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Une société divisée entre résignés et résistants
Peut-on réellement être libre et ne pas s’en soucier ? C’est la question que soulève Todd Hayen dans une réflexion publiée sur Off-Guardian.org. Son constat est clair : une partie de la population accepte, parfois même réclame, une surveillance généralisée. Pas par naïveté seulement, mais par conviction que « rien ne les concerne ». Ces citoyens, qu’il qualifie de « sheep-types », n’ont rien à cacher, rien à dire, et pensent qu’aucun gouvernement ne chercherait jamais à les contrôler.
En face, les « shrew-types » – lucides, critiques, et souvent angoissés – voient dans cette indifférence un engrenage mortel. Pour eux, l’abandon progressif des libertés fondamentales n’est pas une théorie du complot, mais un scénario déjà bien entamé.
Le vrai but du contrôle : normaliser l’obéissance
Le contrôle n’a jamais été conçu pour sanctionner uniquement les coupables. Il sert d’abord à imposer des normes comportementales. C’est ce que démontre un exemple marquant cité par Hayen : celui du Convoi de la liberté au Canada. Des citoyens qui avaient simplement soutenu ce mouvement de contestation pacifique ont vu leurs comptes bancaires gelés. Était-ce illégal ? Non. Était-ce un danger pour l’ordre public ? Peu probable. Pourtant, l’État a réagi avec une violence symbolique sans précédent.
Ce type de répression sert d’avertissement. Il ne punit pas l’acte lui-même, mais l’intention de résister. Et cela fonctionne : nombreux sont ceux qui, n’ayant rien à se reprocher, finissent par croire que ceux qui contestent sont forcément des extrémistes. La peur se diffuse, la conformité devient la norme.
L’indifférence née de l’ignorance historique
Pourquoi certains refusent-ils de voir ce glissement autoritaire ? Hayen avance une hypothèse : ils ne connaissent pas l’histoire. Ou plutôt, ils ne savent pas ce que cela fait de vivre sous un régime totalitaire. Ils n’ont pas connu la Chine de Mao, la Russie soviétique ou l’Allemagne nazie. Ils pensent encore qu’un régime liberticide arrive avec des bottes, un drapeau, et des slogans explicites. En réalité, le contrôle moderne est plus subtil, plus propre, mais tout aussi dangereux.
Ceux qu’il appelle les « shrews », eux, semblent mieux informés. Lecteurs de philosophie, de politique, ou simplement plus curieux, ils perçoivent les signaux faibles que les autres ignorent. Ce n’est pas une supériorité morale, mais une capacité à relier les faits, à reconnaître les logiques du pouvoir, et à anticiper les dérives.
L’aveuglement sélectif des anti-Trump
Hayen souligne une contradiction flagrante : certains craignent un régime totalitaire si Donald Trump revenait au pouvoir, tout en acceptant sans sourciller les dérives autoritaires de dirigeants comme Macron, Carney, Starmer ou même Xi Jinping. Pour eux, Trump serait le seul danger. Poutine est évidemment l’ennemi, tandis que Zelensky reste le héros. Pourquoi cette lecture à sens unique ? Pourquoi cet aveuglement idéologique ?
Peut-être parce que ces citoyens ont internalisé la vision imposée par un système médiatique verrouillé. Toute contestation est assimilée à une menace. Toute alternative est étiquetée comme conspirationniste. Et ceux qui tirent la sonnette d’alarme sont marginalisés.
Une lutte asymétrique pour la conscience collective
Hayen reconnaît lui-même ne pas avoir totalement percé ce mystère. Pourquoi certains acceptent si facilement de céder leurs droits ? Pourquoi d’autres y résistent avec acharnement ? Ce qui est certain, c’est que la bataille ne se joue plus seulement sur le terrain politique ou juridique, mais au cœur des esprits. Il ne s’agit plus de défendre une liberté qu’on nous retire de force, mais de sauver une liberté que nous laissons filer volontairement.
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