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Dette publique : non, on ne la remboursera jamais et personne n’y croit vraiment

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🔥 Les essentiels de cette actualité

  • La dette publique ne sera jamais remboursée, une réalité que personne n’ose avouer. Découvrez pourquoi.
  • Les gouvernements jouent avec des chiffres, mais le mythe du remboursement persiste. Plongez dans les détails.
  • Comprenez comment la dette publique fonctionne et pourquoi personne n’y croit vraiment. L’article complet vous éclaire.

Chaque année, c’est la même rengaine. Les gouvernements présentent des budgets “rigoureux”, promettent de “maîtriser la dette”, d’“assainir les finances publiques” ou de “préparer l’avenir”. Et chaque année, les chiffres explosent un peu plus. En France, on s’approche doucement mais sûrement des 3 200 milliards d’euros de dette publique. Alors la vraie question, la seule qui mérite d’être posée, c’est celle-ci : peut-on encore rembourser cette dette ?

Et la réponse est simple : non. Et pire : personne au pouvoir ne cherche vraiment à le faire.

Une dette devenue structurelle

Oublions les grandes théories budgétaires. Regardons la réalité brute : la dette n’est plus une anomalie passagère, c’est la base du fonctionnement de l’État. Depuis des décennies, nos gouvernants ne savent plus financer quoi que ce soit sans emprunter.

Les dépenses de fonctionnement ? À crédit.
Les promesses électorales ? À crédit.
Les crises à gérer ? À crédit.
Les remboursements d’intérêts ? Encore à crédit.

On est pris dans un engrenage où l’on emprunte pour rembourser les intérêts de ce qu’on a déjà emprunté. C’est une spirale. Et on appelle ça joliment “gestion de la dette”. En réalité, c’est une cavalerie d’État.

Un mythe entretenu pour calmer les marchés

Pourquoi continue-t-on à faire semblant de rembourser ? Pour rassurer les agences de notation, les banques centrales, et les créanciers internationaux. Tant qu’on aligne deux ou trois réformes cosmétiques et un discours sérieux, les marchés ferment les yeux… et continuent de prêter.

Mais il faut être clair : le capital, on ne le rembourse jamais. On le “roule”. On le renouvelle. On le camoufle. Tant que les taux restent gérables, ça passe. Mais si la BCE remonte trop les taux, c’est toute la pyramide qui vacille. Et là, pas de plan B.

La dette est devenue une dépendance

La vérité, c’est que l’État moderne est accro à la dette. Elle lui permet d’acheter la paix sociale, de masquer son inefficacité, et de retarder les vraies réformes.

On fait croire que c’est pour investir. Mensonge. L’investissement public est en berne. La dette sert surtout à boucher les trous d’un modèle à bout de souffle. Et surtout à ne pas affronter la réalité : notre train de vie dépasse de loin nos capacités économiques réelles.

Mais personne n’a le courage de dire stop. Parce que rembourser impliquerait de couper dans le dur : moins de prestations, moins d’aides, moins de services publics. Aucun élu n’assumera ça. Ils préfèrent endetter les générations futures. Et après eux, le déluge.

Le grand mensonge intergénérationnel

On nous répète que “la dette, ce sont nos enfants qui la paieront”. Faux. Nos enfants n’auront pas à la rembourser. Ils vivront simplement dans un pays affaibli, dépendant, et sans marge de manœuvre. Un pays où tout sera sous contrainte : les services publics, les retraites, la sécurité, l’autonomie stratégique.

La dette n’est pas un fardeau qu’on remboursera. C’est un poison lent qui prive les générations futures de toute capacité d’action réelle.

On ne rembourse pas une dette qu’on entretient volontairement

Soyons clairs : la dette est un choix politique. C’est un outil de gestion, un levier de domination aussi. Elle justifie toutes les restrictions. Elle impose une soumission totale aux créanciers, aux institutions supranationales, aux marchés. Et elle permet d’imposer des “réformes” impopulaires au nom de l’urgence financière.

On ne rembourse pas une dette qu’on ne veut pas rembourser.
On la fait durer, on la refinance, on en vit.

Et ceux qui disent le contraire, ce sont les mêmes qui continuent à l’alimenter chaque année, tout en nous demandant de faire “des efforts”.


Conclusion : l’arnaque du siècle

Non, la dette publique ne sera jamais remboursée. Et ce n’est même plus le but. Le vrai projet, c’est de gérer un pays sous perfusion permanente, sans autonomie, sans horizon, sans souveraineté réelle.

Il ne s’agit plus de rembourser. Il s’agit de tenir. Encore un mandat. Encore un quinquennat. Encore une illusion.

Mais tôt ou tard, la ficelle va casser. Et ce jour-là, ce ne sont pas les marchés qui paieront. Ce sera nous tous.

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