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Climat : La constante ? Le mensonge des politiciens !

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Agnès Pannier-Runacher : « La France se réchauffe plus vite que le reste de la planète »

Les politiciens n’ont plus que la peur et la menace de ressortir les fonctionnaires éborgneurs pour nous imposer l’Agenda 2030…

   Après la fausse pandémie de « C19 », qui aurait terrorisé plus de 80 % de la population, celle des crétins d’injectés volontaires qui sont ensuite allés voter massivement pour la Grande faucheuse des EHPAD, Emmanuel Macron, et presqu’aussi massivement pour celui qui aurait ordonné aux fonctionnaires éborgneurs de nous courir après pour nous injecter de force s’il avait été au pouvoir, Jean-Luc Mélenchon, l’islamo-raciste qui préférerait se suicider plutôt que de vivre parmi des blonds aux yeux bleus (il a vraiment déclaré cela), il viennent de lancer, tous en chœurs : « la fausse canicule », qui est la suite de la fausse sécheresse de l’été 2024.

   Le matraquage est quotidien : restez terrés à l’ombre, ne voyagez plus, supprimez viande et légumes, oubliez les bains, sinon la planète continuera de se réchauffer…

Une ministre — la même qui prétend que la France se réchauffe plus vite que le reste de la planète — affirme même qu’une canicule sévit en France depuis quinze jours.

   Ah ? Vraiment ? Une canicule ? Sur la France ? Depuis 15 jours ?

   La définition académique du terme « canicule » désigne : « une période prolongée de chaleur intense, caractérisée par des températures exceptionnellement élevées, associées à une absence ou une faible diminution des températures nocturnes par rapport aux températures diurnes ».

   Cette particularité, où l’écart thermique entre le jour et la nuit est minime, est essentielle pour distinguer une canicule d’une simple vague de chaleur et une canicule implique typiquement :

   1. Des températures diurnes très élevées, dépassant les normales saisonnières de manière significative.

   2. Des températures nocturnes très élevées, voire identiques aux températures diurnes, empêchant un refroidissement notable et accentuant le stress thermique sur les organismes vivants.

   3. Une durée prolongée (généralement plusieurs jours consécutifs) de ces conditions.

   4. Une élévation de la mortalité, directement associable aux températures élevées, de nuit comme de jour.

   Par exemple :

En 1911 : il y aurait eu 70 jours de canicule (du 5 juillet au 13 septembre), avec des températures en journée qui auraient été supérieures ou égales à 38 °C, et des températures nocturnes qui auraient toujours été supérieures à 30 °C (40 000 décès estimés à l’époque).

   En 1947 : il y aurait eu 14 jours de canicule (du 22 juillet au 4 août), avec des températures qui auraient été supérieures ou égales à 35 °C le jour et la nuit.

   En 1976 : il y aurait eu 18 jours de canicule (du 10 au 28 juillet), avec des températures en journée qui auraient été supérieures ou égales à 38 °C, et des températures nocturnes qui auraient toujours été supérieures à 30 °C (4 500 décès estimés à l’époque).

   En 1983 : il y aurait eu 23 jours de canicule (du 9 juillet au 31 juillet), avec des températures en journée qui étaient supérieures ou égales à 38 °C (41 °C dans la maison où je me trouvais dans l’est de la France), et des températures nocturnes toujours supérieures à 30 °C (33 °C dans la maison où je me trouvais dans l’est de la France) (4 700 décès estimés à l’époque).

   En 2003 : il y a eu deux vagues de canicule (juillet et août) avec 15 jours en août (du 4 août au 18), avec des températures en journée qui étaient supérieures ou égales à 44 °C et des températures nocturnes toujours supérieures à 25 °C (35 °C dans l’appartement que j’occupais à Paris) (15 000 décès estimés à l’époque).

   En comparaison, les températures relevées à Paris-Montsouris du 15 au 30 juin 2025, auraient été de :

   – Maximales en journée : entre 22,7 °C et 35,5 °C

   – Minimales la nuit : entre 10,3 °C et 20,9 °C

   Même si les journées sont agréablement chaudes — après un printemps qui tirait sur l’hiver — nous sommes à mille lieues d’une canicule.

