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Un colloque intitulé « REMS : État des lieux et perspectives d’intervention » s’est tenu récemment, réunissant magistrats, avocats et psychiatres.
Un consensus s’est dégagé : la nécessité de collaborer, de se former conjointement et de soutenir les services de santé mentale. Cette collaboration est le moteur de la réforme, et des exemples concrets démontrent que la loi peut fonctionner, résolvant des problèmes souvent liés à des facteurs sociaux, culturels et environnementaux.
La voix de l’acteur Daniele Russo a rappelé les mots de Sacco et Vanzetti, soulignant la pauvreté, la marginalisation et les préjugés culturels.
Cette outlook renforce l’importance d’une collaboration élargie aux collectivités locales, aux services sociaux, aux préfectures, aux associations d’usagers et de familles, aux garants et à la société civile.
il est impératif de garantir les besoins fondamentaux de chaque être humain. La pauvreté, la dégradation, le surpeuplement, l’abandon et la privation relationnelle sont liés à la souffrance, à la douleur, aux problèmes comportementaux et à l’augmentation des troubles mentaux et somatiques.
L’élargissement de la collaboration interinstitutionnelle est essentiel pour la justice (rééducation, inclusion sociale, prévention de nouveaux délits) et pour la psychiatrie, car elle permet d’aborder les déterminants sociaux de la santé. C’est la voie à suivre pour améliorer la rotation dans les REMS, réduire les listes d’attente, dépasser les détentions sans titre et sensibiliser les contextes sociaux.
L’approche biopsychosociale, environnementale et culturelle a dépassé l’approche réductionniste. Le travail dans la complexité est le plus approprié pour résoudre les problèmes, et la collaboration interinstitutionnelle élargie est la méthode la plus appropriée. Les niveaux régional et local doivent être les références opérationnelles.
Il faut faire preuve de prudence avant d’introduire des solutions qui ne placent pas la collaboration interinstitutionnelle locale au center.
Un système d’information adéquat fait défaut,et les données varient selon les sources. La liste d’attente est concentrée dans certaines régions, et il n’y a pas de données sur les patients en liberté surveillée. Certaines propositions ont suscité des avis opposés. Augmenter le nombre de places en REMS est différent d’une évaluation sélective, région par région, pour déterminer où insérer de nouvelles places. La seconde voie est plus appropriée et permet une meilleure utilisation des ressources, en maintenant les REMS comme solution résiduelle.
Ouvrir des REMS de différents niveaux de sécurité et potentiellement suprarégionales/nationales éloigne des services territoriaux et complique les sorties. De même,dédier des résidences aux seuls patients judiciaires crée des mondes à part,au lieu de promouvoir les droits de la personne,le retour à domicile,l’inclusion sociale et le bien-être des communautés.
Il est essentiel de renforcer les compétences des organismes du tiers secteur et des départements de santé mentale. Environ 7 000 patients sont concernés par des mesures judiciaires, et 70 % sont hébergés en résidence, ce qui représente une dépense estimée à 400 millions d’euros par an, entièrement à la charge des régions. Chaque nouveau projet thérapeutique et de réadaptation nécessite des ressources humaines et financières. Soutenir les DSM est donc une action prioritaire.
Personne ne souhaite un retour aux OPG, mais cela risque de se produire si l’on crée des structures de haute sécurité détachées du territoire et que l’on affaiblit les services du bien-être communautaire.Des parcours de soins et judiciaires doivent être envisagés dans leur ensemble, en assumant la responsabilité de la gestion des listes et des ressources, en identifiant les priorités et les modalités de soutien à la rotation. Ceci est prioritaire par rapport à l’augmentation du nombre de places qui, sans une méthode de gestion adéquate, seraient rapidement saturées.Différentes conceptions de la sécurité et des soins ont émergé. Un dialog continu est nécessaire sur ces points cruciaux, en partant des pratiques réelles et de l’état des établissements pénitentiaires. Pour améliorer la santé, la médecine ou la psychiatrie ne suffisent pas toujours. L’augmentation des personnes souffrant de troubles mentaux soulève des questions sur la faible utilisation des dispositions de la décision de la Cour constitutionnelle, et sur l’impact de l’augmentation des migrants et des consommateurs de substances sur les législations.
Il faut soutenir les mesures alternatives et les parcours de soins qui impliquent le consentement et la participation de la personne. La thérapie psychiatrique ne peut être imposée que pour une courte période (TSO) et est limitée aux médicaments. Sans consentement, la psychothérapie et la réadaptation psychiatrique sont impossibles, tout comme les traitements éducatifs et d’inclusion sociale. Sans participation et responsabilité, il n’y a pas de prévention de nouveaux délits. En accompagnant les personnes, les programmes de soins et les mesures judiciaires peuvent soutenir les perspectives et les projets de vie.
