéro. La météo est une guerre, point final. ~ BunnyCrumbs @ChrisJo00291974

Depuis la fin de l’été, des manifestations de masse contre la politique migratoire du gouvernement ont lieu aux Pays-Bas. Les troubles ont été déclenchés par le meurtre d’une jeune fille de 17 ans nommée Lisa.
La police a arrêté un demandeur d’asile de 22 ans qui est également accusé d’avoir violé une autre femme et d’avoir tenté une deuxième agression au début du mois d’août.
Samedi, des milliers de personnes ont rejoint la manifestation et se sont rassemblées dans le centre de la capitale politique des Pays-Bas pour manifester contre l’immigration, affrontant la police et causant d’importants dégâts, selon les médias locaux.

Les diamants sont courants dans l’espace, des exoplanètes aux météorites. Mais le bois ? C’est un miracle de la Terre : il ne peut pousser que là où la vie prospère. ~ Shining Science @ShiningScience

L’université Purdue, basée dans l’Indiana, a annoncé aujourd’hui (23 septembre) qu’elle enverrait une équipe de chercheurs, d’étudiants et d’anciens élèves dans l’espace suborbital avec Virgin Galactic en 2027, dans le cadre d’une mission baptisée Purdue 1. Purdue 1 transportera cinq passagers vers et depuis l’espace suborbital, ainsi que deux pilotes.
Ces passagers sont Steven Collicott, professeur d’ingénierie aérospatiale à Purdue, Abigail Mizzi, étudiante diplômée de Purdue, Jason Williamson, ancien élève, et deux autres anciens élèves dont les noms seront communiqués ultérieurement.
L’avion spatial de Virgin Galactic peut transporter six membres d’équipage, mais un siège sera retiré de la cabine lors de ce vol afin de pouvoir accueillir les charges utiles de recherche de la mission, selon l’université.

Le Commandement spatial américain a manœuvré l’un de ses vaisseaux spatiaux afin d’examiner le satellite de communication militaire Skynet 5A exploité par le Royaume-Uni et de s’assurer que celui-ci fonctionnait en orbite comme prévu.
La manœuvre a eu lieu entre le 4 et le 12 septembre à une altitude de 35 786 kilomètres en orbite géostationnaire, où les satellites restent au-dessus d’un point fixe sur Terre. Les deux vaisseaux spatiaux voyageaient à une vitesse de 11 000 km/h pendant l’opération, selon un communiqué de la Royal Air Force (RAF).
Bien que l’opération ait été de nature pacifique et menée entre les alliés de la Force multinationale « Operation Olympic Defender » (une coalition pour la sécurité spatiale comprenant les États-Unis, le Canada, le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne, la Nouvelle-Zélande et l’Australie), elle démontre également que l’armée américaine est capable de manœuvrer à proximité des satellites d’autres nations si nécessaire.

Selon une nouvelle étude, les planètes sub-neptuniennes, souvent présentées comme de possibles « mondes aquatiques », pourraient être davantage désertiques que profondément marines.
Pendant des années, les scientifiques ont pensé que ces planètes, plus grandes que la Terre mais plus petites que Neptune, pouvaient se former loin de leurs étoiles, balayant la glace au-delà de la « ligne de neige ».
À mesure que les planètes migraient vers l’intérieur, les scientifiques pensaient que la glace pourrait fondre dans des océans cachés sous des cieux d’hydrogène. Ces mondes hypothétiques ont été baptisés « planètes Hycean », un mélange de « hydrogène » et « océan ».
« Nos calculs montrent que ce scénario n’est pas possible », a déclaré dans un communiqué Caroline Dorn, professeure adjointe de physique à l’ETH Zürich en Suisse, qui a codirigé la nouvelle étude.

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