Diana Katalayi Ilunga, autrice franco-congolaise, accuse Guillaume Musso et Calmann-Lévy de plagiat. En effet, elle affirme que son roman Et tu ne le sais pas inspire Quelqu’un d’autre. Ainsi, Ilunga révèle avoir soumis son manuscrit à l’éditeur en 2022. Mais Calmann-Lévy n’a jamais répondu, la poussant à s’auto-éditer. Cependant, elle découvre des similitudes troublantes entre les deux œuvres. Par exemple, les intrigues mettent en scène deux femmes liées à un même homme. De plus, un accident déclenche l’histoire dans chaque roman. En outre, un psychiatre joue un rôle clé dans les récits. D’ailleurs, les deux livres partagent une fin surprenante avec un trouble dissociatif. Par ailleurs, Ilunga a envoyé une mise en demeure le 20 février 2025, elle exige des explications et une compensation financière.

Cette affaire rappelle fortement celle de Kamel Daoud, accusé par Saâda Arbane, victime de la guerre civile algérienne, d’avoir utilisé son histoire sans consentement dans Houris (2024), primé au Goncourt. Ainsi, Arbane reproche à Daoud d’avoir exploité des détails intimes, révélés lors de séances avec sa femme psychiatre.

En somme, ce nouveau scandale soulève des questions sur l’éthique dans le milieu putride de l’édition parisienne. On à l’impression que c’est une pratique commune vu qu’il n’y a plus d’écrivains talentueux, il ne leur reste plus qu’à piller le travail des autres…