Vous trouverez ci-dessous les nouvelles du jour…

  • Les tatouages découverts sur le visage et le bras d’une momie sud-américaine ancienne sont totalement différents de tous les autres exemples connus d’art corporel ancien.

    Dans une nouvelle étude décrivant ces tatouages, les chercheurs affirment que les motifs sont uniques non seulement par leur composition, mais aussi par le type d’encre utilisé pour les réaliser.

    Actuellement conservée au Musée d’anthropologie et d’ethnographie de l’Université de Turin, en Italie, cette momie féminine aurait vécu dans les Andes il y a environ huit siècles, mais on ignore quand, où et dans quel groupe culturel elle a vécu.

    Compte tenu de la position fléchie du corps et de la présence de fragments de textile collés à la peau, les auteurs de l’étude pensent que la femme a été enterrée dans un « paquet funéraire andin typique » appelé fardo.

  • Le Canada fait la promotion de l’euthanasie, sans le consentement des parents, pour les enfants et les adolescents souffrant de troubles mentaux.

    Jasmin Laine, animatrice de l’émission « Over Opinionated », a publié des tracts qu’elle a trouvés au Manitoba, qui soutiennent l’autorisation de l’euthanasie pour les enfants et les adolescents considérés comme « mineurs matures » par le gouvernement canadien.

    Laine a écrit sur X : « Il faut être particulièrement démoniaque pour défendre l’aide médicale à mourir pour les jeunes vulnérables et les personnes suicidaires », ajoutant : « Imaginez que vous entriez dans une clinique pour demander de l’aide et qu’on vous dise que le monde serait meilleur sans vous…

    que vous devriez céder aux mensonges que le diable vous murmure à l’oreille et que votre disparition serait plus abordable pour le système de santé canadien. » (MAID signifie « Medical Assistance in Dying », aide médicale à mourir).

  • Regeneron Pharmaceuticals, ouvre un nouvel onglet a annoncé lundi qu’elle allait racheter la société de génomique 23andMe Holding pour 256 millions de dollars dans le cadre d’une vente aux enchères pour faillite, et a promis de donner la priorité à l’utilisation éthique des données ADN des clients utilisant des tests d’ascendance et d’autres services.

    Grâce à cet accord, Regeneron, basé à Tarrytown, dans l’État de New York, vise à renforcer ses capacités en matière de découverte de médicaments basés sur la génomique en intégrant la mine d’informations que représente les plus de 15 millions de profils ADN de clients de 23andMe, collectés via ses kits de test salivaire grand public très populaires.

    Basée à South San Francisco, en Californie, 23andMe a déposé le bilan le mois dernier, cherchant à vendre son activité aux enchères après une baisse de la demande des consommateurs et une violation de données en 2023 qui a exposé les informations génétiques et personnelles sensibles de millions de clients.

  • Les cercles de fées de Namibie sont un sujet de recherche controversé depuis plus de 50 ans. Au fil du temps, les scientifiques ont avancé plusieurs hypothèses, notamment les gaz, les termites, les fourmis ou les euphorbes.

    Un dicton bien connu parmi les scientifiques nous met en garde contre ce problème : corrélation n’implique pas causalité. Qu’est-ce que cela signifie ? Trouver une relation entre deux choses différentes ne signifie pas nécessairement que l’une est la cause de l’autre.

    Il peut également s’agir d’un lien indirect, plutôt que d’une relation directe de cause à effet. Découvrir les causes de certains phénomènes naturels est l’une des principales occupations des chercheurs travaillant dans les sciences naturelles, comme la biologie.

    Une étude récente apporte de nouvelles preuves à l’appui d’une autre hypothèse, connue sous le nom d’auto-organisation. Cette hypothèse propose que les plantes qui se disputent l’eau dans un environnement aride créent entre elles des zones de sol nu, appelées cercles de fées.

  • Un trou colossal, s’étendant sur plus d’un million de kilomètres de large, s’est ouvert dans l’atmosphère solaire, libérant un puissant flux de vent solaire vers la Terre et incitant les prévisionnistes météorologiques spatiaux à émettre des alertes de tempête géomagnétique pour les prochains jours.

