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Les Sociétés Secrètes et leur pouvoir – Jan van Helsing

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De nombreuses sociétés secrètes, écoles de mystères, confréries, ou encore fraternités se sont succédées au fil du temps – s’inspirant les unes des autres, et puisant dans les différents enseignements « la substance » pour accéder à leur propre élévation, illumination…  Les membres de ces groupes isolés – en quête de savoir, de pouvoir, ou d’immortalité – s’engageaient alors par un serment solennel, à garder le silence sur les rites et les symboles utilisés lors de leur initiation. Mais, force est de constater que des voiles sombres et illusoires (placés intentionnellement ou non) nous empêchent encore de voir cette Lumière qui – malgré les désirs égotiques et les instincts primitifs – est bel et bien présente.

Un fil conducteur à travers l’enchevêtrement des loges, de la haute finance et de la politique. Commission trilatérale, groupe Bilderberg, CFR, ONU…

Le titre vous surprend ? S’agit-il d’une subtile stratégie de marketing pour susciter la curiosité ? Pas vraiment. Apprenez que deux livres de Jan van Helsing ont été interdits, pour cause de contenu explosif. Il n’y a pas une semaine qui passe sans que les médias allemands mettent les gens en garde contre les idées de l’auteur « le plus dangereux d’Allemagne ». Dangereux pourquoi ? Si les secrets éhontés de nos gouvernements ne vous troublent pas, si la richesse tant intérieure qu’extérieure vous est étrangère, si votre santé est si peu importante qu’elle peut être mise entre des mains inconnues et peu fiables, si vous êtes convaincu que le succès n’arrive qu’aux autres, alors suivez mon conseil, et ne touchez pas à ce livre !

Jan van Helsing s’en prend à nouveau à la vision du monde, la vôtre ! Cet ouvrage est donc un sérieux avertissement. Après l’avoir lu, votre perception du monde ne sera plus jamais la même. Vous croyez qu’en tant qu’individu, vous n’avez pas voix au chapitre et que vous n’avez aucun pouvoir ? La lecture de ce livre va transformer votre vision ! Par contre, si vous avez la conviction que la planète flotte à la dérive, que les agissements des hautes instances de ce monde « éclairé » ne rencontrent pas vos idéaux, vous tenez le livre qu’il vous faut ! Soyez d’ores et déjà averti, ce ne sera pas de tout repos !

Jan van Helsing décode des événements et approfondit des théories qui vous soutiendront dans la maîtrise de votre existence en toute connaissance de cause. Désormais, vous saurez que celui qui tient le pouvoir et la puissance de sa vie porte une grande responsabilité de partage. À vous de choisir !

Les personnes dont il est question dans ce livre n’appartiennent à aucune nation. Elles ne sont ni de gauche, ni de droite, ni libérales, mais utilisent toutes les institutions pour poursuivre leurs buts. Ces personnes se servent des chrétiens comme des juifs, des fascistes comme des communistes, des sionistes comme des islamistes, des athées comme des orthodoxes, des pauvres comme des riches… Ces personnes se servent de tout sans véritable limite ! Ils n’apparaissent directement ; ni à la télévision, ni dans d’autres systèmes médiatiques puisqu’ils possèdent et contrôlent ces mêmes systèmes. La plus grande partie du peuple ne connaît même pas leurs noms et les auteurs qui ont mis à nu leurs machinations ne sont pas devenus célèbres, bien qu’ils eussent mérité un prix Nobel.

Des Sociétés Secrètes internationales leur servent d’instrument puissant pour la discorde entre les Hommes, nous les étudierons de très près dans cet ouvrage. Résumons brièvement ce système de domination international :

1. On provoque des conflits qui font que les Hommes se battent entre eux et non contre ceux qui sont à l’origine de la dissension.

2. On ne se montre pas comme le véritable instigateur.

3. On soutient tous les partis en conflit.

4. On passe pour une « instance bienveillante » qui pourrait mettre fin au conflit. Se défendre serait louable, mais comment sept milliards d’êtres humains peuvent-ils se défendre contre quelque chose dont ils ne connaissent même pas l’existence…? Je conseille à tous les esprits superficiels et à ceux qui sont pleinement satisfaits du monde actuel ; de reposer ce livre. Quant aux autres, si ils ont la capacité de se remettre en question, il est possible que ce livre change profondément leur conception. Ce livre est un appel à chaque esprit critique ; à devenir un citoyen émancipé. « Trouvez la vérité, et la vérité vous affranchira !  » Jean 8:32.

