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Après RFK Jr et Karen Kingston, le Dr Bryan Ardis et son livre « Au-delà des mensonges COVID-19 » nous informe et offre des solutions simples à l’attaque nano-biologique COVID-19 1/4 (Dr Bryan Ardis)

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Une des plus incroyables traductions qu’il nous ait été donnée de faire. L’information divulguée par cette enquête scientifique extraordinaire est certes terrifiante, mais comme le sous-titre du livre le dit si bien, elle amène un énorme espoir aux victimes de cette attaque biologique depuis 2019 dans le monde entier souffrant toujours de séquelles graves. On ne peut pas solutionner un problème si on ne le comprends pas. Nos deux traductions précédentes des informations de RFK Jr et de Karen Kingston furent vitales, celles révélées par le Dr Ardis dans son livre complète le tableau. Avec les trois source d’information, l’image du problème est très très claire maintenant…
Le Dr Bryan Ardis rejoint les Dr Zelenko, McCullough, Merritt et autre Karen Kingston, pardon à tous ceux qu’on oublie, au panthéon des héros de l’humanité.
A lire et diffuser au plus grand large sans aucune modération. Comme toujours, la vérité nous libèrera !
~ Résistance 71 ~

Au-delà des mensonges du COVID-19
Restaurer la santé et l’espoir pour l’humanité

Dr. Bryan Ardis

Larges extraits de son livre essentiel et salvateur : “Moving Beyond COVID-19, Restoring Health and Hope for Humanity” , Harvest Creek,  octobre 2024

Traduit de l’anglais par Résistance 71, juin 2025

1ère partie
2ème partie
3ème partie
4ème partie

Dr Bryan Ardis, D.C, est considéré comme un des meilleurs experts au monde sur la COVID-19, les vaccins, le médicament Remdevisir et autres. Il fut conférencier pendant plus de 3 ans pour le ReAwaken America Tour et a participé à des conférences médicales et des symposiums dans le monde entier. Les documentaires où il figure :“Watch the Water 1 & 2”, “Antidote” et “CoVenom-19 séries” ont été vus par des millions de personnes. Dr Ardis est le créateur et co-fondateur de la conférence sur la santé “Healing for the A.G.E.S”, qui fournit bon nombre de solutions à bien des problèmes de santé. On peut le contacter via son site internet : http://www.thedrardisshow.com

Note des Traducteurs : le livre fait 304 pages et comporte 15 chapitres que nous résumons dans une traduction partielle ci-dessous chapitre par chapitre. Il comporte également de très nombreuses références de sources, de tableaux et de captures d’écran, que nous ne reproduirons pas dans notre traduction, voir pour cela le livre original ou son édition française complète à venir. Le Dr Ardis prévoit la traduction et la publication de ce livre en allemand, espagnol, français, japonais et chinois. Nous mettons notre traduction partielle de l’ouvrage en français en ligne absolument gratuitement à des fins éducatrices. Ceci, répétons-le, n’est pas une traduction complète, mais ce qui nous paraît être le plus important à être diffusé au plus tôt en français. Cette information présentée est vitale et n’est en rien contradictoire de nos traductions précédentes des recherches de Karen Kingston sur la création et le brevetage des armes nanobiologiques à ARNm et ARNm-aa, de fait les deux se complètent parfaitement. Ajouter à cela le livre recherche initial de Robert F. Kennedy Jr sur le Dr Fauci, le NIH et le NIAID (que nous avons aussi traduit partiellement), abordé aussi plus succinctement par le Dr Ardis et tout y est. Ces trois sources d’information cernent la vérité avec la plus grande précision et en cela doivent être diffusées au plus grand large. C’est le but de notre démarche de traduction et de diffusion gratuite. La vérité nous libèrera !.. Pourvu qu’on se donne la peine de vouloir la connaître ! Bonne lecture à toutes et à tous !

Chapitre 1 : Une chauve-souris a t’elle vraiment toussé et rendu le monde malade ?

[…]

Personne sur terre n’a reçu les postillons d’un pangolin qui tousse. La très vaste majorité de la population mondiale n’a jamais vu, rencontré un pangolin, encore moins de personnes ont fait l’expérience de se faire tousser dessus par un de ces animaux ! Si des virus respiratoires se propagent dans le monde au moyen de gouttelettes résultant de la toux, d’éternuements ou de la respiration d’animaux et d’humains, alors le sens commun veut que l’animal d’origine d’une telle maladie ait toussé, éternué ou respiré à moins de 2 mètres pour que des gouttelettes aient pu infecter une personne et ses poumons.

