Complexe à détecter, l’endométriose plonge de nombreuses patientes dans une longue errance médicale. Des tests salivaires existent pour détecter la maladie, mais une fois le diagnostic posé, que fait-on ? C’est tout l’objet de l’étude EndoBest qui va évaluer l’impact de l’Endotest® sur la prise en charge des patientes. Un protocole étendu à 80 hôpitaux de France, dont l’Hôpital privé Dijon-Bourgogne.

Amandine Robert - Aujourd'hui à 12:45 - Temps de lecture :

Charlène Guillier, patiente volontaire pour l’étude EndoBest, pratiquant le test salivaire qui révélera la présence ou non de micro-ARN liés à l’endométriose.  Photo A. R. Charlène Guillier, patiente volontaire pour l’étude EndoBest, pratiquant le test salivaire qui révélera la présence ou non de micro-ARN liés à l’endométriose.  Photo A. R.

« Je veux juste savoir, enfin… Qu’on puisse me dire si oui ou non j’ai de l’endométriose et me prendre en charge correctement. » C’est avec émotion que Charlène Guillier, Dijonnaise de 26 ans, témoigne de son parcours médical jalonné de plus de questions que de réponses. Le fil rouge aura été la souffrance et l’errance. Nous la rencontrons lundi 23 juin, dans les locaux de l’Hôpital privé Dijon-Bourgogne, à Valmy, où elle est venue participer à l’étude EndoBest. Son but ? « Grâce au nouveau test salivaire, avoir enfin un diagnostic d’endométriose ou écarter définitivement cette pathologie pour chercher ailleurs les causes de mes douleurs. »

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