F.D. Roosevelt : « Rien de ce qui touche à la politique ne relève du hasard! Soyons sûrs que tout ce qui se passe en politique a été bel et bien programmé!« 

Croyez-vous vraiment savoir ce qui ce se passe sur notre planète ? Beaucoup d’auteurs ont déjà affirmé que seuls quelques puissants personnages exercent un contrôle absolu sur tous les événements mondiaux. Jan van Helsing nous confronte à cette affirmation; il nous montre l’enchevêtrement des loges et de l’occultisme avec la haute finance et la politique. Il nous fait grâce, cependant, d’en faire retomber la faute, comme c’est souvent le cas, sur les Francs-Maçons, les sionistes ou Satan. Il va aussitôt au cœur du problème. Il s’exprime sans ambages, comme les jeunes de son époque, qui ne craignent point d’affronter les systèmes criminels basés sur le contrôle, la puissance et la manipulation.

Ce livre n’est pas seulement le résultat d’années de recherche et de compilations de lectures, il est étayé aussi de rapports d’ex-agents secrets de différents pays. L’auteur ne se contente pas de dévoiler les dessous de la politique, il nous apprend qu’on nous cache l’existence d’une technologie qui pourrait très vite sortir l’humanité de l’état pitoyable – et voulu – où elle se trouve. Une nouvelle façon de considérer le monde où nous vivons! Ce livre va ébranler le lecteur et va l’inciter à aller de l’avant!

Chapitres :

Il y a tant de loges

Les Sages de Sion

La Franc-Maçonnerie en Angleterre

La famille Rothschild

Les protocoles des Sages de Sion

La « Stricte Observance »

Les Illuminés de Bavière d’Adam Weishaupt

La bataille de Waterloo

Les Francs-Maçons en Amérique

Karl Marx

Un plan pour un gouvernement mondial

Albert Pike & les chevalier du « Ku Klux Klan »

Le trafic d’opium de la famille royale anglaise au 18ème siècle

La révolution bolchévique et ses dessous

Skulls & Bones

Fini la liberté en Amérique

Le syndic de saisi Rothschild

Cecil Rhodes et ses chevaliers de la Table Ronde (The Round Table)

Comment mettre en scène une guerre mondiale ?

L’ Ochrana (ex-service secret russe)

La déclaration Balfour

Les américains aussi « veulent » participer à la guerre

Le ministère Rockfeller pour les affaires étrangères (CFR)

Les préparatifs pour la deuxième guerre mondiale

Adolf Hitler offre ses services

Adolf Schicklgruber et la société Thulé

La Société Vril

La Deuxième guerre mondiale

Que se passait-il en Amérique pendant ce temps-là ?

L’ Allemagne veut capituler

L’ aide aux soviétiques pendant la guerre

Les protocoles doivent se réaliser

Qu’a rapporté la deuxième guerre mondiale ?

Qu’advint-il du service secret nazi de la gestapo ?

La fondation de l’État d’Israël

Le CFR se consolide

L’ attentat contre Kennedy

Les chevaliers de Jérusalem

Et le Vatican ?

Le Fond Monétaire International (FMI)

Le contrôle de l’information

Comment mener une guerre biologique et psychologique

Une arme : l’Énergie

La CIA et le Shah d’Iran

Saddam Hussein et « Desert Storm »

Que réserve l’avenir pour le Proche-Orient assailli de conflits ?

La réunification de l’Allemagne (pour sa perte)

Qu’en est-il des Serbes ?

La situation actuelle

Aperçu des principales organisations connues des Illuminati

6 6 6

Le Bohémian Club

Résumé

Que pouvons nous faire ?