[…]

Puis le narratif est passé du pangolin à une chauve-souris. Je suis sûr que ce petit animal est capable de tousser, c’est donc plausible, mais il aurait fallu que chaque patient des hôpitaux de Wuhan aillent dans une grotte ensemble se faire tousser dessus par une chauve-souris infectée. […] Tous ont du inhaler le virus respiratoire, puis ceux qui furent infectés, ont transmis la maladie à d’autres humains. D’après les experts, c’est comme ça que les virus respiratoires se transmettent.

[…]

Ainsi donc, je pose la question : Est-ce qu’un pangolin, une chauve-souris, ou une créature marine sans vie d’un marché de Wuhan, a toussé de façon à ce qu’un humain ou un groupe d’humains puissent inhaler l’air infecté (dans un rayon de 1,8m bien entendu) dans leurs poumons ? Et ainsi ces humains ont toussé sur d’autres humains qui ont toussé sur le monde et ont provoqué une pandémie mondiale. Autre question : le pangolin malade savait-il que quelques mois après qu’il eut toussé sur les personnes en Chine, se tenait une élection présidentielle aux Etats-Unis ? Ou cela était-il aussi une coïncidence ?

[…]

Chapitre 2 : un symptôme bénin qui se termine par la mort

NdT : Ce chapitre raconte en détail l’admission du beau-père de l’auteur à l’hôpital en février 2020 pour fièvre et maux de tête et “mise en observation” vu son âge (90 ans). De personne saine entrant de son plein gré l’hôpital pour un “check-up” médical, le patient y mourra de la faute de mauvais diagnostiques consécutifs et d’un “protocole” hospitalier concernant une (imaginaire) pneumonie erroné et mortel. Le beau-père du Dr Ardis fut placé sous un antibiotique (Vancomycine) connu pour provoquer des arrêts rénaux du à sa néphrotoxicité (recherches et documents cités et reproduits dans le livre) et toute une série d’erreurs et de mauvaises pratiques médicales sous couvert d’un “protocole” plus lucratif que sanitaire, menèrent à son décès tragique malgré toutes les tentatives du Dr Ardis pour remédier à la situation, qui le virent finalement évincé de l’hôpital pour des “raisons de sécurité”… A lire dans le livre, poignant témoignage sur l’ineptie médicale moderne menant à de véritables tragédies.

La conclusion du chapitre par le Dr Ardis :

Mon but principal en écrivant ce livre est de faire la lumière sur certaines choses et de vous fournir des informations importantes sur ce que j’ai appris durant cette pandémie. Jamais la médecine moderne n’a été si incroyablement mal informée pour trahir les peuples du monde. Jamais l’humanité n’a été si incroyablement trahie par ceux en qui nous faisons confiance pour nous soigner et sauver nos vies. Il n’y a jamais eu non plus autant de maladies, de mal-pratique et de mort soudaine. Et, comme vous allez le découvrir, j’ai découvert que tout cela a été planifié et nous a été intentionnellement infligé.

La pandémie COVID-19 restera comme un des plus violents génocides de l’histoire de l’humanité. Et cela ne se termine pas là. Ce qui m’inquiète toujours plus est que les journaux et magazines médicaux publient et continueront de publier la même information erronée que la plupart des gens ont été amenés à croire concernant cette maladie de la COVID-19. Savez-vous que des médecins légistes et superviseurs médicaux ont menti sur la cause de la mort sur les certificats de décès ? Le gouvernement payait de gros dividendes aux hôpitaux lorsque quelqu’un décédait de “COVID-19”.

Pour certaines personnes, leur ignorance rend plus facile de croire des mensonges que de rechercher la vérité. Je suis un chercheur, un chercheur de vérité et un conférencier. Je ne trouve aucune bénédiction dans l’ignorance. Je veux connaître la vérité. Pourquoi ? Il y a longtemps, j’ai appris de grands enseignants que c’est la vérité qui libère et non pas le mensonge. Il n’y a pas eu beaucoup de liberté durant les confinements. La liberté de s’assembler où que ce soit était devenue non-existante. Personne n’avait plus la liberté d’explorer le monde, de voyager sans restriction, du masque aux “vaccins” obligatoires, toute une série de contraintes nous fut imposée. Les libertés que nous prenions pour avérées et durables avant l’ère COVID, nous furent retirées sans remords durant cette période.

Gardez toujours présent à l’esprit ceci : le mensonge vous restreint, vous emprisonne, seule la vérité libère toute personne.

