La maladie humaine est si grave

que seul un petit nombre peut supporter de la regarder. Mais ceux qui le font guérissent.

Vernon Howard                                             3 avril 2025

Chers lecteurs

L’Allemagne a désormais un nouveau gouvernement. Et comme l’a résumé un journal espagnol, la situation est « aussi déplorable que redoutée ». L’ancien PDG de BlackRock et futur chancelier Friedrich Merz ne tient pas ses promesses électorales. Les efforts de la coalition noire-rouge pour réprimer davantage la liberté d’expression et abolir la loi sur la liberté d’information sont également « choquants ».

La réputation de l’Allemagne à l’étranger est clairement en train de se dégrader. Le fait que la folie de l’armement d’Ursula von der Leyen soit mise en œuvre avec empressement par le gouvernement allemand y contribue. Des « préparations à la guerre » sont prévues dans les écoles et, avec le Royaume-Uni, l’Allemagne a pris la tête du « Groupe de contact Ukraine », qui se réunit au siège de l’OTAN à Bruxelles.

Pendant ce temps, les organisations mondiales non élues s’efforcent d’étendre leurs pouvoirs. Les Nations Unies veulent prélever une « taxe climatique » sur le transport maritime mondial. Si elles parviennent à leurs fins, elles obtiendront un pouvoir sans précédent, ouvrant les vannes de la tyrannie mondiale.

L’OMS est tout aussi occupée. Elle vient de réaliser « l’exercice Polaris » de simulation de pandémie, qui simule une épidémie virale fictive. Plus de 15 pays, organisations mondiales de santé et « experts en urgences sanitaires » y ont participé. L’Allemagne en faisait bien sûr partie. Selon les critiques, de tels exercices visent à assurer un contrôle mondial.

Le traité sur les pandémies est également dans la dernière ligne droite. À Genève, le « Dr Tedros » a tenu ce qui devrait être le dernier cycle de négociations et a annoncé que tout se passait bien. Il souhaite conclure son accord en mai. Dans le même temps, on apprenait que des « vaccins » contre le coronavirus d’une valeur de près de 1,6 milliard d’euros avaient été éliminés en Suisse.

Au vu de la situation mondiale alarmante, Markus Langemann, du « Club des mots clairs », a posé une question importante à ChatGPT : « Si vous étiez le diable, comment détruiriez-vous l’esprit de la prochaine génération ? »

L’IA a répondu qu’elle ne viendrait pas par la force, mais qu’elle se déguiserait en progrès, en liberté, en compassion. Puis elle commencerait lentement et systématiquement à « empoisonner l’esprit de façon presque invisible ».

Stratégie : relativiser la vérité, confondre l’identité et désintégrer la famille, distraire, engourdir et isoler les gens, ne pas leur laisser un instant de répit. Exposition constante aux médias sociaux, aux séries, à la pornographie, à la consommation. Jamais d’ennui, parce que dans le silence, ils pouvaient penser. Réinterpréter et effacer l’histoire, diaboliser le passé, couper les racines et vider la langue.

Cela vous rappelle quelque chose, n’est-ce pas ? En Allemagne et dans presque tous les autres pays européens, ce programme est mis en œuvre avec enthousiasme. C’est pourquoi les hommes politiques veulent désormais imposer la déchristianisation des jours fériés et des symboles officiels. Vous pouvez découvrir comment cela se passe ici.

Les rituels sataniques dans les stades de football sont également en vogue. En Allemagne et en Espagne, des supporters ont mis en scène des incantations au diable. Amusement inoffensif – ou y a-t- il plus que cela ? Une chose est sûre : les soi-disant « élites » qui dirigent notre monde savent qu’elles peuvent utiliser le football pour contrôler les masses et exploiter cette énergie.

Par ailleurs, c’est aujourd’hui le dimanche des Rameaux, qui annonce la Semaine sainte en Espagne et qui est la fête la plus ancienne et la plus importante de l’année ecclésiastique pour les chrétiens. Pour de nombreux Allemands, Pâques est avant tout une fête familiale avec des chasses aux œufs, des lapins de Pâques en chocolat et des œufs colorés.

Mais même avec des coutumes aussi simples, la chaîne de supermarchés mondialiste Lidl veut maintenant les supprimer : dans le cadre de ses efforts pour vider les fêtes et les symboles de leur sens, elle a rebaptisé ses « lapins de Pâques » en chocolat en « lapins assis ». Ils sont fous, n’est-ce pas ?

Sincèrement,

Wiltrud Schwetje

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