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Des chercheurs américains ont identifié des traces biologiques de ce type d’alimentation dont on sait qu’elle est mauvaise pour la santé. Une avancée qui pourrait permettre de mesurer enfin objectivement notre consommation réelle.
On a beau vouloir les éviter, les aliments ultratransformés finissent souvent dans nos placards. Brioches, chips, nouilles instantanées... difficile d’y échapper. « Quand on est dans un rayon de supermarché, par exemple au rayon yaourt, on peut avoir des compositions qui varient du tout au tout en termes d’additifs », rappelle Mathilde Touvier, directrice de l’équipe de recherche en épidémiologie nutritionnelle au sein du Centre de recherche en épidémiologie, à Bobigny. Souvent riches en sucres, graisses, additifs et pauvres en fibres et nutriments, les aliments ultratransformés représentent plus de 30 % des apports caloriques quotidiens en France, et plus de 50 % aux États-Unis. Or plusieurs études épidémiologiques ont établi des liens entre leur consommation et divers problèmes de santé.
Mais les chercheurs se heurtent à une difficulté : comment mesurer avec précision la consommation réelle de ce type d’aliments ? Les études s’appuient d’ordinaire sur des estimations réalisées…