Êtes-vous prêts à vous libérer des mensonges et de la tromperie qui vous ont confiné ainsi que moi et nos voisins, dans le monde entier ? Alors continuez cette lecture…

Posons une question :

J’ai posé une question à mon père il y a des années, maintenant je vous la pose :

Avez-vous cru en quelque chose ? Avez-vous ensuite défendu cette vérité face aux autres, seulement pour apprendre plus tard que c’était un mensonge ?

Chapitre 3 : C’est le Remdesivir ou… Rêve de finir !

[…]

Bien que les rapports provinrent de différents hôpitaux et d’individus tenant des positions diverses, chaque personne interviewée avait la même histoire résumée, synthétisée au sujet de ce qui arrivait aux patients lorsqu’ils étaient soignés pour ce nouveau coronavirus. C’était incroyable à entendre !

Cela n’avait aucune importance de qui parlait, de leur rôle ou du système hospitalier. Il y avait une constante dans les dires de toutes et tous. Tous disaient la même chose :

  • On n’a jamais vu une maladie respiratoire de la sorte
  • Au moment où nous traitons le virus, celui-ci souvent quitte les poumons et s’attaque aux reins
  • Un nombre signifiant de patients COVID-19 font l’expérience d’un dysfonctionnement rénal aigüe dans les 24 heures du traitement du virus
  • Le virus n’affecte pas que les poumons, mais il cible également les reins des gens

Où avais-je déjà entendu ça auparavant ? Insuffisance rénale aigüe moins de 24 heures après le commencement du traitement. Trois mois plus tôt, ma famille s’était entendue dire la même chose pour ce qu’il se passait avec mon beau-père… Et ce n’était pas le virus qui avait causée l’arrêt de la fonction rénale, mais un médicament antibiotique prescrit et injecté, la Vancomycine (voir chapitre 2).

[…] J’avais commencé ma recherche de la vérité. Où pourrais-je regarder en ligne pour un protocole hospitalier pour toute maladie ? Je me suis alors dit qu’un plan hospitalier pour le traitement de TOUS les Américains malades hospitalisés pour la COVID-10 ne pourrait être trouvé que sur un seul site gouvernemental. Imaginez ma surprise lorsque je n’y ai rien trouvé concernant le traitement de la COVID-19, mais il y avait un lien vers un autre site internet.

J’ai commencé ma recherche sur le protocole curatif hospitalier sur le site internet du Centre de Contrôle des Maladies (CDC). Vu le nom de l’organisme, je me suis dis que de toutes les organisations aux Etats-Unis, celle ayant dans son nom “Contrôle des Maladies”, serait là où un protocole de contrôle de la maladie COVID-19 serait disponible. On devrait y trouver des avis d’experts, de la recherche, des antidotes et des traitements médicaux. C’est donc par là que j’ai commencé ma recherche.

Souvenez-vous que nous étions alors à la mi-mai 2020. La pandémie venait de faire ses premiers pas dans le monde. Plaçant mon curseur dans le fenêtre de recherche interne du site, j’y tapais ces mots clef : “COVID-19 protocole hospitalier” que je validais.

Ce fut très choquant de voir l’absence totale de protocole hospitalier sur le site du CDC. Il n’y avait même pas une page sur la COVID-19 sur tout le site du CDC. Il y avait une ligne, une simple phrase sur une page qui disait quelque chose du style : “Le CDC n’a pas adopté de protocole de traitement de la COVID-19 chez les patients hospitalisés, le CDC a adopté le protocole du National Institute for Health (NIH), cliquez ici.”

Je me demandais pourquoi le NIH avait un protocole et pas le CDC. Je cliquais donc sur l’hyperlien de fin de phrase. Ceci devrait me mener directement au protocole de traitement des patients hospitalisés pour COVID-19. De manière plus que surprenante, la page n’avait pas non plus de protocole. Pas de liste de médicaments, de dosage, plus choquant encore, je n’y trouvais pas non plus le nom de la Vancomycine. Quel était donc le protocole de traitement de la COVID-19 sur cette page du site du NIH ?

En haut du memo, il y avait le nom de quelqu’un dont je n’avais jamais entendu parler, ainsi que le nom d’un seul médicament avec lequel je n’étais pas non plus familier.

Le titre du memo était : “Le protocole hospitalier de traitement de la COVID-19 par le Dr Anthony Fauci”. Ma première pensée fut celle-ci : qui est ce type, le Dr Fauci ?.. En fait, peu importait qui il était, j’étais bien plus intéressé par découvrir quel médicament était responsable des effondrements du système rénal dont on parlait tant dans les médias. La première phrase du même disait ceci : “Le traitement pour les patients de la COVID-19 hospitalisés est un médicament anti-viral expérimental appelé Remdesivir.