Revenons aux Illuminati

Des préceptes à suivre

Au chercheur

Appendice

Le contrôle de la population

Autre ouvrage du même auteur :

Ce titre vous surprend ? S’agit-il d’une subtile stratégie de marketing pour susciter la curiosité ? Pas vraiment. Apprenez que deux livres de Jan van Helsing ont été interdits, pour cause de contenu explosif. Il n’y a pas une semaine qui passe sans que les médias allemands mettent les gens en garde contre les idées de l’auteur « le plus dangereux d’Allemagne ». Dangereux pourquoi ? Si les secrets éhontés de nos gouvernements ne vous troublent pas, si la richesse tant intérieure qu’extérieure vous est étrangère, si votre santé est si peu importante qu’elle peut être mise entre des mains inconnues et peu fiables, si vous êtes convaincu que le succès n’arrive qu’aux autres, alors suivez mon conseil, et ne touchez pas à ce livre ! Jan van Helsing s’en prend à nouveau à la vision du monde, la vôtre !

Cet ouvrage est donc un sérieux avertissement. Après l’avoir lu, votre perception du monde ne sera plus jamais la même. Vous ne pourrez plus poursuivre tranquillement votre vie comme auparavant. Vous ne pourrez plus dire : « Personne ne m’avait informé, où aurais-je pu puiser ces informations ? » Vous croyez qu’en tant qu’individu, vous n’avez pas voix au chapitre et que vous n’avez aucun pouvoir ? La lecture de ce livre va transformer votre vision ! Par contre, si vous avez la conviction que la planète flotte à la dérive, que les agissements des hautes instances de ce monde « éclairé » ne rencontrent pas vos idéaux, vous tenez le livre qu’il vous faut ! Soyez d’ores et déjà averti, ce ne sera pas de tout repos ! Jan van Helsing décode des événements et approfondit des théories qui vous soutiendront dans la maîtrise de votre existence en toute connaissance de cause. Désormais, vous saurez que celui qui tient le pouvoir et la puissance de sa vie porte une grande responsabilité de partage. À vous de choisir ! Maintenant ou jamais !


La Franc-maçonnerie est une des plus vieilles organisations existant encore de nos jours. Des rouleaux de papyrus, trouvés en 1888 lors de fouilles dans le désert de Libye, décrivent des rencontres secrètes de corporations semblables 2000 av. J.-C. Les corporations avaient déjà participé à la construction du Temple de Salomon et leur fonction était à peu près celle des syndicats d’aujourd’hui, mais elles étaient alors déjà garantes de la tradition mystique. On dit que le but de la franc-maçonnerie est la transformation intérieure de l’homme grâce à un travail spirituel qui vise à la perfection, dans le respect de Dieu. Les francs-maçons appartiennent à diverses religions d’où le nom qu’ils donnent à leur Dieu de ‘‘Grand architecte de l’univers‘‘.

Nous trouvons d’autres renseignements dans le Livre des morts des Égyptiens et grâce au dieu Tôth qui fut jadis leur grand maître. Grand maître, tel est le titre usuel pour les grands dirigeants. La connaissance spirituelle des francs-maçons fut traduite par des symboles, des allégories et des rituels, qui servaient aussi à la communication (le langage secret est représenté par des symboles, tels que la poignée de main des francs-maçons, la pyramide, le pentagramme, l’utilisation des chiffres 3, 7, 13 et 33 qu’on trouve dans leurs armoiries, dans les emblèmes et aujourd’hui dans des sigles de firmes et dans des noms propres).

Le symbole le plus important dans beaucoup d’organisations, y compris dans la franc-maçonnerie, est le tablier, qui, au début, était très simple et sans ornement, a été troqué par le clergé de Melchisedech vers l’an 2200 av. J.-C. pour une peau d’agneau blanche qui est utilisée, aujourd’hui encore. Dans l’ancienne Égypte, les dieux qui, selon de vieilles traditions, volaient dans des ‘‘barques divines‘‘ (Ovnis) étaient représentés avec le tablier sur les fresques des temples. Les prêtres portèrent aussi, plus tard, le tablier, symbole de leur dévouement envers ces ‘‘dieux volants‘‘ et symbole aussi de l’autorité face au peuple puisqu’ils étaient les représentants des dieux. Déjà en 3400 av.-J.-C., les membres de la ‘‘Fraternité du Serpent‘‘ portaient le tablier en signe de leur soumission aux dieux qui descendaient des cieux sur des ‘‘roues volantes‘‘. Il est peu probable que dans les grades inférieurs des loges, on connaisse, aujourd’hui, la symbolique du tablier.