    Selon les prévisionnistes de la NOAA, cette éjection de masse coronale pourrait frapper de plein fouet le champ magnétique terrestre le 23 mai, intensifiant potentiellement le risque déjà élevé d’une tempête géomagnétique de classe G1.

    Des tempêtes mineures de classe G1 sont également possibles du 20 au 22 mai, alors que la Terre traversera un flux de vent solaire à grande vitesse provenant du trou coronal nouvellement formé.

  • Les membres de l’Organisation mondiale de la santé ont adopté mardi un accord visant à améliorer la préparation aux futures pandémies après la réponse mondiale désordonnée à la COVID-19, mais l’absence des États-Unis jette un doute sur l’efficacité du traité.

    Après trois ans de négociations, le pacte juridiquement contraignant a été adopté par l’Assemblée mondiale de la santé à Genève. Les pays membres de l’OMS ont applaudi son adoption.

    Cent vingt-quatre pays ont voté pour, aucun pays n’a voté contre, tandis que 11 pays, dont la Pologne, Israël, l’Italie, la Russie, la Slovaquie et l’Iran, se sont abstenus.

  • Le fondateur de Telegram, Pavel Durov, a accusé la France de faire pression sur lui pour qu’il s’ingère dans la politique roumaine, moldave et ukrainienne.

    M. Durov a réitéré ses accusations selon lesquelles les services de renseignement français auraient fait pression sur lui pour qu’il censure les voix conservatrices sur sa plateforme, qualifiant leurs prétendues préoccupations en matière d’application de la loi de « tactique de manipulation ».

    Les services de renseignement français ont nié toutes ces allégations. RT rapporte : Dimanche, Durov a accusé le chef de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), Nicolas Lerner, de lui avoir demandé de supprimer les chaînes Telegram roumaines avant le second tour de l’élection présidentielle dans ce pays.

  • La « présidence » de Joe Biden est l’un des plus grands scandales de l’histoire américaine. Les médias traditionnels ne commencent que maintenant à couvrir l’incapacité mentale d’un président qui a apparemment laissé les rênes de l’État à une bureaucratie irresponsable.

    Vendredi, Axios a publié l’enregistrement audio de l’interview de Biden avec le conseiller spécial Robert Hur, réalisée en 2023. Certains de mes collègues ont écouté l’intégralité des enregistrements et ont découvert que Biden « avait oublié les noms de l’ancien secrétaire à la Défense du président Barack Obama et du comédien Jay Leno ;

    qu’il avait qualifié l’Afrique de pays et non de continent ; et qu’il ignorait qu’il avait en sa possession un carnet contenant des conseils de guerre destinés à Obama lors de son entretien avec le conseiller spécial Robert Hur et les enquêteurs en octobre 2023 ».

    Biden ne semblait certainement pas être quelqu’un à qui l’on pouvait confier des décisions nationales de grande envergure, ni même des décisions personnelles de moindre importance. Les élites médiatiques sont choquées, choquées de découvrir que Biden n’était peut-être pas apte à exercer ses fonctions.

    Il n’y a pas eu de tentative généralisée pour tromper le peuple américain et assurer un nouveau mandat à un président « presque catatonique », comme l’a décrit un témoin lors de la collecte de fonds organisée en juin par George Clooney pour Biden.

    La situation avec Biden était bien pire, la dissimulation bien plus étendue et les conséquences bien plus graves à l’ère de la communication instantanée et des armes capables de détruire rapidement toute la civilisation humaine.

    Alors que les conseillers du 46e président, très probablement à la demande de l’ancien président Barack Obama, le menaient dans une version prolongée et réelle de « Week-end chez Bernie », l’appareil fédéral fonctionnait de son propre chef.

    Il s’agissait d’un régime dirigé par des « experts », ou plutôt par la classe dirigeante qui a recréé l’ancien système de favoritisme, mais en le rendant totalement irresponsable vis-à-vis du peuple américain.

