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Sherbrooke évoque l’idée d’une taxe spéciale pour investir 375 M $ pour les eaux usées

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Un groupe de travail composé d’élus a présenté un rapport au comité plénier public, mercredi, afin de poursuivre la réflexion sur des solutions envisagées au déficit d’entretien des infrastructures de traitement des eaux usées. L’implantation d’une taxe spéciale et d’une modulation des tarifs est envisagée.

La directrice des finances à la Ville de Sherbrooke, Nathalie Lapierre, a expliqué que les investissements pour les infrastructures d’eaux usées sont aujourd’hui estimés à 375 M $. Il s’agit de travaux pour la collecte des eaux, le pompage et le traitement aux usines d’épuration.

On a tout un défi qui est devant nous. On se parle des eaux usées, mais il y a d’autres infrastructures qui ont besoin d’amour.

L’une des membres du groupe du travail, Hélène Dauphinais, a lancé un appel à la priorisation de cet enjeu. La conclusion qui saute au jeu est qu’il est urgent qu’on se préoccupe de ce dossier-là , a-t-elle mentionné.

Une taxe spéciale envisagée

Le groupe de travail composé notamment de Catherine Boileau, Évelyne Beaudin et Paul Gingues a étudié la possibilité de proposer la mise en place d’une taxe spéciale pour financer les investissements.

Il est toutefois plus probable, selon Nathalie Lapierre, que plusieurs mesures soient implantées plutôt qu’une seule, puisque la taxe spéciale pourrait avoir un impact majeur sur le compte de taxes. Celui-ci pourrait être augmenté de 355 $ en 2026. Ce n’est pas une solution, mais plusieurs solutions qui devront être mises de l’avant pour affronter ce défi.

Une tarification basée sur la consommation réelle pourrait aussi être envisagée, ce qui ferait en sorte que le secteur industriel et commercial paierait davantage. Le résidentiel paie trop actuellement, versus le commercial et l’industriel , constate Nathalie Lapierre. L’appropriation de surplus de la Ville est aussi envisagée, ce qui permettrait d’utiliser 25,2 M $ en 2028.

D’autres sources à explorer

Le groupe a aussi amorcé des discussions sur la possibilité d’établir une redevance et aussi de conclure un partenariat public-privé. Est-ce que le rendement du privé va compenser pour les coûts de construction? C’est à voir , a souligné Mme Lapierre.

Un tarif modulé en fonction des contaminants rejetés par les entreprises pourrait aussi être implanté. Certaines substances coûtent plus cher que d’autres. Ça nous permet de nous rapprocher d’un concept de pollueur-payeur , indique Mme Lapierre.

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