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DISPARITION D’ÉRIC DENÉCÉ : quand le pouvoir fait taire tous ceux qui voient clair !

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Décès d'Eric Denécé.

Le silence vient une nouvelle fois de frapper là où résonnait encore la parole lucide, rigoureuse et dérangeante d’un homme libre. Éric Denécé, docteur en science politique, expert en renseignement, directeur du CF2R (Centre Français de Recherche sur le Renseignement), et figure respectée dans le monde de l’analyse stratégique, a rejoint, à son tour, la déjà trop longue liste de ceux dont la disparition soulève plus de questions qu’elle n’apporte de réponses. Il a été retrouvé mort chez lui à l’âge de 62 ans, ce 11 juin 2025, et la piste du suicide, évoquée dans un premier temps et alimentant les soupçons, ne convainc absolument pas les proches de cet expert reconnu.

Son décès intervient dans un contexte étouffant, alors que la France voit s’effacer, les uns après les autres, des intellectuels, chercheurs, journalistes ou témoins engagés, qui osaient poser des questions interdites, exprimer des doutes, ou encore exposer des vérités jugées subversives. Son crime a été d’avoir dit simplement la vérité, dans ce pays où le mensonge et la corruption sont devenus la règle. Avoir pensé librement, avoir dénoncé l’alignement suicidaire de la France sur des intérêts étrangers et otaniens, avoir osé refuser de réciter la propagande servile servie par les médias subventionnés.

Il rejoint désormais la cohorte grandissante des voix qu’on étouffe. Après la mort très suspecte du Général Delaware emporté par un AVC foudroyant alors que la semaine précédente, en pleine forme, il donnait une interview à Dieudonné ; celle non moins douteuse de Frédéric Chaumont ensuite ; la tentative d’enfermement psychiatrique de Pierre Jovanovic ; ou encore celle d’enfermement judicaire de Youssef Hindi dans la continuité ; le cancer fulgurant de Natacha Rey après un procès pipé contre Jean-brigel Trogneux-Macron et notre Président aux origines brumeuses… Tant de coïncidences font désormais une évidence !

C’est maintenant au tour d’Éric Denécé qu’on retrouve muet. Définitivement. Il s’éteint alors même qu’il défendait une vision géopolitique indépendante, lucide, critique de l’alignement systématique de la France sur les positions de l’OTAN et des États-Unis. Comme par hasard… Et on peut facilement imaginer que ses prises de position favorables à la Russie de Vladimir Poutine, l’ont conduit vers son assassinat. Il ne s’agit plus de tragédies isolées. Il ne s’agit plus de théories. Il s’agit d’une stratégie, froidement méthodique et implacable. Mais désormais, de plus en plus visible.

Scénario tout à fait plausible lorsqu’on connait le profil psychopathique du Président français et de ses troupes de tueurs, réunis dans l’escadron de la mort opérant sous le couvert des services de renseignement français et connu sous le nom de code « fleur de lys », en charge d’éliminer les opposants politiques de ce même Président, illégitime de surcroît qu’est Emmanuel Macron.

L’article publié par le site Veterans Today, mentionne que cet escadron de meurtriers serait dirigé par Alexandre Benalla, l’ancien garde du corps et responsable de la sécurité personnelle d’Emmanuel Macron. L’enquête souligne aussi que les méthodes utilisées par ce groupe incluent des assassinats exécutés par des tueurs à gage, des sabotages financiers et des abus par les services de renseignement, tous orchestrés par un réseau d’officiels de la sécurité loyaux au tyran Macron. De plus, les auteurs de l’article affirment que ces actions visent à éliminer toute menace pour la survie politique de ce Président et à maintenir son pouvoir dont la probité comme la légalité des scrutins n’a toujours pas été démontrée.

Ce pouvoir n’a plus rien de démocratique. Il agit désormais comme une bande organisée, accrochée à ses privilèges, paniquée à l’idée d’être démasquée. Ce gouvernement, ou devrions-nous dire cette clique mafieuse, ne gouverne plus mais réprime, censure et efface. Ses décisions relèvent plus de la pulsion paranoïaque que de la raison d’État. Il suffit d’observer comment ses pantins tremblent devant un micro ouvert, et s’emmêlent les pinceaux dès qu’il faut répondre sans téléprompteur. Leur incompétence est devenue caricaturale, et leur panique aussi flagrante que leur addiction aux drogues. Alors, comme ils perdent la main, ils frappent. Non plus par le débat, mais par la marginalisation, la diabolisation, et désormais l’élimination symbolique, mais aussi physique, de ceux qui voient clair et osent le dire.

Éric Denécé dérangeait les individus dont Macron est le pantin, parce qu’il connaissait les mécanismes du renseignement mieux que ceux qui prétendent le contrôler. Parce qu’il comprenait la géopolitique, pas celle des plateaux TV, mais celle du terrain, des Hommes, des intérêts réels. Parce qu’il savait que la diabolisation hystérique de la Russie et le suivisme envers Washington n’étaient pas des choix stratégiques mais des abandons calculés, dictés par d’autres. Il était un rempart intellectuel contre la décadence, un homme debout dans un pays qui marche à genoux.

