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Un mécanisme pourrait rendre les effets antidépresseurs de la kétamine plus durables. Une piste de plus en plus sérieuse contre la dépression résistante.
Historiquement, l’intérêt thérapeutique des substances psychédéliques apparaît dès les années 1950, lorsque les premières recherches cliniques mettent en lumière le potentiel de la psilocybine - principe actif des champignons hallucinogènes - et du LSD - un dérivé d’un champignon parasite du seigle - dans le traitement des troubles psychiatriques tels que la dépression, l’anxiété ou encore l’alcoolisme. À la même période, la kétamine connaît un essor notable. Approuvée en 1970 comme anesthésique chez l’humain et chez certains animaux (notamment les chevaux et les bovins), cette molécule ne fait pas à proprement parler partie des psychédéliques classiques. Mais ses effets hallucinogènes et dissociatifs — donnant notamment l’impression de sortir de son corps — finissent rapidement par être détournés pour un usage récréatif. Et à l’image des psychédéliques, la kétamine disparaît ainsi des radars de la recherche pendant plusieurs décennies.
Ce n’est que dans les années 2000 qu’elle réapparaît…