[…]

NdT : Important de savoir qu’en France, il y a 4 noms pour la même merde chimique mortelle: Remdésivir ou Veklury ou GS-5734 ou Remidia…

Ma première pensée fut : qu’est-ce que c’est que ce Remdesivir ? Seconde pensée : pourquoi utilise t’il un médicament antiviral expérimental au lieu d’un médicament approuvé par la FDA ? Ceci n’avait aucun sens. La question suivante fut celle-ci : qu’est-ce que ce Dr Fauci sait au sujet de ce médicament expérimental appelé Remdesivir que je ne sais pas ? Pour le savoir, je continuais à lire le memo…

Le reste faisait deux affirmations sur ce médicament expérimental. La première faite par Fauci était que le Remdesivir avait été trouvé “sûr et efficace” contre le virus Ebola durant une année d’expérimentation… en Afrique.. en 2019. Puis le memo fournissait un lien vers le compte-rendu de cet essai médicamenteux contre le virus Ebola.

L’affirmation suivante fut que le Remdesivir avait aussi été trouvé “sûr et efficace” contre le virus qui cause la COVID-19 dans une étude de trois mois plus tôt cette année là. Il y avait encore un lien menant à la publication des résultats de l’étude.

[…]

Pour la plupart des gens, poster un lien vers un article académique de recherche après une affirmation d’ordre médical est plus que suffisant pour les convaincre que quoi que ce soit d’affirmé est vrai et légitime. Pourquoi quelqu’un aurait-il un motif de mentir et incluerait un lien vers une recherche qui pourrait l’exposer ? Il n’y en a pas vraiment. Et pourtant, bien tristement, les médias, les médecins et les journaux médicaux officiels le font tout le temps. Ils placent des références sources et des liens avec leurs affirmations, sachant pertinemment que les gens soit leur font confiance, soit n’ont pas le temps de rechercher plus avant dans l’affirmation faite pour découvrir la vérité, qui bien souvent est totalement l’opposé.

Ainsi, j’ai commencé avec les essais sur Ebola avec cette étude publiée dans le New England Journal of Medicine (NEJM), qui est connu pour être un journal médical très très réputé.

[…]

Ce fut très perturbant de lire dans la description l’étude, les paramètres des femmes enceintes et des nouveaux-nés de moins d’une semaine, qui furent enrôlés dans cette expérience de test de médicament. Il y fut dit que des nourrissons négatifs au test Ebola mais dont la mère était positive, furent inclus dans la recherche. Ceci était un test pharmaceutique ça aurait du être interdit (je pensais que ça l’était !) de faire des tests pharmaceutiques sur des femmes enceintes et des nourrissons… Quiconque a financé cette étude sur cet essai pharmaceutique, devrait faire face à de très sérieuses conséquences !

[…]

Comme mentionné, l’étude devait évaluer la sécurité et l’efficacité de différents médicaments anti-viraux pour traiter des patients testés positifs au virus Ebola dans différentes parties de l’Afrique. Les quatre médicaments s’appelaient Remdesivir, ZMapp, MAb114 et Regeneron. Les trois derniers listés faisaient partie de la même classe médicamenteuse connue comme “anticorps monoclonique” Le Remdesivir n’est pas un anticorps monoclonique. Donc, de fait, ils testaient la sécurité et l’efficacité d’un médicament antiviral, le Remdesivir, contre trois médicaments à anticorps monoclonaux différents : ZMapp, MAb114 et Regeneron.

Pour référence, l’acronyme “Mab” est pour “Monoclonal AntiBodies”.

[…]

Il y avait une question sans réponse : Le Dr Fauci était-il honnête au sujet de la sûreté et de l’efficacité du Remdesivir contre le virus Ebola ? Je continuais donc ma lecture de l’étude.

[…]

Après avoir revu toutes les données de l’essai et les résultats sur les patients, en août 2019, le comité de révision indépendant pour la sécurité décida de mettre un terme aux essais de deux des médicaments à cause de leur résultat mortel. Voici ce qu’ils publièrent alors :

Le 9 août 2019, après avoir enrôlés 681 patients, le comité de surveillance des données et de la sécurité a conduit une analyse intérimaire  sur 499 patients et sur la base de deux observations, a recommandé l’arrête de l’assignation randomisée du ZMapp et du Remdesivir.

Les auteurs écrivirent plus tard dans leur article cette déclaration conclusive, lisez bien et notez si quelque chose ne manque pas à l’appel ?

Le pourcentage de patients qui sont morts fut plus bas dans les groupes MAb114 et REGN-EB3 que dans le groupe ZMapp (Fig.1 et Table 2)…

Que manque t’il dans la citation ci-dessus ? Où est passé le 4ème médicament, le Remdesivir ?

