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Ados accros à la vape : une pilule pourrait multiplier par 3 vos chances d'arrêter, selon la science

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Alors que plus d’un ado sur deux a déjà essayé la cigarette électronique. Une étude américaine révèle qu’une simple pilule pourrait multiplier par 3 les chances d’arrêter la vape.

Alors que plus d'un ado sur deux a déjà essayé la cigarette électroniquecigarette électronique. Une étude américaine révèle qu'une simple pilule pourrait multiplier par 3 les chances d'arrêter la vape.

Selon l'enquête Escapad 2022 de l’OFDT, 56,4 % des jeunes de 17 ans ont expérimenté la cigarette électronique qu'ils perçoivent comme une alternative « moins nocive » au tabac. Une récente étude américaine, publiée en avril 2025 dans la revue JAMA, a démontré que la varénicline, un médicament bien connu pour aider à arrêter de fumer, pourrait aussi être efficace pour se sevrer du vapotage, notamment chez les jeunes.

Un médicament anti-tabac efficace contre la cigarette électronique

L'étude menée par des chercheurs du Massachusetts General Hospital a porté sur 261 jeunes âgés de 16 à 25 ans, qui vapotaient de la nicotine quotidiennement ou presque quotidiennement, ne fumaient pas régulièrement de tabac et souhaitaient réduire ou arrêter la vapoteuse.

Tous les participants ont reçu un soutien de base par SMSSMS via le programme gratuit, « C'est arrêter », mais deux groupes ont également bénéficié de séances hebdomadaires avec un conseiller. Les participants du premier groupe ont reçu un placeboplacebo, ceux du second groupe de la varénicline deux fois par jour.

Après 12 semaines de traitement, 51 % des jeunes ayant pris de la varénicline avaient cessé de vapoter, contre 14 % pour le groupe placebo et seulement 6 % dans le groupe ayant reçu uniquement les SMS. Six mois plus tard, 28 % des participants sous varénicline ne vapotaient toujours pas. Le traitement a été bien toléré, sans effets secondaires graves, et sans retour vers la cigarette classique.

Un effet qui ne se limite pas à une seule étude

Les résultats de cette étude confirment ceux d'une autre recherche parue en 2023 dans la revue BMC Medicine. Réalisée auprès de 140 utilisateurs réguliers de cigarette électronique avec l'envie d'arrêter, elle montrait que 41,4 % des participants sous varénicline avaient ponctuellement cessé de vapoter au bout de quatre semaines, contre 22,9 % dans le groupe placebo.

La varénicline agit directement sur les récepteurs nicotiniques du cerveau. Alors que les substituts classiques tels que les patchs, les gommes ou les pastilles, délivrent de la nicotine de manière contrôlée pour calmer les symptômes de manque, la varénicline réduit l'envie de vapoter en bloquant les effets de satisfaction associés à la consommation. Résultat, la nicotine devient moins agréable et l'addiction plus facile à surmonter.

Alors que le vapotage progresse chez les jeunes et que les risques à long terme restent encore mal connus, ces travaux offrent une piste sérieuse pour renforcer la préventionprévention et le sevrage. Reste désormais à élargir les recherches à d'autres profils, notamment ceux qui vapotent et fument, pour confirmer l'intérêt de ce traitement sur le long terme.

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