Dans l’article de The Mirror, on parle de températures atteignant 26 °C à Londres et 25 °C dans d’autres régions britanniques le dimanche 11 mai 2025, avec des recommandations de … « confinement ». Cependant, 25-26 °C ne correspond pas à la définition classique d’une canicule, surtout si cela ne dure qu’une journée et sans mention de nuits chaudes. Le terme « canicule » est utilisé de manière exagérée ici, il n’a d’autre but que terroriser la population.

Depuis le Covid-19, de nombreuses études et analyses ont montré que les médias ont souvent utilisé un ton anxiogène pour relayer les informations sur la pandémie, ce qui a pu renforcer la méfiance du public. Des études publiées en 2021 et 2022 (comme celles de l’Université d’Oxford ou du Reuters Institute) ont révélé que la couverture médiatique de la crise a privilégié des narratifs dramatiques au détriment d’une communication plus nuancée, alimentant des perceptions de peur ou de contrôle. C’est ce qui arrive aujourd’hui avec le climatisme, autre sujet hyper anxiogène utilisé par les médias pour terroriser la population et faciliter son contrôle.

Pendant ce temps, UVDL prend l’avion pour faire 212 km entre Bruxelles et le Luxembourg…