[…]

Que nous dit la table 2 mentionnée. Elle nous donne le nombre de personnes qui furent traités avec chaque médicament, combien sont mortes et le pourcentage de mortalité de chaque médicament. Voici ce que dit la table 2 de l’étude :

  • Remdesivir fut administré à 175 patients, 93 sont morts, pourcentage de mortalité des patients traités : 53,1%
  • ZMapp fut administré à 169 patients, 84 sont morts, pourcentage de mortalité des patients traités : 49,7%
  • MAb114 fut administré à 174 patients, 61 sont morts, pourcentage de mortalité des patients traités : 35,1%
  • REGN-EB3 fut administré à 169 patients, 84 sont morts, pourcentage de mortalité des patients traités : 33,5%

De tous les médicaments testés, seul un a causé un taux de mortalité de plus de 50%. Le médicament le plus mortel à l’étude fut le Remdesivir. Comment les auteurs de cette étude ont-ils pu négliger de le mentionner dans leurs résultat publiés, combien de personnes sont mortes après avoir reçu le plus mortel de médicaments des quatre administrés : le Remdesivir.

On ne peut jamais insister suffisamment sur le fait de toujours lire complètement et attentivement toute recherche publiée. Il est très commun pour les auteurs et les maisons de publication de manipuler les chiffres, les points de données et les études statistiques. Quand on ne lit que le résumé de l’étude ou que l’on va directement aux conclusions, il arrive souvent que les lecteurs soient intentionnellement mal dirigés et trompés. Le “corps” réel de l’étude, les joyaux et la vérité, se trouvent typiquement dans le corps même du développement de l’article, comme ce tableau 2 par exemple !

Là, nous découvrons que plus de la moitié des personnes qui furent traitées avec le Remdevisir sont décédées dans cette essai sur le traitement d’Ebola, ce qui m’amène à ma pensée suivante : si les morts durant le traitement au Remdevisir s’élèvent à 53,1%, je me demande combien de personnes non traitées malades d’Ebola, meurent de la maladie. Après recherche, j’ai découvert que le taux de mortalité de la maladie est de 50%

Je ne pouvais pas croire ce que je lisais… Le médicament Remdesivir avait un taux de mortalité plus haut que celui de la maladie Ebola elle-même. Seul médicament aussi qui avait un taux de mortalité plus haut que la maladie traitée dans toute l’étude sur quatre substances. [NdT : l’un d’entre nous, chercheur et féru en statistiques, nous souffle dans l’oreillette de faire attention quand même à ce type de remarque dans la mesure où les chiffres de ces données et calculs statistiques ne peuvent pas être comparés. Il faudrait refaire les calculs et voir s’il y a une “signification statistique” dans cet écart. Il y a beaucoup de paramètres à prendre en compte pour comparer deux études statistiques, au mieux cela donne une idée de peut-être creuser un peu plus l’affaire si nécessaire…]

Ainsi donc l’affirmation du Dr Fauci sur la “sûreté et l’efficacité” du Remdevisir était fausse ! Non seulement la substance ne l’était pas contre Ebola, mais en plus, elle fut prouvée être la plus toxique et mortelle des médicaments testés.

Ceci était suffisamment horrible à lire, mais cela me menait à ma question suivante : qui a financé cette recherche sur Ebola ? Je voulais savoir si le Dr Fauci était le trompé ou le trompeur. La réponse est toujours trouvée dans la section “financement” d’un article de recherche…

Pouvez-vous spéculer sur qui avait fourni les fonds pour cet essai médicamenteux sur Ebola ? Imaginez ma surprise lorsque j’ai découvert que le National Institute of Allergie and Infectious Diseases (NIAID) du NIH avait financé complètement la recherche. Et devinez qui était le directeur du NIAID au moment de cette étude ? Le Dr Anthony Fauci.

Comprenant ainsi que ce mec n’avait pas été mal conseillé au sujet du Remdesivir et que cet essai clinique sur Ebola devenait très personnel. Toute la recherche africaine sur le sujet était sous le contrôle du département de Fauci d’amont en aval.

Et un autre docteur en médecine qui trompe le public ! Cette tromperie ne fut pas laissée dans l’ombre. Elle avait trouvé sa place sur un site du gouvernement américain accessible au public, montrant le taux de mortalité de 53% !

