Comme toujours, le gouvernement continue sa propagande, continue sa tromperie et ses manipulations en invitant les pires acteurs de la faillite politico-scientifique de la crise sanitaire de 2020. On prend les mêmes nullos, les mêmes incompétents, les mêmes plagiaires, les mêmes corrompus… et on recommence. On leur donne des moyens financiers, on leur donne des salles de conférence, on n’y ajoute le logo du gouvernement pour faire croire que c’est du sérieux et c’est parti pour un tour supplémentaire de propagande. Il suffit de voir les visages de certains participants pour se rendre compte de la supercherie.

La présence d’Étienne Klein dans ce groupe, malgré les accusations de plagiat portées contre lui, soulève des questions légitimes sur l’intégrité et la crédibilité des initiatives gouvernementales visant à combattre les fake news, surtout dans un contexte où la confiance dans les institutions scientifiques et médicales est déjà fragile.

Étienne Klein, physicien et philosophe des sciences, a été accusé de plagiat à plusieurs reprises, notamment dans son livre « L’Unité de la physique » (2000), où 88 des 429 pages contiendraient du texte plagié, selon une révélation d’Arrêt sur images en août 2024. Ces accusations ont été rapportées par Science magazine en décembre 2016, indiquant qu’il aurait plagié des auteurs comme Stefan Zweig. Cela remet en question sa fiabilité en tant qu’expert, particulièrement dans un cadre où l’on cherche à promouvoir la transparence et l’intégrité scientifique.

La présence de Rudy Reichstadt dans ce contexte, en tant que figure controversée liée au scandale des fonds Marianne, ajoute une couche de complexité à la crédibilité de l’initiative gouvernementale. Rudy Reichstadt, fondateur de Conspiracy Watch, a été impliqué dans des controverses concernant l’utilisation des fonds publics, ce qui a suscité des critiques et des suspicions sur son rôle et ses motivations.

Quant à Karine Lacombe, elle a brillé par son incompétence pendant la crise sanitaire covid-19 puisque tout ce qu’elle a promu s’est avéré foireux ! Les exemples de Coviplasm, Discovery, Remdesivir, et Kaletra… illustrent des tentatives qui, bien qu’initialement présentées comme prometteuses par les médias, se sont avérées décevantes. Ces échecs ont contribué à un climat de doute et de critique, rendant d’autant plus difficile la tâche de restaurer la confiance dans la science et les institutions de santé.

Ces clowns on tellement fait de mal à la vaccination et à la science que de moins en moins de gens le font aujourd’hui contre la grippe par exemple. Ils ont tellement menti, manipulé les chiffres et trompé le public que plus personne ne leur fait confiance, ou si peu.