   La constante ? Le mensonge des politiciens

En 2003, ils niaient la canicule, en 2025, ils en inventent une.

   Mentir, piller, et surtout nourrir la peur pour garder leurs électeurs injectés volontaires sous contrôle…

   Il ne leur reste qu’une arme : maintenir la population dans une terreur permanente, prêts à lâcher leurs fonctionnaires-éborgneurs si cela ne suffit pas, pour imposer le pillage généralisé des entrepreneurs et salariés du privé ainsi que l’Agenda 2030.

   Devant cette agonie sociale, ne devons-nous pas admettre que nous vivons en territoire ennemi ?

   Ne devons-nous pas feindre l’obéissance, feindre la peur, et dans la clandestinité nous constituer en avant-garde de l’avant-garde qui reconstruira l’Europe sans politiciens ni hauts fonctionnaires ?

   Les blockchains et les cryptomonnaies rendent ce scénario possible.

   Alors, passons à l’action et façonnons cette avant-garde de l’avant-garde post-chaos européen.

   Et surtout, sans aucun politicien ou haut fonctionnaire.

La réponse de Léa

   Suite aux deux lettres de Patrick Ledrappier sur la question que nous posait Léa, elle nous a envoyé ce message :

   « Waou merci pour tous ces messages ! Et merci pour les deux lettres !

   » J’ai tout lu avec attention.

   » La semaine dernière, nous sommes allés faire la visite médicale pour une activité extrascolaire de mon fils (pour laquelle la visite médicale est obligatoire), et la première chose que le médecin a demandé c’est le carnet de santé.

   » Elle a vu que le rappel n’était pas fait et m’a demandé de prendre rendez-vous pour le faire et lui envoyer la preuve pour la mettre dans le dossier.

   » Le système nous met la pression. Elle présentait le rappel comme indispensable. Elle n’a pas dit le mot obligatoire mais tout son discours donnait l’impression que c’était obligatoire. Alors que j’apprends par vos lettres que ça ne l’est pas.

   » Hier on était chez des amis, qui ont 2 enfants du même âge (un garçon de 12 ans, une fille de 14 ans).

   » J’ai posé la question : ‘avez-vous fait les rappels du DTP ?’, ils ont répondu « oui », et en plus, ils ont fait le nouveau, le fameux qui comprend également celui contre le papillomavirus.

   » Même au garçon. (Moi j’ai refusé pour mon fils, malgré les mails répétés de l’école).

   » Pourtant ce sont des gens instruits et alertes, qui sont conscients de beaucoup de choses. Mais ils disent que pour ces produits on a suffisamment de recul pour pouvoir leur faire confiance.

   » Comment est- ce possible que tout un système de santé qui est sensé nous protéger, nous fasse du mal, de manière délibérée ?

   » C’est à peine croyable. »

   « Au sujet de l’argument (franchement débile)… »

   Léa, au sujet de l’argument (franchement débile) « pour ces produits on a suffisamment de recul pour pouvoir leur faire confiance. » de vos amis, permettez-moi de vous citer quelques exemples qui démontrent que le temps n’est jamais gage d’innocuité avec Big Pharma et les politiciens corrompus qui protègent les laboratoires pharmaceutiques :

   – Diéthylstilbestrol (DES) (1941 → 1971), 30 ans sur le marché, retiré en 1971, car il provoquait des cancers gynécologiques et des malformations chez les enfants exposés in utero ;

   – Propoxyphène / Darvon / Davorcet (1957 → 2010), 53 ans sur le marché, retiré en 2010, car il provoquait des cancers gynécologiques et des malformations chez les enfants exposés in utero ;

   – Phénacétine (fin XIXᵉ s. → 1983), 80 ans sur le marché, retiré en 1983, car il provoquait de l’insuffisance rénale et le cancer des voies urinaires ;

   – Fenfluramine / Dexfenfluramine (1966 → 1997), 31 ans sur le marché, retiré en 1997, car provoquait des valvulopathies cardiaques et de l’hypertension pulmonaire mortelles ;

   – Ranitidine (Zantac) (1981 → 2020), 39 ans sur le marché, retiré en 2020, car il contenait une substance cancérogène ;

   En clair : le « recul » de mise sur le marché est loin d’une garantie ; l’histoire regorge de médicaments restés des dizaines d’années en pharmacie avant que les politiciens admettent – souvent après des milliers de victimes – qu’ils étaient dangereux.

