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Des chercheurs ont mis en évidence que des anticorps protecteurs acquis grâce au vaccin contre le méningocoque B, étaient aussi capables de reconnaître et neutraliser le gonocoque, responsable de la «chaude-pisse».
Responsable de 80 millions de nouveaux cas chaque année, la gonorrhée reste la deuxième maladie sexuellement transmissible la plus fréquente dans le monde. Causée par la bactérie Neisseria gonorrhoeae (le « gonocoque »), cette pathologie (surnommée « chaude-pisse ») se manifeste par des douleurs en urinant, des douleurs pelviennes, des inflammations locales ainsi que des pertes génitales inhabituelles, aussi bien chez l’homme que chez la femme. Dans certains cas, elle touche également le rectum, la gorge ou les yeux, voire entraîne des complications graves telles que l’infertilité, des grossesses extra-utérines et des infections systémiques. La fréquence en hausse (notamment chez les plus de 50 ans) suscite de nombreuses inquiétudes et les différentes souches du gonocoque évoluent rapidement, devenant de plus en plus résistantes aux antibiotiques classiques, ce qui soulève le besoin urgent de trouver des alternatives.
Parmi les pistes explorées ces dernières décennies, celle du…