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LES TABOUS DE LA SANTÉ - Mauvaises odeurs, douleurs mal placées, gênes intimes... Petits ou gros, certains de nos maux peinent à se dire au médecin. Pourtant, ils peuvent être soulagés, ou mériter de plus amples explorations.
« C’est l’une des rares zones anatomiques que les patientes n’appellent pas par son vrai nom quand elles consultent », remarque Camille Tallet, sage-femme à Lyon. « En bas », « zézette », « foufoune »... Quand il s’agit d’évoquer la vulve, les mots des femmes se font soudainement vagues ou enfantins. Une partie du corps dont on n’ose pas prononcer le nom, même quand elle fait mal : nul besoin d’une longue analyse pour y voir l’ampleur du tabou qui règne sur le sexe féminin et sa santé. La vulve a pourtant non seulement un nom, mais aussi toute légitimité à être mentionnée dans un cabinet médical. Car les risques sont grands, au cours de la vie d’une femme, d’être atteinte à un moment ou à un autre par l’une des nombreuses pathologies vulvaires existantes, dont l’impact sur l’organisme va de l’inconfort à la franche douleur, voire au handicap quand elle empêche la patiente de s’asseoir (et donc souvent d’aller travailler) ou d’avoir des relations sexuelles.
Interroger les femmes
Consciente…