   En France, avec le Médiator, avec l’aide des blouses blanches, les politiciens ont réussi à protéger les laboratoires Servier pendant 33 ans. Le médiator a été mis sur le marché en France en 1976 pour n’en être retiré qu’en 2009, après avoir provoqué 1 800 morts — Nombre retenu pas la « justice ».

Pierre Lefevre

Co-fondateur

Libre Consentement Éclairé

Lire également :

Le 18eme siècle, période record des canicules et des sècheresses mais à l’époque il n’y avait ni vieux diésels ni escrologistes , ni journalistes pour raconter des bobards

Pour remonter le moral des anxieux Patrice Gibertie nous fait un inventaire historique des périodes de fortes chaleurs au cours de siècles.

Ce qui doit pas nous empêcher de nous interroger sur les manipulations actuelle du climat après le lapsus, ou pas, de la ministre Pannier-Runacher sur la canicule « déclenchée depuis 12 jours ».

Publié le30 juin 2025parpgibertie

700 000 morts et des nuées de Sauterelles en France en 1718….Imaginez l’invasion de sauterelles comme durant les étés 1718 1719 caniculaires. Des « climatologues » nous expliqueraient que c’est dû au réchauffement provoqué à 200% par l’Homme. Si tout le monde lisait Le Roy Ladurie, cela relativiserait beaucoup

Ce n’est que depuis la seconde moitié du XVIIe siècle que l’on dispose de données directes sur les températures. Pour reconstruire des séries historiques avant l’ère des mesures instrumentales, les scientifiques du climat ont recours à des Proxy-data (sources indirectes) comme par exemple, les dates des vendanges ou l’étude des anneaux d’arbre.

Pour l’étude des vagues de chaleur Emmanuel GARNIER a utilisé les archives sur les processions religieuses (qualifiées de rogations pro pluvia ou pro serenitate) qui étaient pratiquées dans la majeure partie de l’Europe méditerranéennes à l’appel de l’Église catholique ou des autorités municipales. Il a ainsi reconstitué les périodes de sécheresse extrême survenues entre les années 1550 et 2009.

L’énumération qui suit est extraite d’un article publié par Direction de la Météorologie Nationale sous le titre : « Les grands étés en France : 1135-1800 ».

1704 Sécheresse et chaleurs remarquables dans le Midi et dans l’Ouest. Dans la Beauce, de nombreux moissonneurs meurent frappés d’insolation.

1705. — Un été caniculaire en France. À Paris, les 39 degrés sont atteints durant plusieurs jours tandis que dans le sud du royaume la chaleur est telle que « les thermomètres de Cassini et de la Hire sont brisés par la dilatation du liquide ». Dans le Midi, une « chaleur intolérable » ; à Montpellier, le 30 juillet, la chaleur égalait celle qui sort du four d’une verrerie et on faisait cuire des œufs au soleil ». Il y eut entre 200 000 et 500 000 décès causés par l’infection de l’eau.

1707. — Les chaleurs sont si fortes dans l’Ouest « au temps des faucheries de foin que non seulement des personnes en meurent mais même des bêtes ». Le 19 juillet, « le coche de Paris à Orléans, c’est-à-dire ceux qui étaient dans le coche, qui partirent ce matin-là d’Etampes, comptèrent quatorze chevaux morts de chaleur sur le pavé jusqu’à Orléans ».

1712. — Eté très chaud à Paris. Chaleurs et grande sécheresse dans le Midi.

1718 et 1719. — Deux étés caniculaires se succèdent. Une forme de climat saharien s’abat sur la région parisienne et les témoins rapportent même l’invasion de nuées de sauterelles en provenance d’Afrique du Nord qui ravagèrent les cultures jusqu’en Normandie. Ces deux étés caniculaires firent 700 000 morts, dont 450 000 pour la seule année 1719. Les victimes sont essentiellement des bébés et des enfants, atteints de dysenterie véhiculée par l’infection des eaux devenues trop basses.

