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MAGAZINE. Niché en plein cœur de la majestueuse forêt Drummond, en bordure de la rivière Saint-François, le parcours d’hébertisme aérien d’Extéria propose une panoplie d’ateliers suspendus aux niveaux de difficulté variés.
Activités dans les arbres, tyroliennes, ponts de singe, sauts de Tarzan… le terrain d’aventures promet une tonne de plaisir et de sensations fortes!
Que ce soit pour relever un défi, trouver sa dose d’adrénaline, découvrir la nature autrement ou tout simplement sortir de sa zone de confort, Extéria est l’endroit tout indiqué pour se rassembler en famille, entre amis ou entre collègues. Les groupes scolaires sont les bienvenus, tout comme les groupes corporatifs en quête d’une activité de consolidation d’équipe.
«Il y a des gens qui ont peur des hauteurs, qui viennent ici pour relever des défis et qui sont super fiers d’eux après, raconte Érika Gendron, conseillère en communication chez Extéria. D’autres vont finalement se rendre compte que ce n’est pas pour eux. On vient dépasser nos limites!»

S’adressant aux personnes de 12 ans et plus, le parcours de la Grande Aventure est divisé en cinq segments aux niveaux de difficulté variés (vert, bleu, rouge, noir et orange). D’une durée de trois heures et demie, cette activité se conclut par le populaire parcours orange, qui compte pas moins de sept tyroliennes.
Cet été, deux nouveaux jeux sont proposés aux grands aventuriers : l’un dans le parcours noir, l’autre dans la section bleue.
«Le premier est super cool : c’est un pont qu’on va venir construire nous-mêmes au fur et à mesure qu’on y avance, explique Érika Gendron. C’est très intéressant : on n’a jamais eu un jeu de ce type-là dans le parc. C’est vraiment une belle nouveauté.»
«Pour ce qui est du deuxième jeu, c’est le retour des anneaux qu’on avait avant, enchaîne la passionnée de plein air. C’est un mélange de cordes et d’anneaux. Ça ajoute un niveau de difficulté supérieur. Le parcours devient un peu plus difficile, mais un peu plus le fun aussi. Il y a plus d’adrénaline!»
Destinée aux enfants de 7 à 12 ans, la Petite Aventure est quant à elle composée d’une vingtaine de stations de jeux avec deux tyroliennes spécialement conçues pour cette clientèle. D’une durée de deux heures, l’activité nécessite la supervision d’un adulte.
«Les parents peuvent rester au sol ou accompagner les enfants dans le parcours. C’est vraiment pour initier les jeunes à l’hébertisme aérien», souligne Érika Gendron.

Par ailleurs, Extéria propose quatre soirées nocturnes dans les arbres pour les personnes âgées de 16 ans et plus. Armés d’une lampe frontale et de leur courage, les participants sont invités à tester leurs limites sous les étoiles. Une réservation est nécessaire pour participer à cette activité.
Dans le but de rehausser l’expérience nocturne, l’équipe d’Extéria compte organiser une activité de géocache qu’il sera possible de réaliser à vélo de type «fatbike».
«Les caches devraient ensuite rester là, indique Olivier Cloutier, directeur des opérations chez Extéria. Pendant l’été, ça devrait donc être possible de venir soit à pied, soit à vélo pour chercher les caches. Les gens vont pouvoir faire l’hébertisme le matin et enchaîner avec cette activité par la suite.»
«On trouvait dommage que notre flotte de vélos ne serve que pendant quelques semaines pendant l’hiver, poursuit-il. Avec ces nouveautés-là, on veut créer une aventure encore plus longue, pour que les gens passent la journée avec nous. On a quelques projets sur la table.»

Pour encadrer ces activités de façon sécuritaire, la dynamique équipe d’Extéria compte sur une brigade de patrouilleurs formés pour aider les participants en cas de besoin.
«Ce n’est pas n’importe qui qui devient patrouilleur, précise Olivier Cloutier. Notre équipe est certifiée à chaque année : chaque patrouilleur suit des formations pour être à jour. C’est aussi pour cette raison qu’on a un parcours de démonstration.»
Chaque année, des gens d’un peu partout au Québec convergent vers le secteur de Saint-Joachim pour vivre l’expérience d’Extéria. Attirant 12 000 personnes en moyenne par été, le parc ambitionne de battre son record de 15 000 entrées établi il y a quelques années.
«Avec tout ce qui se passe aux États-Unis en ce moment, on a un super beau momentum. Les gens veulent rester au Québec pour faire des activités locales. Un peu comme pendant la pandémie, quand les gens ont découvert l’hébertisme aérien, on espère aller chercher une nouvelle clientèle cet été», conclut Olivier Cloutier.