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Virus synthétiques : des armes biologiques cachées par le Pentagone

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Les virus synthétiques recombinants, tout comme le SARS-Cov-2 avec des séquences du VIH, sont l’une des armes bactériologiques cachées étudiées par le Pentagone (ministère américain de la Défense).

C’est ce que confirme un rapport exclusif de l’US Air Force, découvert par notre consultant informatique, ainsi que l’histoire du Jason Group (tous les liens entre les sources).

Le groupe Jason, en raison de son potentiel dévastateur dans le domaine épidémiologique, peut être considéré dans le secteur des armes biologiques comme l’équivalent du projet Manhattan pour la construction de bombes atomiques.

Il a travaillé précisément sur certaines recherches sur les virus synthétiques, ceux que les chercheurs chinois de l’Institut de virologie de Wuhan ont appelés les « SRAS chimériques » parce qu’ils ont été construits en laboratoire.

Mais contrairement aux expériences extrêmement dangereuses sur les coronavirus menées en Chine grâce au financement de la Commission européenne (depuis 2004) et aux projets Predict de l’administration Obama-Biden (après 2009) sous la direction du virologue Anthony Fauci, publiés dans les plus importantes revues scientifiques, les études sur les virus synthétiques menées par le Pentagone restent CLASSIFIÉES, c’est-à-dire couvertes par le secret d’État par les services de renseignement nationaux.

Parmi celles-ci, cependant, au moins une sur le virus du SRAS manipulé artificiellement a été rendue publique par le microbiologiste habituel Ralph Baric qui, avec Fauci, a tenté de cacher l’origine en laboratoire du SRAS-Cov-2, ce que le contre-espionnage américain de la CIA (Central Intelligence Agency) a également admis. Elle remonte à 2015, soit 2 ans avant que le scientifique lui-même ne publie la « recette » pour construire en laboratoire un coronavirus dangereusement amélioré.

Ces trois documents, disponibles sur des sites officiels dont les liens sont difficiles à trouver sur le web sans une grande habileté d’investigation, constituent une preuve supplémentaire du rôle macroscopique joué par les États-Unis (avec la Chine, le Canada, le Royaume-Uni et l’Union européenne) dans la construction de différents génotypes de l’agent pathogène Covid-19, à létalité variable, pour soutenir le terrifiant plan mondial de vaccination de Bill Gates, mégadonateur du Parti démocrate américain et déjà récompensé par l’ancien président Barack Obama…

Le rapport de l’US Air Force sur les armes biologiques binaires

Cette phrase extraite d’un document exclusif de l’USAF (US Air Force) datant de 2010 explique clairement le danger des virus chimériques recombinants tels que le SRAS infecté par un plasmide VIH à l’Institut de virologie de Wuhan grâce au financement de la Commission européenne en 2004 et aux contributions ultérieures des projets PREDICT sur les coronavirus garanties par l’administration Obama-Biden dans une intrigue internationale qui s’étend jusqu’aux laboratoires bactériologiques supervisés par la CIA en Géorgie et en Ukraine, ouverts par le Pentagone en 2012 à l’initiative de l’ancien directeur de la CIA Leon Panetta devenu secrétaire à la Défense.

Comme on le sait, ce sont des biologistes indiens qui ont été les premiers à remarquer la présence anormale de séquences du virus du sida dans le SARS-Cov-2, ce qui a incité le regretté biologiste Luc Montagnier (avec son collaborateur Jean-Claude Perez, que nous avons interviewé en exclusivité) à confirmer l’origine artificielle de l’agent pathogène de la maladie Covid-19, tout comme le bio-ingénieur Pierre Bricage, ancien consultant de l’OTAN sur les armes biologiques.

Le document de l’USAF mentionne le tristement célèbre groupe JASON, qui mène depuis 1960 des études pour créer des MALADIES CONÇUES, en utilisant également la GÉNÉTHÉRAPIE COMME ARME : tout comme le seraient les sérums génétiques Covid selon l’expert américain en armes biologiques Francus Boyle (décédé il y a quelques jours).

Le groupe JASON a intensifié ses activités de recherche (encore classifiées à ce jour) sur les virus synthétiques et les menaces virales émergentes en 2005, comme l’indique l’article scientifique « Moving Beyond Dual Use Research of Concern Regulation to an Integrated Responsible Research Environment » publié par le département de biologie de l’université de Stanford et le département de génétique de la faculté de médecine de l’université de Stanford (Californie).

Rappelons que Big Pharma Moderna, financée par le NIAID de Gates Fauci et le Pentagone, a breveté son vaccin Covid 8 mois avant l’épidémie de Covid, non seulement grâce aux expériences de Baric (Université de Caroline du Nord), mais aussi grâce à un brevet de l’Université de Stanford (nom complet Leland Stanford Junior University) sur les nanotubes d’oxyde de graphène insérés dans des sérums génétiques.

Conséquences catastrophiques des nouveaux agents pathogènes génétiquement modifiés

Mais revenons au document de l’USAF de 2010 qui représente la version mise à jour d’un rapport précédent de 2002 intitulé « NEXT GENERATION BIOWEAPONS – The Technology of Engineering applied to Biowarfare and Bioterrorism ».

«Les tendances en matière de développement dans les sciences biologiques indiquent qu’il existe une multitude de possibilités concernant l’étude des micro-organismes et son applicabilité dans la création du prochain agent de guerre biologique.

Les événements historiques et récents montrent l’effet potentiellement dévastateur de l’utilisation d’agents de guerre biologique et la terreur qu’ils provoquent au sein de la population.

Plus alarmant encore, les progrès technologiques dans le domaine des sciences biologiques transformeront les agents de guerre biologique en une nouvelle classification d’agents pathogènes génétiquement modifiés ayant des conséquences catastrophiques ».

C’est ce qu’écrit le lieutenant-colonel Joel O. Almosara, directeur adjoint du Centre de lutte contre la prolifération nucléaire de l’US Air Force, dans le document de 2010 intitulé Biotechnology: Genetically Engineered Pathogens.

« La biotechnologie a déjà transformé les applications scientifiques dans les domaines de la médecine, de l’agriculture et d’autres secteurs industriels biologiques.

Le terme est défini comme la « fusion de la biologie et de la technologie… elle implique l’utilisation de l’ADN recombinant (acide désoxyribonucléique) industriel, la fusion cellulaire et de nouvelles techniques de biotransformation », telles que le séquençage du génome humain.

« Le séquençage du génome humain a été envisagé pour la première fois au milieu des années 80.

En 1988, le ministère de l’Énergie et l’Institut national de la santé ont financé un projet sur le génome humain (Human Genome Project, HGP), un projet de 15 ans dont l’achèvement était prévu pour 2005.

Grâce aux progrès technologiques rapides et à la participation internationale, le projet a été achevé en 2003 ».

Rappelons que dès 1998, le président américain Bill Clinton avait stipulé une collaboration militaire sur les armes bactériologiques avec le président chinois de l’époque, Jiang Zemin, surnommé « le bourreau de Tiananmen » pour la répression sanglante des manifestations étudiantes de 1989 en Chine.

Alors qu’en 2003 le premier virus du SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) est apparu, qui, selon l’expert américain en brevets David Martin et l’ancien commandant des troupes de protection nucléaire, chimique et bactériologique de l’armée russe, le général Igor Kirillov, tué lors d’une récente attaque à Moscou, a été construit dans le cadre des projets de Baric avec le Pentagone. S’agit-il de simples coïncidences ?

~ Fabio G.C. Carisio


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