L’ esprit de l’ordre des Templiers fut détourné de même que celui des enseignements de Jésus lorsqu’on attribua au christianisme le prétendu ‘‘Ancien Testament‘‘ dont il combattait les lois. Dans les deux cas, l’essentiel a été faussé. Ces derniers temps et ces dernières années ont vu émerger, comme on le sait, différents ‘‘néo-pseudo ordres des Templiers‘‘. Parmi eux se trouvent sûrement des hommes de bonne volonté mais aussi des charlatans et des serviteurs précisément de cet esprit que les anciens templiers combattaient. Faire un amalgame du nom et de l’esprit des templiers avec des composantes franc-maçonniques est vraiment grotesque. Et pourtant ce fut le cas (cf. le grade de templier dans le rite d’York anc-maçonnique).

Deux hommes profondément croyants ont fondé l’ordre des Templiers : Hugues de Payns et Geoffroy de Saint-Omer, un Franc et un Normand. Un petit cercle d’amis se forma autour d’eux, animé par une grande foi propre au Moyen-Âge et que l’homme actuel peut à peine imaginer. Ce petit cercle décida, à Noël de l’an 1117, à Jérusalem, de former un petit groupe pour protéger les pèlerins. Leur seul souhait était d’être au service du Seigneur Jésus-Christ et de leur foi. Ce groupe comptant désormais neuf chevaliers se retrouvait pratiquement seul, sans protection ni moyens financiers.

Le groupe se présenta, au printemps 1117, au roi Baudouin Ier de Jérusalem et au patriarche. On les loua pour leurs intentions. Peu après, les chevaliers, dont le logis s’était trouvé, jusque là, à la ‘‘maison allemande‘‘, hôpital dirigé par des Allemands, obtinrent la permission de s’installer sur l’emplacement de l’ancien Temple. De ce fait, on les appela les Templiers. Néanmoins, eux-mêmes se considéraient toujours comme les ‘‘Frères du vrai Temple du Christ‘‘, ce qui voulait dire le ‘‘temple intérieur de l’âme‘‘.

L’histoire des Templiers serait sans aucun doute, passée tout à fait inaperçue s’il n’y avait eu, dans les ruines du Temple, une découverte remarquable, dont les chevaliers ne surent trop que faire au début : Il s’agissait de lambeaux de fragments d’écrits hébraïques dont le contenu devint très vite d’une importance décisive pour les chevaliers et pour toute l’histoire de l’ordre. Ces fragments furent remis à l’érudit Etienne Harding qui en a fait la traduction. Ce fut le point de départ de tout ce qui devait suivre. En effet, les lambeaux d’écrits se trouvèrent être les fragments de rapports ‘‘d’eschaimins‘‘ juifs (espions) qui, mandatés par le clergé, relatèrent les agissements du ‘‘maudit Mamzer ( ls de putain) Jésus‘‘ et ‘‘ses blasphèmes contre le Dieu d’Israël‘‘. Ce qu’on pouvait y lire était en complète contradiction avec l’enseignement prêché par l’Église. Jésus-Christ avait traité le Dieu hébraïque ‘‘Yahve‘‘ du nom de Satan et reproché aux Juifs d’avoir fait du diable leur Dieu unique. De ne es traces se trouvent, entre autres, encore aujourd’hui dans l’Évangile de saint Jean du Nouveau Testament où Jésus dit aux Juifs : ‘‘Vous avez pour Père le diable‘‘ ( Jean 8,44). Quelle énorme falsification du véritable enseignement du Christ !

Il faut essayer d’intégrer la forte croyance de ces chevaliers pour imaginer le choc qu’ils subirent. Le Dieu que l’Église désignait comme ‘‘Père du Christ‘‘ était, selon les dires mêmes de Jésus, le diable qu’il était venu combattre sur Terre. Des études de la Bible mirent rapidement en évidence pour ces chevaliers à l’esprit simple et au raisonnement sain que l’enseignement de Jésus et le prétendu ‘‘Ancien Testament‘‘ étaient à des pôles opposés et n’avaient rien à voir l’un avec l’autre. De plus. les Juifs n’appelaient jamais Dieu du nom de Père mais du nom de ‘‘Yahve‘‘ et ‘‘El Schaddai‘‘. Mais El Schaddaï était lu Scheitan, c.-à-d., ‘‘l’ange déchu‘‘ ! (Schaddeim = la déchéance ; ‘‘el‘‘ = grand ange. El a souvent été traduit, par erreur, avec le nom de Dieu. Mais ‘‘Dieu‘‘ s’appelle dans la vieille langue orientale ‘‘il‘‘).

