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Comme pour Claire Bell, la DPJ appelle la population « à l’entraide » pour s’occuper des enfants

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Photo iStock

Il y a eu une moyenne de 9,8 enfants par jour concernés par un signalement à la DPJ Côte-Nord en 2024-2025, une hausse de 22,4 % par rapport à l’an dernier. La DPJ lance un appel à l’entraide collectif pour les protéger. 

Les directions de la protection de la jeunesse du Québec ont fait un appel à « la protection collective des enfants », jeudi, dans le cadre du 22e bilan annuel des DPJ. 

Le nombre de signalements ne cesse d’augmenter année après année. Ce sont 105 675 enfants qui ont été concernés à travers la province, en 2024-2025.

« Je veux souligner la petite fille de trois ans que nous avons trouvés hier, on a tellement poussé un soupire, on était tellement heureux, on était tous ensemble », a mentionné Lesley Hill, directrice nationale de la protection de la jeunesse, en conférence de presse. « Comme toute la société, on retenait notre souffle à savoir après trois jours, qu’est-ce que nous allions trouver, puis on a trouvé une petite fille vivante. Une petite fille qui a été sauvée, parce qu’une communauté, une société s’est mobilisée », a-t-elle poursuivi. 

« Il y a un grand appel aujourd’hui de solidarité. Que la protection des enfants ne soit pas une affaire de loi d’exception et de tribunaux, mais une affaire de société et de chaque citoyen », a-t-elle ajouté. 

Au total, 3 566 signalements ont été traités sur la Côte-Nord. Là-dessus, 902 ont été retenus pour évaluation. Le risque sérieux de négligence en raison de toxicomanie, de santé mentale ou d’instabilité (30,7 %), la négligence (29,9 %), les mauvais traitements physiques (9,2 %) et les abus physiques (6,9 %) représentent les principales problématiques soulevées et nécessitant un suivi à la protection de la jeunesse. 

La DPJ a souligné que plusieurs des signalement reçus n’avaient pas fait l’objet de services en amont. 

« La DPJ ne remplace pas la main tendue d’un enseignant, l’écoute bienveillante de la voisine, la discussion franche avec l’intervenante communautaire où l’appel téléphonique d’un membre de la famille », a illustré à son tour Nadia Denis, directrice de la DPJ Côte-Nord, pour mettre l’accent sur le thème du bilan Au-delà d’un signalement : protéger les enfants collectivement

La DPJ est d’avis que « de nombreux enfants et familles peuvent vivre de grandes difficultés et avoir de multiples besoins, sans que ce soit nécessairement l’intervention du DPJ qui soit requise ». 

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