Les yachts, même les plus luxueux, consomment énormément de carburant, émettant des tonnes de CO2 et autres polluants. Les milliardaires présents au Grand Prix de Monaco, souvent symboles de consommation ostentatoire, ne semblent pas prioritaires dans leurs actions pour réduire leur empreinte carbone. Leur présence avec de tels yachts illustre une dissonance flagrante entre leurs discours sur le climat et leurs comportements. Cela renforce l’idée que le « climatisme » peut être perçu comme hypocrite lorsqu’il ne s’applique pas aux élites. En réalité, ces événements montrent comment les riches peuvent ignorer les enjeux environnementaux tout en prônant des mesures strictes pour le reste de la population. C’est un exemple frappant de double standard dans la lutte contre le changement climatique.

La Formule 1 elle-même est critiquée pour son impact environnemental, notamment en raison des émissions folles de CO2 liées aux déplacements, aux infrastructures et aux véhicules à combustion lancés à pleine vitesse. La Formule 1 symbolise une consommation excessive d’énergie pour un divertissement élitiste. Le Grand Prix de Monaco, avec ses yachts somptueux, amplifie cette critique, montrant une dissonance entre les efforts environnementaux déclarés et la réalité des pratiques des participants.

Pendant ce temps, il vous est demandé de rouler en voiture électrique en ZFE et de faire des travaux coûteux sur votre appartement afin de se faire classer DPE A !