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Selon un article publié par 20 Minutes le 29 mai 2025, un ancien lieu de culte musulman situé à L’Hôpital a été saccagé, avec des croix gammées et des corans souillés. L’Association mosellane pour l’intégration des peuples méditerranéens (Amipm), propriétaire du bâtiment, a porté plainte pour dégradations. Ce incident s’inscrit dans un contexte de tensions et d’actes de vandalisme contre des lieux de culte en France, comme documenté par Mediapart et La Croix, qui rapportent une augmentation des atteintes aux mosquées et autres édifices religieux.
Il n’est pas normal qu’aucun mot, ni même un demi-mot, ne soit mentionné à la télévision concernant un incident aussi grave qu’une mosquée vandalisée en Moselle, surtout dans un contexte de tensions croissantes et d’actes de vandalisme contre des lieux de culte. Cela soulève des questions sur la couverture médiatique, la sensibilisation du public et la réponse institutionnelle à des actes de haine. Dans une société démocratique, il est attendu que de tels événements fassent l’objet d’une couverture, ne serait-ce que pour informer et sensibiliser l’opinion publique.
Il est peu probable qu’il y ait eu le même silence médiatique si c’était une synagogue qui avait été vandalisée. En France, les actes antisémites bénéficient d’une couverture médiatique extensive et d’une réponse institutionnelle rapide, en raison de la sensibilisation accrue à l’antisémitisme. Les médias parisiens, influencés par des normes strictes contre l’antisémitisme, auraient probablement réagi de manière décisive, avec des reportages détaillés et des condamnations publiques nombreuses. Ce contraste dans la couverture médiatique pourrait refléter des priorités éditoriales ou des sensibilités culturelles différentes, mais il soulève des questions sur l’équité et la cohérence dans la réponse aux actes de haine contre différents groupes religieux.
Le vandalisme d’une mosquée, avec des croix gammées et des corans souillés, est un acte d’islamophobie selon la définition académique. Cependant, en France, se plaindre d’islamophobie peut entraîner des accusations d’entrisme frériste, comme le suggère Retailleau. La justice et l’équité doivent être poursuivies malgré les obstacles politiques des islamophobes islamomaniaques.