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HISTOIRE. À l’aube de ses 30 ans, la Société de généalogie de Drummondville (SGD) peut enfin dire mission accomplie. Huit années ont été nécessaires pour mettre sur pied Devoir de mémoire, un outil technologique qui permet de retracer l’historique des cimetières, des columbariums et bientôt des églises de la MRC Drummond.
Via la revue La Lanterne, supportée par de fidèles commanditaires, la SGD a graduellement publié l’historique de 38 cimetières (abénaquis, privés, protestants et catholiques) de la MRC Drummond. Les textes rédigés par les auteurs bénévoles figurent sur le code QR de chaque cimetière.

À la suite d’un partenariat avec la Société de généalogie de l’Abitibi-Témiscamingue, ce projet «Opération Cimetières», sous la gouverne de Jasmin Champagne et de Roger Neveu, a débuté à vitesse grand V et s’est développé sous la responsabilité de Claude Gagnon et Maurice Dupras, secondés par de nombreux bénévoles.
Les stèles de chaque cimetière ont été photographiées et transcrites. À ce jour, tous les cimetières des circonscriptions électorales de Drummond-Bois-Francs, de Johnson et de Nicolet-Yamaska sont complétés. 41 000 photos et 120 000 noms sont présentement accessibles gratuitement sur le site internet de la SGD. À ceci s’ajoutent 10 columbariums que l’équipe de Marcel Gouin tient à jour.
Considérant le fait que ce ne sont pas tous les inhumés qui bénéficient d’une stèle, les bénévoles responsables des données BMS2000 ont entrepris, avec la coopération des autorités des cimetières, de dresser la liste alphabétique de toute personne inhumée dans un cimetière donné. Par exemple, au cimetière St-Frédéric de 1822 à 2023, 7519 noms sont gravés sur les stèles comparativement à 11025 inhumés.
Un autre projet
En février dernier, lors d’une rencontre avec l’abbé Gilles Dubois, ce dernier signalait à la SGD qu’il serait intéressant que les églises bénéficient d’un historique tout comme les cimetières. La Société de généalogie a contacté les fidèles auteurs et écrivains pour savoir si ce projet était susceptible de les intéresser. La SGD a reçu une réponse positive des écrivains, des photographes, des numériseurs et du graphiste.
Ainsi, un code QR à l’entrée du lieu de culte mènerait à un texte de 500 mots, accompagné de quatre ou cinq photos sur l’historique de l’église.
Tous sont à l’œuvre et les codes QR seront installés au début du mois d’août.