J’ai immédiatement tourné mon attention vers la seconde étude liée au memo de Fauci. Cet essai fut un essai de trois mois de médicament avec seulement le Remdesivir utilisé pour traiter des patients testés positifs par PCR à la COVID-19. Fauci n’allait sûrement pas fausser l’information deux fois en un seul memo, dans deux paragraphes consécutifs… Le ferait-il ? J’allais avoir une réponse à cette question.

J’allais sur le site du NIH pour trouver la seconde étude du même de Fauci. Celle-ci se trouvait aussi sur le site du NEJM. Je découvrais d’abord que le NIH n’avait pas financé cette étude COVID-19/traitement Remdesivir, dieu merci. Mais ce que j’appris ensuite fut bien pire : les fabricants du Remdesivir, le laboratoire Gilead Science (NdT : dont l’ex-ministre de la défense de Bush (fils), Donald Rumsfeld, fut un directeur excécutif, tout cela tourne décidément en circuit fermé…), finança et publia les résultats de cette étude. Ceci était un énorme drapeau rouge. Pourquoi Fauci mettrait-il en hyperlien une étude faite et dirigée par le fabriquant du médicament pour soutenir son raisonnement dans la sélection du Remdesivir comme seul médicament “antiviral” a être utilisé chez les patients hospitalisés ?

Le but d’un fabriquant de médicaments est de générer des revenus en vendant ses concoctions brevetées, patentées aux individus. Les entreprises qui fabriquent des médicaments et visent à faire du profit en les vendant ne devraient jamais être autorisées à financer leurs propres essais cliniques, ni les agences gouvernementales ne devraient prendre des décisions pour leurs citoyens sur la base de recherche et d’essais non indépendants.

Ceci constitue un énorme conflit d’intérêt. Le désir du fabriquant pour un résultat favorable le persuadera pratiquement toujours de céder à la publication de biais et de mensonges. Je ne pouvais pas croire ce que j’étais en train de lire, Gilead, le labo fabriquant et propriétaire du brevet du médicament expérimental Remdesivir, qui fut publié être en décembre 2019, le plus mortel des médicaments traitant du virus Ebola, fut suivi le mois suivant, en janvier 2020, de sa propre expérience et essai clinique sur les victimes de la COVID-19. Si vous avez développé un produit qui, après avoir été testé, fut prouvé avoir contribué à la mort de 53% des participants à l’essai, penseriez-vous que le gouvernement des Etats-Unis vous permettrait de le tester une nouvelle fois ?. C’est exactement ce qu’il s’est passé avec Gilead.

[…]

A la fin de l’étude, devinez quelle organisation a collecté les données, les a analysées, puis eut le plaisir de les résumer et de publier les résultats de cette étude clinique sur le Remdevisir ? Et oui, vous avez trouvé… Gilead soi-même !

[…]

50 personnes de différents pays dans le monde ayant testé positives au test PCR COVID (NdT : et nous savons aussi ce que ces tests valent avec le curseur placé à plus de 30 cycles de reproduction pour la plupart des tests…) furent injectées au Remdesivir pendant 10 jours consécutifs (loin des 28 jours du test Ebola…). Ils publièrent les résultats de leur étude de 3 mois dans le monde pour le Remdevisir sur les humains :

“60% rapportèrent des effets secondaires. Les plus courants furent des dégâts au foie, diarrhée, démangeaisons, difficultés rénales. 23% eurent des effets secondaires graves, allant du mauvais fonctionnement des organes au choc septique en passant par des dégâts rénaux aigüs et une hypotension sévère.

Boum ! Voilà ce que je cherchais depuis que je regardais les conférences de presse en ligne. Près d’un quart des patients traités au Remdesivir avaient fait l’expérience de graves problèmes aigüs rénaux. J’avais trouvé que le protocole hospitalier de traitement des patients COVID-10 était responsable du nombre incroyable d’arrêt soudain de la fonction rénale et de décès dans les hôpitaux de la ville de New York.

Il ne restait plus alors qu’une chose à faire :  partager cette information avec le monde !

Première étape : j’avais besoin d’un agent pour que je puisse paraître sur les chaînes de TV et de radio !