Quels étaient vraiment la foi, l’état d’esprit et la vision du monde de ces Templiers ?

Le pays du couchant, au Moyen Age, reposait sur trois pierres angulaires sur la religion judéo-chrétienne, sur une économie monétaire et commerciale basée sur l’autorisation de percevoir des intérêts, qui existait depuis l’Ancien Testament, et sur le principe du pouvoir absolutiste. Il vint à l’idée des templiers d’enlever ces trois pierres angulaires, dès qu’ils auraient assez de pouvoir pour le faire. Il s’agissait donc d’éliminer l’Église judéo-chrétienne et d’ériger à sa place une communauté de foi digne de celle des premiers chrétiens, en excluant tout ce qui se rattachait à l’Ancien Testament. Il en résulterait un renversement du système économique et monétaire qui inclurait la défense de prélever des intérêts sur un prêt, la destitution des monarchies absolues et l’édification d’un ordre aristocrato-républicain. Tout cela nous fait comprendre pourquoi les forces régnantes allaient procéder à l’anéantissement des Templiers.

Le sort des templiers n’était pas enviable puisqu’ils n’avaient pas réussi à sauver la Terre sainte. C’est la raison pour laquelle le Vatican, sur l’ordre de Philippe IV le Bel, les poursuivit en l’an 1307. Ils étaient accusés de pratiques sataniques et autres. Le Bel était, de surcroît, jaloux de leur puissance et de leurs privilèges. Les templiers s’enfuirent de France pour chercher protection dans des régions plus sûres comme le Portugal, l’Angleterre et l’Écosse où la puissance du Vatican se faisait moins sentir. Là-bas, une partie des templiers s’adjoignit aux loges de francs-maçons déjà existantes et, sous cette nouvelle identité, ils participèrent à la Réforme protestante pour se venger des poursuites de l’Église catholique.

Une autre partie des Templiers s’installa au Portugal, sous le nom de ‘‘Chevaliers du Christ‘‘, ils furent réhabilités par le pape Clément V : Les templiers devinrent au Portugal, à nouveau, les détenteurs, d’une grande puissance. Leur grand maître, Jacques de Molay, fut brûlé sur le bûcher sur l’ordre de Philippe, le 11 mars 1314, devant la cathédrale Notre-Dame de Paris.

La Contre-Réforme fut menée par une nouvelle confrérie, la Compagnie de Jésus, qui est mieux connue sous le nom de l’ordre des Jésuites et qui fut fondée par Ignace de Loyola en 1534. Il s’agissait d’une société secrète militante et catholique avec des rituels secrets, un symbolisme et des grades d’initiation (le serment du deuxième degré exigeait la mort de tous les francs-maçons et protestants). Les jésuites furent envoyés en Angleterre pour y combattre les hérétiques protestants. Ils s’appliquaient à rechercher les hérétiques qui devaient être punis, ce qui signifiait que les francs-maçons avaient intérêt à bien garder leurs secrets s’ils ne voulaient pas être décapités.


La Franc-Maçonnerie en Angleterre

Les francs-maçons travaillèrent dans un secret absolu en Angleterre, en Écosse et en Irlande et contribuèrent à renforcer le respect des droits de l’homme et du protestantisme. Un des grands maîtres des francs-maçons était présent à la signature de la magna charta, aux côtés du grand maître des Templiers. Les différentes loges avaient aussi la responsabilité des mouvements protestants en Angleterre et en Allemagne.

En 1567, les Francs-Maçons anglais se divisèrent en deux grandes loges, celle de ‘‘York‘‘ et celle de ‘‘Londres‘‘. Cependant, l’époque la plus importante de l’histoire des francs-maçons a été le début du 17ème siècle lorsque leur corporation de caractère artisanal se transforma en une corporation secrète d’ordre mystique et occulte. Les loges acceptèrent désormais des ‘‘non-maçons‘‘, ce qui eut pour conséquence que, vers 1700, presque 70% des francs-maçons vinrent d’autres professions.

