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L’affirmation de François Bayrou selon laquelle son site a été piraté pour l’empêcher de diffuser ses preuves concernant l’affaire Bétharram est hautement douteuse, voire pathétique. S sa position de Premier ministre de la France, en tant que chef du gouvernement, lui donne accès à de nombreux canaux sécurisés et ressources pour diffuser des informations, bien au-delà d’un simple site web. L’idée que des cyberattaques soient la seule raison pour ne pas partager des documents semble être une excuse commode, particulièrement quand il aurait pu présenter ces preuves lors de son audition devant la Commission parlementaire, une occasion parfaite pour se disculper. Son échec à le faire à ce moment-là soulève des doutes sur l’existence ou la validité de ces prétendus documents.
De plus, le timing du supposé piratage, coïncidant avec la pression publique et médiatique, paraît stratégiquement suspect, suggérant une tentative de détourner la responsabilité plutôt que d’aborder directement les allégations. Ce récit s’inscrit dans un schéma plus large où les figures politiques utilisent des théories du complot pour éviter la redevabilité, une tactique qui mine la confiance du public. L’affaire Bétharram elle-même implique des allégations graves de silence institutionnel et de violence, rendant la réponse de Bayrou non seulement évasive mais aussi minimisant la gravité de la situation.
Ses commentaires sur BFM TV, où il a promis de partager des documents mais a ensuite cité des problèmes techniques, alimentent encore plus le scepticisme, car cela contraste fortement avec les attentes de transparence d’un leader. Cet incident met en lumière un décalage entre le discours politique et l’action, surtout dans un contexte où plus de 200 plaintes ont été déposées, exigeant de la transparence. L’approche de Bayrou risque de le dépeindre comme déconnecté de la sévérité des accusations et de la demande de clarté du public. En fin de compte, ses excuses semblent moins liées à des limitations techniques et plus à une réticence à affronter des vérités inconfortables, une position qui pourrait avoir des conséquences à court terme sur sa crédibilité et la manière dont le gouvernement gère de tels scandales.