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Par Lia Lévesque La Presse Canadienne 11:30 AM - 7 juillet 2025
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Le président de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), Éric Gingras, photographié lors d'une conférence de presse, le 8 janvier 2024, à Montréal. LA PRESSE CANADIENNE/Ryan Remiorz
La grogne contre les restrictions budgétaires en éducation ne s’essouffle pas, alors que la coalition s’agrandit et que la pétition sur le site de l’Assemblée nationale approche les 150 000 signatures.
De nouveaux groupes viennent de se joindre à la coalition «Ensemble, unis pour l’école», a annoncé lundi la Centrale des syndicats du Québec (CSQ). Il en est ainsi de l’Association des commissions scolaires anglophones, la Société québécoise de la déficience intellectuelle, la Coalition de parents d’enfants à besoins particuliers du Québec, entre autres.
Des employeurs se retrouvent donc dans la même coalition que des syndicats qui représentent des enseignants, du personnel de soutien et des professionnels de l’éducation, en plus de parents d’enfants.
«Le but, c’est d’avoir quelque chose qui ne s’est jamais fait: regrouper tout ce monde-là et d’envoyer un message: on ne peut pas tolérer les coupes en éducation», a lancé le président de la CSQ, Éric Gingras, en entrevue lundi.
À la fin de l’année scolaire, Québec a annoncé que le réseau devra réduire ses dépenses de l’ordre de 570 millions $. Québec nie qu’il s’agit de véritables coupes, disant simplement ralentir le rythme de croissance du budget en éducation, qui augmentera de cinq pour cent au lieu de sept pour cent, lors des années précédentes.