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LA VÉRIFICATION - Les parlementaires de gauche ont dénoncé «un déni de démocratie», après le détricotage de la proposition de loi du groupe Liot, mercredi, en commission.
Y a-t-il eu un «déni de démocratie» ? C'est ce qu'ont martelé les députés de la Nupes, au lendemain de l'adoption de la proposition de loi du groupe central Liot, qui visait à abroger la retraite à 64 ans. Le texte a été vidé de sa substance par la majorité, épaulée par la droite, qui est parvenue à faire adopter un «amendement de suppression» de l'article 1. Pour répliquer, les élus de gauche, et particulièrement de La France insoumise, ont tenté d'empêcher le vote du texte à coups de milliers de sous-amendements. Une «obstruction parlementaire flagrante» aux yeux de la présidente de la commission des Affaires sociales, Fadila Khattabi (Renaissance), qui a décidé par conséquent ne pas les «examiner». Et de balayer d'un revers de main «le droit élémentaire (d'amendement) du mandat de député», selon le socialiste Arthur Delaporte. Les droits de l'opposition ont-ils été bafoués par la majorité, comme l'affirme la gauche ?
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Les versions divergent. En annulant «unilatéralement» les sous-amendements…