[…]

En novembre 2020, un mois après que la FDA eut approuvé le Remdesivir comme traitement antiviral de la COVID-19, l’OMS publia une déclaration totalement différente au sujet du Remdevisir et de son utilisation chez les patients COVID-19 hospitalisés. NBC News aux Etats-Unis a couvert l’affaire et publié un article intitulé “Le Remdesivir ne devrait pas être utilisé chez les patients hospitalisés pour COVID-19, conseille l’OMS”. Le premier paragraphe de l’article lit comme suit :

Le médicament antiviral Remdesivir ne devrait pas être utilisé chez les patients hospitalisés pour la COVID-19, a dit l’OMS ce jeudi, un mois seulement après que la FDA ait approuvé le médicament pour traiter les patients de plus de 12 ans hospitalisés pour COVID-19…


Le cardiologue de renommée mondiale Peter McCullough
fut un des premiers médecins à dénoncer le remdesivir…

Une déclaration au milieu de l’article de NBC News attira mon attention :

Le Remdesivir a le potentiel d’effets secondaires sur les reins, d’après des données de Gilead partagées avec l’Agence Européenne des Médicaments…

Comment est-ce que la FDA a pu valider l’utilisation du Remdesivir pour la COVID et le mois suivant, l’OMS publie exactement l’opposé des résultats le concernant ? Confusion quand tu nous tiens. Gilead et l’OMS savaient que le Remdesivir menait à de graves problèmes rénaux, à l’encontre des médecins et des médias, qui montraient du doigt un “virus de chauve-souris” supposé.

[…]

Dans l’esprit des professionnels de la médecine dans le monde, si un médicament est approuvé par la FDA, alors il doit être de fait “sûr et efficace”, indépendamment de ce que d’autres organisations puissent dire.

[…]

Ceci devrait être une leçon pour les officiels de la santé, les professionnels de la médecine et le public. Nous devrons faire face à plus de pandémies dans le futur. Si nous ne regardons pas l’histoire, nous sommes voués à la répéter. Si nous ne sommes pas informés sur ce qu’il se passe vraiment et ce qu’il y a dans les seringues d’injections qu’on nous force à prendre, des millions d’entre nous vont continuer à mourir tout à fait inutilement.

Ceci est le “pourquoi ?” De ce livre. J’ai espoir que vous y appreniez tout ce que vous avez besoin de savoir pour vous protéger vous-mêmes et ceux que vous aimez, non pas s’il y a une autre pandémie… mais quand il y en aura une.

Quelques conseils à suivre pour la future crise sanitaire :

  • Ne croyez pas aveuglément les journaux et publications médicales
  • Ne croyez pas aveuglément vos hauts fonctionnaires de la santé publique
  • Ne croyez pas aveuglément les médias ni les docteurs en médecine
  • Faites vos propres recherches en tout domaine

[..]

Chapitre 4 : maladie cardiaque en juste sept jours !

La même semaine d’octobre 2020, lorsque la FDA approuva le Remdesivir comme traitement pour les patients de la COVID-19 hospitalisés, l’agence tint aussi une réunion via la plateforme Zoom. Cette réunion fut publique et a pu être visionnée par quiconque en avait le lien. Je l’ai écoutée.

Cette réunion incluait la présentation de Steve Anderson, Ph.D, MPP, directeur du Bureau de biostatistiques et d’épidémiologie du Center for Biological and Expérimental Research (CBER). Le titre de sa présentation était sur la 1ère diapo de sa présentation powerpoint : “Les plans du CBER pour contrôler la sécurité des vaccins anti-COVID-19 et leur efficacité, 22 octobre 2020”.

[…]

Dans sa présentation, la diapo #16 était intitulée : “Surveillance de sécurité des vaccins COVID-19 de la FDA : une première liste des effets secondaires néfastes possibles en résultat des injections *** SUJET A CHANGEMENT*** “ “

NdT : la liste sur la diapo reproduite dans le livre montre 22 effets secondaires listés —

Le Dr Anderson présenta une diapo montrant une liste de 22 effets secondaires potentiels après injection avec les “vaccins” COVID-19, incluant la mort et les myocardites (inflammation des tissus cardiaques). Quelqu’un s’assure néanmoins que cette diapo ne soit pas là longtemps pour être visionnée. Voici l’adresse web du document de la diapo #16 :

http://www.fda.gov/media/143557/download

Heureusement pour moi, après la fin de la présentation, j’ai téléchargé toute la présentation afin de la sauvegarder.

[…]

Chaque point sur la diapo représente un processus de maladie ou de mort que la FDA savait pouvoir se produire ou qui se produirait pour quiconque recevait ces injections. Qu’est-ce que cela vous fait de savoir qu’une agence régulatrice gouvernementale comme la FDA est responsable de protéger le public et la santé publique en s’assurant de la sécurité et de l’efficacité de notre nourriture et nos médicaments ? Cela ne vous dérange t’il pas de savoir que les patrons de la FDA savaient des mois en avance que si vous, votre conjoint, vos enfants, membres de votre famille, amis… des chauffeurs de bus, pilotes de ligne, enseignants, stars du sport et du cinéma, de la musique, quiconque touchant votre vie de près ou de loin se faisant injecter, pouvaient mourir en résultat ?

