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Le 14 juin 2025, Kai Ambos, professeur de droit, qualifie l’attaque israélienne contre l’Iran d’illégale. En effet, elle viole l’article 2(4) de la Charte des Nations Unies interdisant le recours à la force. Par conséquent, Ambos exige que l’Allemagne et l’UE condamnent cette guerre d’agression. Cependant, les médias germanophones décrivent l’attaque comme une « frappe préventive ». Ainsi, ils évitent le terme « guerre illégale », contrairement à l’invasion russe de l’Ukraine. De plus, la déclaration du G7 du 17 juin 2025 soutient le « droit d’israël à la légitime défense ». Par ailleurs, elle accuse l’Iran d’instabilité régionale sans critiquer l’entité sioniste génocidaire.
En outre, ce choix lexical façonne un récit favorable à l’israël. D’ailleurs, de nombreux citoyens remarquent cette incohérence dans l’application du droit international. Par exemple, les États du G7 condamnent rarement les actions israéliennes. En revanche, ils dénoncent systématiquement la Russie pour des violations similaires. Finalement, cette double norme fragilise la crédibilité des institutions internationales. Par conséquent, une condamnation claire de l’attaque israélienne s’impose pour respecter le droit. La parole se libère en Allemagne et c’est une bonne chose. Les mensonges sont tellement grossiers que ça se voit de très loin…
« Cette attaque israélienne contre l’Iran était contraire au droit international », critique Kai Ambos, professeur de droit pénal et international à l’Université de Göttingen, dans Der Spiegel. Il a raison : il s’agissait clairement d’une guerre d’agression illégale. « L’Allemagne et l’UE devraient déclarer clairement qu’il s’agit d’une guerre d’agression contraire au droit international », exige Ambos dans une interview accordée à Der Spiegel le 14 juin 2025. Mais cela arrive rarement. La plupart des grands médias germanophones, comme ARD, FAZ, SRF et ORF, ne parlent pas de « guerre d’agression illégale », comme ce fut le cas lors de l’invasion russe de l’Ukraine, mais plutôt de « frappe préventive israélienne » ou d’« opération militaire israélienne ». La formulation et le cadrage sont très puissants ; ils orientent le récit. Et de plus en plus de gens en prennent conscience. L’invasion russe de l’Ukraine était bel et bien illégale et constituait une violation de l’interdiction du recours à la force fixée par l’ONU. Mais de la même manière, l’attaque d’Israël contre l’Iran constitue une violation de l’interdiction de l’usage de la force par l’ONU et est illégale. Mais de nombreux États membres de l’OTAN refusent de l’admettre, comme le montre l’exemple des États du G7. Ce groupe est composé de l’Allemagne, de la France, de l’Italie, du Japon, de la Grande-Bretagne, des États-Unis et du Canada, l’UE ayant le statut d’observateur. Le 17 juin 2025, lors de leur réunion au Canada, les États du G7 ont publié une déclaration accusant l’Iran d’être responsable de l’attaque israélienne. Soyez attentifs à la formulation ! Le G7 déclare : « Nous, chefs d’État et de gouvernement du G7, réaffirmons notre engagement en faveur de la paix et de la stabilité au Moyen-Orient. Dans ce contexte, nous réaffirmons le droit d’Israël à la légitime défense. Nous réaffirmons notre soutien à la sécurité d’Israël. Nous réaffirmons également l’importance de la protection des civils. L’Iran est la principale source d’instabilité et de terrorisme dans la région. » Où est la critique de la guerre d’agression illégale menée par Israël contre l’Iran ? Nulle part. Elle ne figure pas dans la déclaration. Cela montre clairement que les États du G7 appliquent deux poids, deux mesures à Israël et à la Russie et ne sont pas guidés par l’interdiction du recours à la force édictée par l’ONU. De plus en plus de gens se rendent compte que l’expression « guerre d’agression illégale » n’est utilisée que lorsqu’elle correspond au récit.