En 1717, la loge des francs-maçons de Londres se mit à travailler au grand jour, estimant qu’ils étaient en sécurité en Angleterre. C’est l’époque désignée comme le début de la franc-maçonnerie dans beaucoup de livres d’histoire. Officiellement, c’est exact. Cependant, leur activité secrète débuta des millénaires plus tôt. Mais comme cela a déjà été mentionné : à quoi eut-il été bon de garder le secret si chacun savait aujourd’hui, ce que les francs-maçons faisaient, quand et comment ?

Le 24 juin 1717, les représentants de quatre grandes loges britanniques se réunirent à Londres, ils fondèrent la Grande loge anglaise, appelée aussi ‘‘Loge Mère du Monde‘‘.

Le nouveau système de grade d’initiation comportait trois degrés, celui d’apprenti, de compagnon et de maître ; on les appelait aussi grades ‘‘bleus‘‘.

La grande loge tenait à ce que ce soit la dynastie de Hanovre qui continue d’occuper le trône anglais, elle conféra, en 1737, les deux premiers grades à Frédéric de Hanovre, prince de Galles. Beaucoup de membres des générations suivantes de la famille royale de Hanovre ont même détenu le titre de grand maître (Ce fut le cas pour Frédéric Auguste, pour le roi Georges IV, pour le roi Edouard VII et pour le roi Georges VI).

Cependant, ils avaient des ennemis. Après la chute de Jacob II en 1688, les partisans des Stuart créèrent différents mouvements, entre autres celui des jacobins militants, pour ramener les Stuart sur le trône.

Pour soutenir son fils Jacob III, une nouvelle branche de francs-maçons fut créée, la ‘‘Loge des Templiers Écossais‘‘ (fondée en 1725 par Michael Ramsey) qui accepta en son sein d’anciens Templiers. Cette loge avait créé des grades encore plus importants que la loge mère de Londres afin de soustraire des membres à cette dernière.

En 1736 fut créée la ‘‘Grande Loge Écossaise‘‘ qui reléguait, aussi, à l’arrière-plan l’aspect corporatif pour mettre l’accent sur l’aspect mystique. Dans les loges écossaises, on retrouvait souvent la franc-maçonnerie templière et plus tard, on y introduisit même le grade de templier.

Comme on le voit, on se trouve en présence de deux systèmes de francs-maçons qui s’opposaient, ceux de la dynastie de Hanovre dans la loge mère de Londres et ceux des Stuart dans celle des templiers écossais. Qui pourrait bien être le troisième inconnu qui aurait tout intérêt à ce que naisse un conflit ?

Ne se trouverait-il pas parmi les ‘‘illuminati‘‘ ?

La Maçonnerie britannique : la seconde vague

L’ une des principales influences de la Maçonnerie britannique en Amérique vient dans le domaine de la Banque. Cecil Rhodes a accumulé sa fortune à partir de mines de diamants en Afrique du Sud. Des millions et des millions de dollars ont été garantis et mis dans une confiance aveugle dans sa volonté d’être utilisés pour financer la création de sociétés secrètes pour l’avancement de la domination anglo-saxonne dans le Nouvel Ordre Mondial et la reprise éventuelle des États-Unis par l’Angleterre par la création d’une banque centrale en Amérique. Cecil Rhodes a formé ce qu’on appelle la « bourse de Rhodes » à Oxford.

Il y a aussi la Table Ronde en Angleterre, réunie par Alfred MilnerBill Clinton est un érudit de Rhodes ainsi que d’autres choses. En Europe, du moins à cette époque, les Rothschild étaient le principal clan bancaire. Paul Warburg, un agent des Rothschild, ainsi que plusieurs membres de Skull & Bones, ont contribué à la mise en place du système de la Banque Centrale de la Réserve Fédérale en Amérique en 1913.

La consternation régna parmi les loges franc-maçonniques quand la ‘‘loge de Londres‘‘ révéla publiquement son travail. Elle fut accusée de trahison par les autres loges. Après que l’excitation se fut apaisée, les francs-maçons commencèrent à se répandre dans toute l’Europe et le Nouveau Monde. Ils se manifestèrent, plus tard, dans le Nouveau Monde par la déclaration d’indépendance et par la ‘‘Boston Tea Party‘‘ organisée par la loge franc-maçonnioue de Boston.