Ou que bien des gens pourraient se retrouver handicapés à vie, paralysés par les injections (syndrome de Gillain-Barré), tandis que d’autres personnes feraient des fausses couches ou seraient rendues stériles. D’autres personnes développeraient des myocardites (inflammation du muscle cardiaque ayant un taux de mortalité de 50% dans les cinq ans ou moins suivant le diagnostique…), d’autres encore des AVC, des thromboses, des crises et convulsions diverses. La liste n’en finit quasiment pas. Certaines personnes développeraient la maladie d’Alzheimer ou de Parkinson et d’autres personnes seraient victimes de maladies aigües de la myéline.

[…]

La diapo montre aussi trois différents types de caillots sanguins, que vous ou vos proches pourraient développer après injections (thrombocytopoenia, coagulation intra-vasculaire disséminée et thrombo-embolisme veineux)

[…]

De plus, la FDA savait que la “maladie issue de la vaccination” pourrait possiblement être rapportée en tant qu’effet secondaire néfaste des injections COVID-19 à venir. Savez-vous ce que cela veut dire ? Une maladie issue de la vaccination veut dire qu’après avoir reçu l’injection, une personne pourrait développer la maladie pour laquelle elle est supposée être immunisée, que la personne injectée pourrait donc avoir la COVD-19 et que ce serait pire après l’injection !

Connaissant la liste de ces effets secondaires, demandez-vous ceci : connaissez-vous quelqu’un dans le monde ayant été injecté contre cette COVID-19 et qui savait au préalable le contenu de cette liste ou que cette liste lui ait été fournie avant de se faire injecter ? La prochaine fois que votre docteur vous encourage ou vous menace pour vous faire injecter du nouveau “rappel COVID-19”, donnez à votre toubib une copie de la diapo #16 depuis le lien ci-dessus et pendant qu’il analyse la liste, posez-lui cette question : “Hé doc, vous dites que je devrais me faire injecter du dernier vaccin COVID ? Lequel de ces effets secondaires de la liste que vous avez sous les yeux pensez-vous être le mieux pour moi et ma famille ?

[…]

La publication eut lieu bien avant que la FDA n’autorise les injections en urgence. Elles furent injectées dans les bras des citoyens américains à partir du 14 décembre 2020. Après l’administration de ces “vaccins”, des rapports de blessures et maladies variées, incluant bon nombre de la liste de la diapo #16, commencèrent à rapidement s’accumuler dans le système VAERS de rapport des effets secondaires en ligne. Du monde entier, une véritable avalanche de blessures et de maladies débilitantes et de morts soudaines suivant les injections furent aussi remarquées et inclues dans les systèmes VAERS.

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A notre grand désarroi, nous avons tous vu que ces injections COVID-19 continuèrent à être injectées en masse dans le monde entier et que de plus en plus d’effets secondaires néfastes étaient rapportés.

[…]

Le graphique informatif publié par le CDC montre le groupe d’âge de tous les Américains qui reçurent les premier et seconde injections COVID-19 de Pfizer. Dans ce compte-rendu, il est dit que dans les sept jours après avoir reçu la seconde injection, les adolescents étaient plus susceptibles de développer une condition cardiaque létale appelée myocardite. Les adolescents mâles étaient plus susceptible que femelles ainsi que tout autre groupe d’âge d’être infectés par cette super rare condition cardiaque néfaste dans les sept jours après avoir reçu la seconde injection Pfizer.

La prochaine fois que votre toubib vous informe que votre enfant adolescent a besoin du tout dernier rappel COVID-19, demandez-lui : “Êtes-vous en train de me dire que c’est une bonne chose pour mon gosse d’avoir une myocardite ? Donnez-lui un graphique du CDC et posez-lui la question : que pensez-vous qui soit pire pour mon enfant adolescent : attraper la COVID-19 et tousser pendant quelques jours ou devoir faire face potentiellement à une condition cardiaque extrême pour le reste de ses jours ?

A suivre…

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Lire notre page mise à jour depuis 2019 : « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

« Le véritable Anthony Fauci, Big Pharma, Bill Gates et la guerre globale contre la santé publique et la démocratie », RFK Jr, traduction R71

« SRAS-CoV-2, COVID-19 et injections ARNm, la guerre nano-biotechnologique contre l’humanité depuis 2019 », Karen Kingston, traduction R71

This entry was posted on 10 juin 2025 at 10:29 and is filed under 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, documentaire, guerres hégémoniques, N.O.M, pédagogie libération, résistance politique, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , . You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed. You can leave a response, or trackback from your own site.

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