1723. — Sécheresse générale d’une durée de trois mois, qui provoque une grave disette de fourrage.

1726, 1729 et 1731. — Années généralement sèches dans toute la France, y compris le Midi. En 1731, il ne tombe à Paris que 1 millimètre d’eau en mars et 6 millimètres en avril et pour obtenir la pluie nécessaire on découvre au début de mai la châsse de sainte Geneviève; au mois de novembre de cette année le niveau de la Seine est de 13 centimètres plus bas qu’il ne l’était en 1719.

1736. — Grande sécheresse en Normandie : elle dure jusqu’à la Toussaint et rend impossibles pendant tout le mois d’octobre les semailles de blé.
1741. — L’Archevêque de Paris prescrit des prières publiques et des processions pour obtenir la fin de la sécheresse qui sévit sur la région parisienne et dans le Centre.

1742 et 1743. — Sécheresse en Bretagne et dans le bassin de la Seine : en 1743 cette sécheresse s’étend à une grande partie de l’Europe occidentale.

1751. — Dans le Sud-Ouest « après un printemps dérangé et pluvieux il vint une sécheresse extraordinaire avec grandes chaleurs qui firent périr la récolte. Les herbages manquèrent. Ce fut une année des plus critiques et des plus disetteuses. »

1757 et 1759. — Etés chauds et secs dans le Nord et l’Est. En Normandie, les mois de juin et juillet.1757 et ceux de juillet et août 1759 sont particulièrement chauds et secs. A Paris, on note des températures de 37° 5 les 14 et 20 juillet 1757.

1767. — Les eaux de la Seine sont de 27centimètres plus basses qu’en 1719.

1772. — Dans le Midi, « les maïs furent semés et récoltés sans pluie, ce qui donne à la sécheresse une durée d’environ six mois ». A Paris, la température atteint 36° dès le mois de juin.

1778. — A Paris, la Seine est de 8 centimètres plus basse qu’elle ne l’était en 1719.

1784. — Dans le Bourbonnais « sécheresse continuelle en sorte que tous les étangs, les sources et la plupart des puits étaient taries et que l’on ne pouvait moudre qu’à bras ».

1785. — Grande sécheresse dans toute la France. A Paris, le total de l’eau tombée du 1er mars au 31 mai n’atteint que 21 millimètres. Dans de nombreux diocèses, les évêques prescrivent des prières publiques pour demander de la pluie.

1788. — Sécheresse dans le Sud-ouest. Lors de sa séance du 14 mai 1788, le conseil de ville de Montauban décide d’écrire à l’évêque pour lui demander d’ordonner des prières publiques « afin d’obtenir du ciel la cessation de l’affreuse sécheresse qui règne depuis longtemps et expose les fruits de la terre aux plus grands dangers ».

1790. — L’été et l’automne sont tellement secs dans la moitié nord qu’en de nombreuses régions les vignes ne donnent presque rien

1793. — Dans le Loiret, chaleurs excessives de la fin de juin à la fin d’août : « les légumes séchaient sur leurs tiges, les fruits se consumaient sur les arbres, la viande se décomposait en moins d’une heure». En Champagne, chaleur et sécheresse caractérisent les mois de juillet à octobre. A Paris, on enregistre 38° 4 le 8 juillet 1793 et pendant toute cette année on ne recueille que 331 millimètres de pluie.

@AssoClimatoReal

500 années de sécheresses et de #canicules en Île de France. « #Sécheresses et canicules avant le global Warming – 1500-1950 », (Editions Hermann) par l’historien du climat Emmanuel GARNIER https://climato-realistes.fr/emmanuel-garnier-500-annees-de-secheresses-et-de-canicules-en-ile-de-france/

Source : PGibertie

Bel exemple de manipulation. Comme pour le covid chaque pays ou dirigeant répète la même chose. Ils n’ont pas dû se rendre compte que le monde est interconnecté et que l’information circule.

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