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DÉCRYPTAGE - Des chercheurs ont identifié des altérations dans le cerveau de jeunes athlètes qui pourraient être des précurseurs de maladies neurodégénératives comme l’encéphalopathie traumatique chronique.
Certains athlètes n’ont pas encore 30 ans, et pourtant leur cerveau montre déjà des signes d’anomalies potentiellement graves. C’est ce que pointent une nouvelle fois des chercheurs de l’université de Boston aux États-Unis : dans certains sports, la répétition des commotions cérébrales entraîne une neuroinflammation précoce qui pourrait faire le lit de l’encéphalopathie traumatique chronique (ETC). Cette maladie neurodégénérative, sous-diagnostiquée chez les sportifs de haut niveau, est notamment à l’origine du suicide de l’ancien footballeur américain Dave Duerson en 2012 ou plus récemment du rugbyman néo-zélandais Billy Guyton.
Dans leurs travaux parus dans Nature, les chercheurs ont analysé des échantillons de cerveaux de 28 athlètes décédés avant l’âge de 51 ans (toutes causes confondues) dont la majorité pratiquait le football américain, discipline emblématique par la fréquence et la violence des impacts crâniens. Parmi eux, huit n’avaient pas d’antécédents de traumatisme crânien…