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LA BATAILLE DES IDÉES - Vingt ans après l’embrasement des cités, la gauche continue d’imposer son récit victimaire à géométrie variable oubliant la dimension culturelle de ces émeutes.
Les prénoms de Zyed et Bouna ont été cités dans des centaines d’articles, leur histoire racontée dans des dizaines de reportages, mais aussi dans plusieurs films ou séries. Vingt ans après, les deux adolescents ayant péri électrocutés alors qu’ils fuyaient la police symbolisent toujours les émeutes de 2005. C’est leurs visages que Libération a choisi de mettre en une de son édition du 27 octobre consacrée au vingtième anniversaire de cet événement. Le quotidien titre d’ailleurs, non pas sur « les émeutes de 2005 », mais sur « la révolte de 2005 » : comme s’il s’agissait d’un soulèvement social.
L’islamologue Gilles Kepel a pourtant souligné le rôle joué par l’islamisme dans la propagation des violences. La mort de Zyed et Bouna a bien été l’élément déclencheur, mais ce fut une grenade lacrymogène tirée par la police près d’une mosquée, alors que le ramadan battait son plein, qui assura la propagation du mouvement, au-delà de Clichy-sous-Bois, dans l’ensemble du pays. Ce qui…


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