John Locke se servit des bases franc-maçonniques pour écrire la Constitution de la colonie de Caroline du Sud qui devint, plus tard, un bastion des francs-maçons. Les écrits de Sir Francis Bacon dénotent la même inspiration philosophique propre aux francs-maçons.

La déclaration d’indépendance fut rédigée et signée presque exclusivement par des francs-maçons. George Washington et la plupart de ses généraux étaient des francs-maçons. C’est un fait que les États-Unis, aujourd’hui, n’existeraient pas sans la présence active des francs-maçons.

George Washington a été initié dans une société secrète à Fredricksburg, en Virginie : les francs-maçons. C’était en 1752 alors qu’il avait 20 ans.

Parmi ses compagnons figurent de nombreux autres pères fondateurs, tels que Benjamin Franklin, John Hancock et Paul Revere.

Mais quel rôle a réellement joué la franc-maçonnerie dans la fondation des États-Unis ? Et quelles significations se cachent derrière les mystérieux symboles qu’elle utilise ? 

Il y a beaucoup de théories sur les vraies origines de la franc-maçonnerie. Ce que nous savons, c’est que c’est à partir de l’époque de la Renaissance que des gens ont décidé de se lancer dans l’étude des civilisations anciennes. Ils voulaient retrouver un éventuel savoir disparu, des connaissances perdues. Selon les experts, les francs-maçons croyaient en l’acquisition de connaissances par le biais de moyens aussi bien scientifiques que spirituels. À l’ère des Lumières, cela incluait la possibilité d’une vie extraterrestre.

En Amérique, les idées et les principes des Lumières ont principalement été véhiculés par la franc-maçonnerie. Les citoyens les plus éminents de la communauté deviennent des francs-maçons et s’associent les uns aux autres. Ils discutaient des grands problèmes du moment et très certainement émettaient des spéculations sur la pluralité des mondes. La croyance croissante en la possibilité d’une vie extraterrestre aurait-elle pu influencer la vision des pères fondateurs de l’Amérique et influencer leurs projets ?

Pour la déclaration d’indépendance, il y avait 56 signataires. Parmi ceux-ci, neuf étaient des francs-maçons. En ce qui concerne les signataires de la Constitution, il y avait 39 signataires, dont 13 – soit un tiers – étaient des francs-maçons.


Les Sages de Sion

Une autre organisation secrète très influente rivalisait de zèle pour exercer un contrôle sur l’Angleterre. Les riches rabbins juifs qui étaient les dirigeants politiques et religieux du peuple juif anéanti unirent leur force dans un groupe connu sous le nom de ‘‘Sages de Sion‘‘ (les sionistes se considèrent comme l’élite ‘‘messianique‘‘ du judaïsme et attendent que tous les Juifs du monde soient solidaires de leurs buts. Livre de Manfred Adler ‘‘Die Söhne der Finsternis‘‘, 2, Teil (Les fils des ténèbres, 2ème partie).

De 1640 à 1689, les ‘‘Sages de Sion‘‘ projetèrent la ‘‘révolution anglaise‘‘ en Hollande (la chute des Stuart du trône britannique) et prêtèrent de l’argent aux différents petits partis. Ils se servirent de leur influence pour que Guillaume II, duc allemand de la dynastie Orange-Nassau, devienne le stathouder de l’armée hollandaise et, plus tard, ils firent de lui Guillaume prince d’Orange.

Ils arrangèrent une rencontre entre lui et Marie, la fille aînée du Duke of York et sœur du roi Charles II d’Angleterre. Le frère de celui-ci, successeur de Jacob II, était également présent. Guillaume II épousa Marie et ils eurent un fils, Guillaume III qui se maria, plus tard, avec Maria II, la fille de Jacob II. Les Maisons royales hollandaise et britanniques étaient, dès lors, apparentées. Les whigs, parti composé d’anglais et d’écossais influents, les aidèrent à destituer les Stuart de leur trône en 1688, et Guillaume III d’Orange fut nommé Roi d’Angleterre en 1689.