Éric Denécé n’était pas un simple intellectuel. Il était un homme d’action, un homme de terrain doublé d’un penseur libre. De la résistance anticommuniste au Cambodge aux zones de conflit les plus sensibles du Moyen-Orient, en passant par la Birmanie ou les coulisses des opérations spéciales, il avait vu, vécu, et analysé ce que beaucoup ne font qu’effleurer dans les livres. Il avait conseillé les plus hautes sphères du ministère de la Défense, dirigé des cellules d’intelligence économique, et formé des générations d’élèves en écoles militaires et universitaires.

Son franc-parler, son indépendance intellectuelle, et sa volonté de défendre une lecture multipolaire du monde l’avaient placé en porte-à-faux avec les canaux officiels et les voix médiatiques bien alignées. Il était l’un des rares à dénoncer les dérives informationnelles, les manipulations occidentales, les effets d’une guerre hybride menée également contre l’opinion.

Que dire, alors, de cette atmosphère devenue irrespirable dans cette France où la mafia bancaire s’est muée en mafia sanguinaire ? Où les procès s’organisent contre des lanceurs d’alerte, où l’on tente d’interner ceux qui dérangent, où des voix libres sont accusées de complotisme quand elles ne font que poser les bonnes questions ? Où les réseaux sociaux sont sommés de censurer les contenus et de dénoncer les abonnés ? Le traitement réservé aux dissidents français d’aujourd’hui rappelle, de manière glaçante, les méthodes d’un autre temps, que l’on pensait révolues. Nous nageons entre le Nazisme et le Stalinisme imposés à coup d’intimidation, de censure, de répression judiciaire, de discrédit médiatique, et pour certains… de disparition pure et simple. Disons-le, d’assassinats maquillés en suicides ou en maladies fulgurantes.

On ne compte plus les journalistes, les intellectuels, les chercheurs ou les citoyens ordinaires que ce régime méprise, insulte, enferme ou laisse mourir dans l’indifférence. La France devient, sous nos yeux, une prison à ciel ouvert où la surveillance est totale, la contradiction suspecte, la dissidence assimilée à de la folie ou du terrorisme. C’est la raison pour laquelle, le décès soudain d’Éric Denécé ne peut, ne doit pas être réduit à une simple page nécrologique. Il marque une étape de plus dans la mise au silence systématique de ceux qui refusent la doxa, qui interrogent le pouvoir, qui rappellent que l’intelligence, la vraie, n’est ni obéissante, ni servile. Et encore moins au service d’un gouvernement aussi malfaisant que destructeur, dont l’arrogant « Looser » Macron est en charge.

Éric Denécé, par son courage et sa rigueur, laisse un héritage précieux. Et si sa voix s’est éteinte, ses analyses, ses livres, ses conférences, restent vivants. Cet hommage est aussi un cri d’alerte envoyé à tous ceux qui doutent, qui s’informent autrement, qui continuent à chercher la vérité dans un monde saturé de mensonges où la presse de propagande archi subventionnée maquille toute véritable information, quand elle ne l’invente pas ! Alors amis dissidents, ne baissez surtout pas les bras, ne vous laissez pas aller à la lassitude de voir ces exactions se perpétrer impunément et au grand jour.

Et que ceux qui rêvent de transformer notre pays en un désert intellectuel, en une prison à ciel ouvert, qu’ils sachent bien que ce pays ne leur appartient pas. Cette nation n’est pas une succursale de Davos, ni un paillasson pour bureaucrates sous influence. Ce pays est encore celui de l’insoumission, de l’esprit critique, de la plume qui tranche plus fort que le glaive. Et que ceux qui rêvent de transformer notre patrie en désert intellectuel, en goulag numérique, en cauchemar « pharmacratique » ou en poubelle mondialiste le comprennent une bonne fois pour toutes.

Nos pensées vont à sa famille ainsi qu’à ses proches collaborateurs. Que son engagement indéfectible en faveur d’une pensée libre inspire et encourage tous ceux qui refusent de céder au silence. Nous n’oublierons pas Éric Denécé, comme nous n’oublierons aucun des noms qu’ils essaient de faire disparaître à mesure que leur panique s’accroit. Car à chaque voix qu’ils éteignent, cent autres s’élèvent, et il reste et restera toujours plus de veilleurs, de plumes, de penseurs que d’assassins et de politiciens vérolés dans ce pays. Notre colère est froide, lucide et désormais inextinguible.

Certes, ils ont encore tué un homme de grande valeur, mais ils n’éteindront pas le feu de la vérité qu’il a allumé…

Phil BROQ.

Blog de l’éveillé

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