    Les décisions étaient prises par de vastes agences interconnectées, à la demande de leurs alliés du Parti démocrate qu’elles servent. C’était le premier véritable « État profond ». Jarrett Stepman

  • La puissante tempête géomagnétique qui a provoqué de magnifiques aurores boréales à travers le monde en mai 2024 a été la première à recevoir un nom. Elle a été baptisée en l’honneur d’une scientifique spécialiste de la météorologie spatiale qui, selon les scientifiques de la NASA, était une sommité dans ce domaine et qui est décédée subitement la même année.

    Le Dr Jennifer Lea Gannon est décédée subitement le 2 mai 2024 à Greenbelt, dans le Maryland, à l’âge de 45 ans, selon l’hommage qui lui a été rendu, saluant son engagement en tant que rédactrice en chef de Space Weather. À ce poste, Mme Gannon a guidé la publication de plus de 200 manuscrits et a publié de nombreux éditoriaux.

    Elle était également la membre la plus ancienne du conseil d’administration, occupant ce poste depuis avril 2019 après avoir débuté sous la direction de l’ancienne rédactrice en chef du journal, Delores Knipp.

  • Notre galaxie, la Voie lactée, abrite des phénomènes extrêmement étranges, mais une nouvelle découverte laisse les astronomes perplexes. Grâce aux données recueillies par un puissant radiotélescope, les astronomes ont découvert ce qui semble être une bulle parfaitement sphérique.

    Nous savons plus ou moins de quoi il s’agit : il s’agit d’une boule de matière en expansion éjectée par une étoile en explosion, un vestige de supernova, mais son origine reste un mystère.

    Une grande équipe internationale dirigée par l’astrophysicien Miroslav Filipović de l’université Western Sydney en Australie a baptisé cet objet « Teleios », du grec ancien signifiant « perfection ».

    Après avoir examiné toutes les possibilités, les chercheurs ont conclu que nous aurons besoin de plus d’informations pour comprendre comment cet objet s’est formé.

  • Malgré toutes les images époustouflantes, saisissantes et stupéfiantes que le télescope spatial Hubble nous a envoyées au fil des ans, la première image floue en noir et blanc est en quelque sorte la plus importante.

    En effet, il s’agit de la première image prise par le télescope, le 20 mai 1990, il y a un quart de siècle. Le sujet de cette toute première capture cosmique était l’étoile double HD96755, située dans l’amas ouvert NGC 3532, à environ 1 300 années-lumière. La première photo de HD96755 était simplement destinée à servir de test de première lumière.

    « La première lumière signifie que la lumière traverse tout le système optique et atteint les détecteurs », explique Dave Leckrone, qui était à l’époque scientifique adjoint du projet Hubble, puis scientifique principal de 1990 à 2009. « Ce n’est qu’à ce moment-là que l’on peut dire que la première lumière a été obtenue. »

  • Polaris, également connue sous le nom d’« étoile polaire » ou « étoile du Nord », est sans doute l’astre le plus célèbre du ciel nocturne de l’hémisphère occidental. Depuis des siècles, elle sert de point de repère essentiel aux explorateurs qui naviguent à la fois sur les océans terrestres et dans le champ stellaire céleste.

    Son importance apparente se reflète dans le fait que tout le ciel nocturne semble tourner autour d’elle. Cela s’explique par le fait que la position de Polaris est étroitement alignée avec l’axe de rotation nord de la Terre, connu sous le nom de pôle céleste lorsqu’il est projeté vers l’extérieur dans l’espace.

    Cependant, Polaris n’est pas la première étoile polaire à briller sur l’humanité, et elle ne sera pas la dernière. Selon la NASA, la Terre est engagée dans un combat gravitationnel constant avec la Lune et le Soleil, qui a fini par créer un renflement au niveau de l’équateur de notre planète.

    En conséquence, l’axe de rotation de la Terre a développé une oscillation distincte, connue des scientifiques sous le nom de précession axiale, qui fait que le pôle céleste décrit un large cercle paresseux sur une période d’environ 26 000 ans, se rapprochant de plusieurs autres étoiles importantes en plus de l’étoile polaire.

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