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Le secrétaire américain à la Santé, Robert F. Kennedy Jr., a révoqué les 17 membres du Comité consultatif sur les pratiques en matière de vaccination (ACIP) des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC). Dans sa tribune sur le Wall Street Journal, RFK Jr estime que les personnes renvoyées avaient trop de lien avec l’industrie pharmaceutique, Big Pharma. Aux USA, l’administration Trump s’apprête à abandonner leurs recommandations universelles pour adopter une approche ciblant les populations à risque , principalement les personnes âgées ou immunodéprimées . Ce revirement constitue une rupture totale avec les politiques sanitaires imposées depuis 2021.

Le secrétaire américain à la Santé, Robert F. Kennedy Jr., a annoncé lundi le limogeage des 17 membres du principal comité consultatif sur les vaccins, qu’il accuse de liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. Une décision qui confirme l’orientation vaccinosceptique de l’administration Trump.Cette annonce a été faite dans une tribune publiée dans le Wall Street Journal, puis relayée par un communiqué officiel..Pour rappel, au début du mois, la Dr. Panagiotakopoulos, experte en santé publique et vaccinologie, a quitté son poste de co-responsable du groupe de travail sur les vaccins anti-COVID au sein du Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) chargé de conseiller sur les vaccins COVID-19. Dans un courriel à ses collègues, elle affirme ne plus être en mesure d’« aider les membres les plus vulnérables de la population ». L’ACIP est un comité fédéral essentiel qui élabore les recommandations de vaccination pour la population civile américaine. Ces recommandations influencent directement les calendriers vaccinaux et les obligations de remboursement par les assurances. Composé d’experts médicaux indépendants, le comité représente depuis des décennies un pilier de la politique sanitaire des États-Unis.
RFK Jr. dénonce des conflits d’intérêts avec Big Pharma
Dans une tribune publiée dans The Wall Street Journal, Robert F. Kennedy Jr. a justifié ces renvois en accusant les membres du comité de conflits d’intérêts , de « liens financiers avec des sociétés pharmaceutiques ». Selon lui, cette refonte vise à garantir que la science, et non des intérêts commerciaux, guide les décisions de santé publique.
««Le public doit savoir que les recommandations de nos agences de santé sont fondées sur des données scientifiques impartiales, évaluées dans le cadre d’un processus transparent et à l’abri des conflits d’intérêts»
a écrit RFK dans sa tribune
La décision a immédiatement suscité l’indignation chez certains experts en santé publique et les démocrates. Le Dr Bruce Scott, président de l’American Medical Association, a dénoncé une mesure qui « sape la confiance » dans un processus transparent et rigoureux, qui a sauvé d’innombrables vies. Cette décision a également été accueillie avec inquiétude par Susan Kressly, présidente de l’Académie américaine de pédiatrie, qui craint la recrudescence de maladies telles que la rougeole, l’inquiétude est grande face au risque de voir la politique vaccinale américaine fragilisée.
Le chef des démocrates au Sénat, Chuck Schumer a dressé le même constat:
«Balayer un groupe entier d’experts sur les vaccins ne renforce pas la confiance, mais la brise.»
Le sénateur Bernie Sanders a également déclaré dans un communiqué: «Alors que nous devrions renforcer la confiance dans la science et élargir l’accès aux soins de santé, ce gouvernement fait exactement le contraire. Il s’agit de la poursuite de la dangereuse guerre de Trump et Kennedy contre la science. Cela ne peut pas durer».
Une refonte de la politique vaccinale américaine
Le Département de la santé et des services sociaux (HHS) a annoncé que de nouveaux membres seraient rapidement nommés. Le comité doit se réunir du 25 au 27 juin au siège des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) à Atlanta pour discuter de sujets cruciaux : vaccinations contre la COVID-19, le VRS, la grippe, le VPH et les infections à méningocoques. Kennedy dispose de deux semaines pour constituer un nouveau comité. Des observateurs redoutent qu’il n’y place des figures alignées avec sa vision très critique des politiques vaccinales actuelles.
Depuis sa nomination, RFK a freiné l’élargissement de la vaccination COVID-19 et continue d’évoquer des préoccupations autour du vaccin ROR (lien avec l’autisme), alors que les autorités rapportent une recrudescence inhabituelle de cas de rougeole — avec plus de 1 100 cas recensés et trois décès signalés, bien que certains experts estiment ces chiffres possiblement sous-évalués.
Selon certains responsables de la santé, ce limogeage intervient alors que les États-Unis font face à plusieurs menaces épidémiques : résurgence de la rougeole, grippe aviaire, recul de la vaccination infantile. L’hésitation vaccinale est en hausse, alimentée notamment par des discours relayés sur les réseaux sociaux. Pour ces « experts », la crainte est grande de voir ces tendances s’amplifier si le nouveau comité venait à affaiblir les recommandations en matière de vaccination.
Pour autant, à cause des effets indésirables de la vaccination covid, nombreuses familles américaines ne sont pas prêtes à se vacciner. En effet, les effets indésirables de la vaccination Covid sont particulièrement à risque, l’administration Biden a pourtant accéléré une politique sanitaire qui repose sur le déni de réalité. Cette vaccination est-elle justifiée en matière de santé publique ? L’acceptation par l’opinion publique d’une telle politique a été surtout le signe d’une orientation idéologique.
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