L’objectif n’est pas de priver la personne de sa liberté, mais d’agir avec une vision émancipatrice, dans la perspective de la liberté et de la prise de responsabilité, en premier lieu par la personne elle-même, sa famille et les contextes, rendus sensibles, accueillants et solidaires. Un dialogue ouvert avec toutes les composantes est essentiel pour identifier les bonnes pratiques, avant d’adopter toute mesure relative aux REMS et au Plan d’Action National sur la Santé Mentale.
Dix ans se sont écoulés depuis la fermeture des OPG, et un résultat extraordinaire a été atteint. La réforme est incomplète et le code pénal devrait être réformé, des adaptations minimales de la terminologie à la diversification des mesures et à la réforme radicale de l’imputabilité. Un appel à la politique, à laquelle il incombe également d’affecter les ressources, sur la nécessité desquelles tous s’accordent. Il est crucial de bien les utiliser. Un colloque important a mis en évidence une méthode, et avant d’entreprendre des actions de fond proposées par le CSM lui-même, il est nécessaire de réfléchir.
colloque sur les REMS : État des lieux et perspectives d’intervention – FAQ et Résumé
Introduction
Un colloque récent a réuni des experts pour discuter des REMS (Résidences pour l’Exécution des Mesures de Sûreté) en Italie.Ce texte résume les points clés de cette rencontre,mettant en lumière les défis,les solutions et les perspectives d’avenir.
FAQ
Q : Quel était le principal message du colloque ?
R : La nécessité de collaborer, de se former conjointement et de soutenir les services de santé mentale.
Q : Quelle approche est privilégiée pour traiter les problèmes ?
R : L’approche biopsychosociale, environnementale et culturelle.
Q : Quels sont les acteurs clés de cette collaboration ?
R : Magistrats, avocats, psychiatres, collectivités locales, services sociaux, préfectures, associations d’usagers et de familles, garants et la société civile.
Q : Quel est l’objectif principal de la réforme ?
R : Favoriser la rééducation, l’inclusion sociale et la prévention de nouveaux délits.
Q : Pourquoi est-il important de soutenir les services de santé mentale ?
R : Pour améliorer la rotation dans les REMS, réduire les listes d’attente et sensibiliser les contextes sociaux.
Q : Quelles sont les craintes exprimées concernant les nouvelles structures ?
R : Le risque de créer des structures de haute sécurité détachées du territoire et d’affaiblir les services communautaires.
Q : Quel est le rôle du consentement du patient ?
R : Il est essentiel pour la psychothérapie, la réadaptation et toute mesure d’inclusion sociale.
Q : Que faut-il faire en priorité ?
R : renforcer les compétences des organismes du tiers secteur et des départements de santé mentale.
Q : Quel est l’appel lancé aux politiques ?
R : D’affecter les ressources nécessaires pour la santé mentale et de bien les utiliser.
Q : Quels sont les principaux défis ?
R : La pauvreté, la marginalisation, les préjugés culturels et le manque d’un système d’information adéquat.
Résumé des points clés
| aspect | Description | Importance |
|—|—|—|
| Collaboration | Essentielle entre professionnels et institutions. | Moteur de la réforme, favorise l’efficacité. |
| Approche | Biopsychosociale, environnementale et culturelle. | Prend en compte les facteurs complexes liés à la santé mentale. |
| Soutien aux services de santé mentale | Action prioritaire. | Améliore l’accès aux soins et la réinsertion.|
| Consentement du patient | Crucial pour le succès du traitement. | Favorise la participation active et la responsabilisation. |
| prévention | Priorité dans les approches interinstitutionnelles. | Prévenir la rechute et favoriser l’inclusion. |
| Ressources | Allocation claire et efficace des fonds. | Mettre en place les moyens nécessaires pour le fonctionnement.|
| Prudence | Avant d’implanter des initiatives. | Éviter les solutions qui isolent les patients. |
| Objectif final | Émancipation, liberté et prise de responsabilité.| Donner les moyens aux gens d’être des auteurs de leurs vies. |
Conclusion
Le colloque a souligné l’importance d’une approche globale et collaborative pour améliorer les soins en santé mentale et la réinsertion sociale. Il est crucial de poursuivre les efforts, tout en restant attentif aux challengingés rencontrées et en s’adaptant aux réalités du terrain.