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Un des meurtriers d’Isabelle Bolduc restera en prison

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La Commission des libérations conditionnelles du Canada refuse d'accorder à Jean-Paul Bainbridge une semi-liberté et une libération conditionnelle totale.

Le meurtrier d'Isabelle Bolduc, qui a enlevé, séquestré, violé et tué cette Sherbrookoise en 1996, représente un risque inacceptable pour la société, selon la décision rendue lundi par la Commission.

Les risques énumérés dans la décision sont d'ailleurs nombreux et font état d'un parcours en dents de scie.

Dans une récente évaluation psychologique du risque, qui a eu lieu en février 2025, un psychologue indique la présence d'un trouble de personnalité antisociale. Jean-Paul Bainbridge se situe également parmi les 5 % de détenus avec le risque de récidive violente le plus élevé.

Au cours des dernières années, la Commission a également dit constater que cet homme dans la cinquantaine a encore des problèmes de consommation.

Pas le premier refus

Ce n'est pas la première fois que Jean-Paul Bainbridge bute sur un refus de la Commission des libérations conditionnelles. En 2018, une permission de sortie avec escorte lui avait été refusée pour une deuxième fois. À la suite de ce refus, il avait visionné de la pornographie contenant des rapports sexuels incestueux, avec des adolescentes et avec recours à la force.

Il est particulièrement inquiétant que même dans un milieu contrôlé et surveillé, vous faites usage de contenu sexuel violent et déviant.

Bainbridge, un Autochtone, est incarcéré depuis 1996. Au moment des crimes, il se trouvait en compagnie de deux complices, Marcel Blanchette et Guy Labonté.

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