Information à confirmer, il semblerait que Trump ait refusé la demande de Netanyahu d’engager pleinement les États-Unis dans une guerre contre l’Iran ; Netanyahu, l’homme qui rit de la détresse des gens. C’est à ça que l’on reconnaît un démon, il rit de la détresse.

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Tout prêt de conclure un accord avec les États-Unis sur la question du nucléaire, l’Iran s’est fait sauvagement attaquer par les chiens du Démon à la tête d’Israël, qui ne veulent surtout pas d’un accord. Qui ne veulent que la guerre, pour justifier leur poste. Ces gens-là ne se sentent exister qu’en agressant, qu’en écrasant, qu’en frappant, qu’en tuant… ils ne vivent et ne peuvent respirer que dans la négation de l’harmonie… Plongez-les dans l’harmonie, ils meurent asphyxiés. Telle est leur nature démoniaque, sous une apparence humaine. On ne peut pas vivre ensemble avec eux, ils n’ont de cesse de saboter, de trahir, de détourner et finalement de détruire tout ce que vous aviez tenté de bâtir avec eux en croyant que vous aviez à faire à des humains…

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Depuis des millénaires, on traite des démons à forme humaine comme s’ils étaient humains, mais ils ne le sont pas. Ils ont une apparence humaine mais un esprit démoniaque, bestial, esprit qu’ils diffusent dans la société… Alors que faire… Les mettre hors d’état de nuire ? Exterminer les exterminateurs ? Les enfermer quelque part à perpétuité ?… C’est l’évidence. Mais depuis des millénaires les humains ne voient pas cette évidence, et continuent de les considérer comme des humains. Il ne reste plus que la solution non pas finale mais divine. On pourrait par exemple imaginer une épidémie qui ne touche que ces serpents !… N’oubliez pas que Dieu a beaucoup d’humour.

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Je vais vous raconter l’histoire des démons à forme humaine. L’histoire commence en Hyperborée… la grâce des Hyperboréennes attira des esprits, les Beni Elohim, qui, désobéissant aux ordres divins, descendirent, déchus, vers la Terre… et prirent forme humaine pour s’unir aux gracieuses Hyperboréennes… il en résulta les Nephilim, des géants, démons à formes humaines, dont le premier fut Caïn (oui, le Caïn biblique, le rebelle à Dieu), et Hyperborée périclita jusqu’à sa perte totale… puis Caïn et sa postérité fondèrent Sumer ; l’exploitation et la banque naquirent à Sumer, et l’usure aussi… l’ignominie culmina à Sumer jusqu’au… Déluge !… selon l’exégèse juive, cette postérité y survécut, puis se mêla plus tard, par l’intermédiaire d’Azurad, fille de Nemrod, à l’ancêtre d’Abraham, Eber… Abraham vivait à Sumer, à Ur, avant de s’exiler… la postérité caïnite se mêla aussi aux Hébreux et aux Judéens par l’intermédiaire de Jethro, caïnite (Juges 1, 16), et beau-père de Moïse… Et peu à peu, à l’encontre de Moïse, se constitua la communauté d’« Isra-ël », qui veut dire littéralement « en lutte contre Dieu ». Israël est l’autre nom de Caïn. L’histoire du judaïsme n’est qu’une longue et sanglante tentative de sauver le peuple de Caïn, le peuple d’Israël… Jésus qui disait « n’avoir été envoyé qu’aux brebis égarées de la maison d’Israël » (Matthieu 15, 24), en témoigna.

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Il est certain que pour ceux qui n’ont pas foi en la bonté du Créateur et au Créateur lui-même, il n’y a plus d’espoir actuellement, ils ont l’impression que le ciel de la troisième guerre mondiale leur tombe sur la tête. Pour ceux qui ont la foi, c’est simplement l’heure de l’Apocalypse, l’heure de la vérité dévoilée, leur du jugement, l’heure des masques qui tombent… L’Apocalypse n’est pas un film catastrophe-hollywoodien… L’Apocalypse c’est précisément la destruction du film…

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Le temps n’est pas une bicyclette, il ne tombe pas quand il s’arrête. Quand le temps s’arrête de couler, cela s’appelle l’éternité. Boèce écrivait : « le temps est un maintenant fluide, l’éternité est un maintenant stable ».

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Rien ne peut dé-finir l’être in-fini. À propos des choses divines, il ne faut pas les définir mais les « infinir », moralement…

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La droiture morale n’a pas d’ombre, pas de reflets chatoyants, voilà pourquoi elle n’attire pas les hommes… Pourtant, elle nous apporte sérénité et harmonie, à la source du seul vrai bonheur, que les égarés cherchent dans les reflets…

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Tout compte fait, on ne peut définir que les reflets, en tentant d’y déceler une mécanique.

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La mécanique du néant, la grâce de l’être.

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