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Dépression, suicide, anxiété … les conséquences persistantes des confinements chez les Français

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La santé mentale des populations occidentales subit une dégradation constante depuis la crise sanitaire, amplifiée par les politiques anxiogènes (comme les confinements) inspirées du « Great Reset ». Une vaste étude menée en France entre 2020 et 2022 met en lumière l’impact profond de cette crise sur les troubles psychologiques, la dépression et les pensées suicidaires, particulièrement chez les jeunes et les femmes.

La DREES (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques), l’INSERM (Institut Nationale de la santé et de la recherche Médicale), Santé Publique France et l’Insee ont réalisé une nouvelle enquête nommée EpiCov, visant à évaluer la santé mentale des Français après la pandémie du Covid-19. Voici les résultats de cette étude que les chercheurs ont menée entre mai 2020 et l’automne 2022 auprès de 64.000 individus âgés de plus de 15 ans.  

Hausse de la dépression et des pensées suicidaires chez les femmes

L’équipe de la DREES, de l’INSERM, de la Santé Publique France et de l’Insee ont mené une enquête sur la santé mentale des Français post covid. Ils ont effectué un suivi régulier des 64.000 volontaires âgés de plus de 15 ans entre mai 2020 et l’automne 2022. Après une série de quatre sondages, les chercheurs ont constaté que les syndromes dépressifs ont diminué entre 2021 et 2022, en passant de 10,6% à 9,6%.

Le recul est plus important chez les plus de 25 ans présentant des symptômes légers. En revanche, le nombre de personnes atteint de syndromes sévères de la dépression est resté au même niveau. Ce problème de santé mentale touche 5,3% de la population. Lors de cette enquête, il a été confirmé que les syndromes dépressifs concernent beaucoup plus les femmes que les hommes (11% contre 8%). Ce problème concerne surtout les personnes âgées de moins de 25 ans.

Le plus inquiétant reste la hausse des pensées suicidaires : de 2,8 % en 2020 à 3,4 % en 2022. Cette tendance touche toutes les catégories de population, mais explose chez les jeunes femmes : 9 % d’entre elles déclarent avoir pensé au suicide au cours des 12 derniers mois, soit une hausse de 2,4 points en deux ans, soit une progression de 2,4 points par rapport à 2020. Mais les autorités sanitaires ont aussi constaté que les jeunes hommes se montrent de plus en plus vulnérables. Plus de 5% d’entre eux ont eu des pensées suicidaires pendant la même période. Une hausse de 1,3 point par rapport à 2020 a été remarquée.

Les résultats de l’enquête EpiCov ont aussi révélé que de plus en plus de jeunes subissent des difficultés émotionnelles. Les enquêteurs ont élaboré un module spécifique de questions pour des enfants mineurs vivant avec un adulte. Après le sondage, il a été constaté que les difficultés psychologiques et sociales qui touchaient les enfants de 5 à 17 ans ont persisté entre l’été 2021 et l’automne 2022.

Des enfants de plus en plus fragiles émotionnellement

Le nombre de jeunes garçons de 8 à 10 ans développant des difficultés émotionnelles comme l’anxiété et la tristesse a progressé de + 4,1 points entre 2021 et 2022. Une hausse de 5,9 points a été constatée chez les jeunes filles de 15 à 17 ans.

Côté troubles de l’attention, la tendance reste globalement stable, mais avec des alertes sur certaines tranches d’âge : +1,7 point chez les garçons de 8 à 10 ans, et +2 points chez les filles de la même tranche. Les seules améliorations notables concernent les difficultés relationnelles, qui régressent notamment chez les garçons de 15 à 17 ans (-3,7 %).

L’enquête a aussi révélé une stabilité ou une baisse des personnes ayant des difficultés relationnelles. Toutefois, il se trouve que le recours aux spécialistes de santé mentale a augmenté entre juillet 2021 et l’automne 2022. Le nombre de personnes ayant consulté un psychiatre a progressé d’un point par rapport à l’été 2021 et le taux de consultation chez les psychologues a connu une hausse de 2 points.

Les causes des problèmes de santé mentale

Selon les enquêteurs, on peut attribuer plusieurs explications à l’apparition des syndromes dépressifs après la crise COVID. On cite entre autres la situation financière difficile. Plus d’une sur cinq des personnes ayant déclaré avoir des problèmes financiers présente un syndrome dépressif. Le manque de soutien familial et amical, les difficultés à accéder à l’aide de ses voisins, le manque d’intérêt de la part de l’entourage sur ce qu’on fait, le niveau de diplôme ainsi que le fait d’être originaire d’un pays extra-européen peuvent aussi être à l’origine du problème.

Mais on ajoute sur la liste des facteurs de risque du syndrome dépressif  le fait d’appartenir à un groupe de population victime de discriminations. C’est le cas des membres de la communauté des homosexuels et bisexuels ainsi que les personnes souffrant d’un handicap physique ou de problème de poids (maigreur ou surpoids).

Les réseaux sociaux jouent un rôle majeur dans cette détérioration. Une utilisation intensive (plus d’une fois par heure) expliquerait 24 % du risque de dépression chez les jeunes femmes, tandis que l’exposition aux écrans (plus de quatre heures par jour) contribuerait à hauteur de 12 %.

L’étude révèle que face à cette « crise silencieuse », la demande de soins explose. 11,4 % de la population française ont consulté un professionnel de santé mentale entre 2021 et 2022. Les consultations de psychologues augmentent fortement (+2 points), tout comme celles de psychiatres (+1 point).

On s’aperçoit chaque jour que le COVID-19 a eu un impact sanitaire apparent, se traduisant par des décès, des hospitalisations et des cas de contamination. Et puis il y a son impact caché que la caste mondialisée a choisi de l’utiliser pour contrôler les populations. En manipulant la peur des populations, elle a instrumentalisé la maladie, entraînant une dégradation psychique directement due à l’angoisse maintenue en permanence… La crise du Covid est terminée, mais les pathologies psychiques ne se sont pas pour autant résorbées.

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