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Si Emmanuel Macron avait un temps souhaité un «débat», ses troupes font désormais barrage à la proposition de loi du groupe Liot en évoquant, par le biais de l'article 40, l'irrecevabilité financière de la réforme.
C'est la dernière carte à jouer pour les oppositions. La proposition de loi du groupe Liot (Libertés, Indépendants, Outre-mer et Territoires), qui vise à annuler une partie de la réforme des retraites, doit être examinée en commission à partir du 31 mai, puis soumis le 8 juin en séance publique. Même si l'initiative a peu de chances d'aboutir à une abrogation réelle, le scénario d'un vote positif dans l'hémicycle donne des sueurs froides au camp présidentiel. Retour en cinq dates sur ces revirements stratégiques de la majorité.
- 20 avril : le texte déposé et jugé «recevable»
Ils ont gardé la surprise jusqu'au bout. Profitant de sa journée de niche parlementaire, le groupe Liot annonce déposer une proposition de loi visant à revenir l'âge légal de départ à la retraite à 62 ans, et non 64 ans. «La promulgation de la loi n'entraîne ni sa validation politique ni son acceptation sociale. Nous considérons que nous n'avons pu aller au bout du ''cheminement démocratique''» , justifient les 17 députés signataires. Lors de son dépôt, le texte d'abrogation…