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Les crédits CO2 de Climeworks en Islande sont basés sur leur technologie de capture directe de l’air (DAC) couplée à un stockage géologique permanent. Voici une explication de leur fonctionnement tordu et malsain qui n’est rien d’autre qu’une nouvelle escroquerie au CO2 très peu connue des mortels que nous sommes :
- Capture du CO2 : Climeworks utilise des installations comme Orca et Mammoth en Islande, qui aspirent l’air ambiant à l’aide de ventilateurs. Des filtres chimiques capturent le CO2 contenu dans l’air. Une fois saturés, les filtres sont chauffés (à environ 100°C, souvent avec de l’énergie géothermique islandaise) pour libérer le CO2 pur.
- Stockage permanent : Le CO2 capturé est transféré à Carbfix, un partenaire de Climeworks. Carbfix dissout le CO2 dans l’eau et l’injecte dans des formations basaltiques souterraines. En 1 à 2 ans, le CO2 réagit avec le basalte pour se transformer en minéraux solides, stockant ainsi le carbone de manière permanente. Ces 2 étapes présentent à elles seules une dépense importante d’énergie qui n’est pas compensée encore par la la capture !
- Le business douteux des « Crédits CO2 » : Climeworks vend des crédits carbone aux entreprises ou particuliers souhaitant compenser leurs émissions. Chaque crédit représente une tonne de CO2 capturée et stockée. Ces crédits sont vérifiés par des tiers (par exemple, Puro.earth) pour garantir leur fiabilité. Des entreprises comme Lego ou Morgan Stanley ont acheté ces crédits pour atteindre leurs objectifs climatiques. Le coût est élevé, environ 1 100 USD par tonne, reflétant la complexité de la technologie.
- Limites et critiques : Bien que prometteuse, la technologie a des défis. Par exemple, entre 2021 et 2024, Climeworks a capturé environ 2 400 tonnes de CO2 en Islande, loin des 12 000 tonnes prévues initialement. Donc, c’est compréhensible par tous, les émissions liées à l’exploitation (construction, énergie) dépassent le CO2 capturé ! C’est ce qu’explique cet article qui dénonce ce business juteux à 11000$ la tonne dont des milliers ont été vendues alors que l’usine dysfonctionne totalement et n’atteindra probablement JAMAIS ses objectifs même dans 50 ans à ce rythme.
Climeworks vend des crédits sur la base de captures futures, en comptant sur l’amélioration de sa technologie. Avec un maximum de 1 700 tonnes capturées en une année (2023, selon certaines estimations sur X), Climeworks est loin de pouvoir capturer les centaines ou milliers de tonnes vendues à certaines entreprises. Par exemple, pour les 40 000 tonnes de Morgan Stanley (44.000.000 de $), il faudrait des décennies au rythme actuel pour y arriver sans oublier les autres entreprises comme Lego par exemple… !
Donc des entreprises produisent beaucoup de carbone qu’elles vont compenser par l’achat de crédits carbone qui ne sera jamais capturé le tout afin d’avoir bonne conscience mais ça ne marche pas du tout ! C’est pas très protecteur du climat ! Cela permet aux entreprises de verdir leur image sans réduire réellement leurs émissions, un phénomène appelé greenwashing.
Climeworks en Islande n’a capturé qu’un peu plus de 2 400 unités de carbone depuis le début de ses opérations dans le pays en 2021, sur les douze mille unités que les responsables de l’entreprise ont affirmé à plusieurs reprises que les machines de la société peuvent capturer. Ceci est confirmé par les chiffres de la société finlandaise Puro.Earth d’une part et par les comptes annuels de la société d’autre part. Climeworks a fait des nouvelles internationales pour capturer le carbone directement de l’atmosphère. Pour cela, la société utilise de grandes machines situées à Hellishei, dans le sud de l’Islande. On dit qu’ils ont la capacité de collecter quatre mille tonnes de CO2 chaque année directement dans l’atmosphère.
Selon les données dont dispose Heimildin, il est clair que cet objectif n’a jamais été atteint et que Climeworks ne capte pas suffisamment d’unités de carbone pour compenser ses propres opérations, les émissions s’élevant à 1 700 tonnes de CO2 en 2023. Les émissions qui se produisent en raison des activités Climeworks’ sont donc plus qu’elles ne capturent. Depuis que la société a commencé à capturer en Islande, elle a capturé un maximum de mille tonnes de CO2 en un an.
Climeworks est dans Direct Air Capture, DAC, que le CCC dit que nous devrons compenser les émissions de CO2 que nous ne pouvons pas éliminer totalement.
DAC est un processus non prouvé à grande échelle, mais sera presque certainement incroyablement coûteux. En particulier, le CAD a besoin de quantités phénoménales d’énergie, qui produit elle-même des émissions de CO2 d’une manière ou d’une autre.
Vous vous demandez peut-être pourquoi ou comment Climeworks fait cela. La réponse est le crédit carbone, comme l’explique l’article :
Un professeur de génie civil et environnemental de l’Université de Stanford en Californie affirme que l’industrie du captage et de l’élimination du carbone est une arnaque et cause des dommages en matière de solutions climatiques. Plus de 20 000 personnes paient Climeworks mensuellement pour le captage du CO2. Un scientifique à la retraite au Royaume-Uni dit qu’il se sent comme un idiot crédule après avoir acheté des crédits de carbone de Climeworks, qu’il espère recevoir dans environ six ans. Cependant, l’attente sera beaucoup plus longue à moins que des progrès significatifs ne soient réalisés dans la capture rapide du carbone. Il peut donc s’attendre à recevoir les deux tonnes – qu’il a déjà payées pour – en quelques décennies au plus tôt.
Climeworks a vendu une quantité importante de crédits carbone. Ce ne sont pas seulement des crédits qui ont déjà été certifiés et capturés, mais aussi une grande quantité de crédits que Climeworks prévoit de capturer à l’avenir. Selon la société, un tiers de tous les crédits que l’usine de capture de Mammoth devrait capturer dans l’atmosphère au cours des 25 prochaines années ont déjà été vendus. Environ 21 mille personnes ont un abonnement avec la société, où ils paient mensuellement pour la capture et l’élimination des crédits de carbone. Le temps d’attente pour recevoir ces crédits de carbone peut aller jusqu’à six ans, selon les termes de la société. Si les chiffres de capture de Climeworks ne s’améliorent pas, l’attente pourrait s’étendre d’années en décennies.
En bref, le tout est une arnaque tordue. Et ceux qui sont tombés pour cela par leur désir de vertu ne méritent aucune sympathie.