Guillaume III, que l’on dit avoir été franc-maçon, fonda, la même année, ‘‘l’Ordre d’Orange‘‘ qui s’opposait au catholicisme et visait à consolider le protestantisme en Angleterre. Cet ordre existe encore aujourd’hui, il est surtout représenté en Irlande, où il a environ 100.000 membres et où il a environ 100.000 membres et où il attise violemment la guerre des religions.

Le roi Guillaume III enrôla très vite l’Angleterre dans des guerres coûteuses contre la France catholique, ce qui causa de fortes dettes à l’Angleterre. Puis ce fut la revanche de Guillaume envers les Sages de Sion : il persuada le Trésor britannique, avec l’aide de l’argent de William Paterson, d’emprunter 1.25 millions de livres britanniques aux banquiers juifs qui l’avaient mis dans cette position. La dette de l’État grandissait très vite, il ne resta plus au gouvernement d’autre possibilité que d’acquiescer aux conditions exigées.

Les conditions de prêt étaient les suivantes :

  1. Les noms des prêteurs restaient secrets, ils avaient la garantie de pouvoir fonder une ‘‘Banque d’Angleterre‘‘ (banque centrale) ;
  2. On garantissait aux directeurs de ce e banque de xer la mesure de l’or par rapport au papier-monnaie ;
  3. Il leur était permis de prêter 10 livres de papier-monnaie par livre d’or déposée ;
  4. Il leur était permis de consolider les dettes nationales et d’en assurer le montant par des impôts directs sur le peuple.

C’est ainsi que fut érigée la première banque centrale privée, la ‘‘banque d’Angleterre‘‘.

Ce genre de transactions permettait à la banque de faire une plus-value de 50% en investissant 5%. Et c’était au peuple anglais de payer. Les prêteurs ne tenaient pas à ce que les prêts soient remboursés, car l’endettement leur permettait d’avoir une influence sur le déroulement de la politique. La dette nationale de l’Angleterre augmenta de 1.250.000 livres en 1694 à 16.000.000 livres en 1698.

Après Guillaume III, la dynastie de Hanovre prit en charge la maison royale britannique, ce qui est le cas aujourd’hui encore puisque les Windsor descendent en ligne directe de la maison royale de Hanovre (jusqu’en 1901, tous les monarques furent issus de la dynastie de Hanovre mais lorsque Edouard VII épousa la princesse danoise Alexandra, le nom de Hanovre fut remplacé par ‘‘Saxe-Cobourg-Gotha‘‘, nom du père allemand d’Édouard. Il fut de nouveau changé en ‘‘Windsor‘‘ le 17 juillet 1917, il est tel quel aujourd’hui encore). Il est compréhensible que beaucoup d’Anglais ne se réjouissaient pas de la souveraineté allemande, Beaucoup d’organisations se formèrent pour amener de nouveau les Stuart sur le trône. À cause de ce danger, la dynastie de Hanovre n’autorisa pas d’armée permanente en Angleterre, ils recrutèrent les troupes nécessaires dans leur principauté et parmi leurs amis allemands. Ceux-ci étaient payés, évidemment, par le Trésor britannique, ce qui profitait aux banquiers juifs.

Le Prince Guillaume IX de Hesse-Hanau qui était aussi un ami de la dynastie de Hanovre mit à leur disposition la plupart des mercenaires.

LES PROTOCOLES DES SAGES DE SION

1. Le contrôle de l’argent

2. Le contrôle de la presse

3. L’extension du pouvoir

4. Le contrôle de La foi

5. Le moyen d’amener la confusion dans les esprits

6. L’aspiration au luxe

7. La politique utilisée comme instrument

8. Le contrôle de la nourriture

9. Le rôle de la guerre

10. Le contrôle au moyen de l’éducation

11. Le contrôle des loges franc-maçonniques

12. La mort


Les Francs-Maçons en Amérique

Les Rose-Croix fondèrent leur première colonie (qui est aujourd’hui la Pennsylvanie) en 1694. Les francs-maçons, quant à eux, ouvrirent leurs premières loges, avec la permission de la loge mère d’Angleterre, vers 1730.

C’est le travail secret exercé pendant des siècles par les francs-maçons qui a permis la création des États-Unis. C’étaient les francs-maçons qui avaient organisé et mené la guerre d’indépendance américaine, ce sont eux aussi qui ont écrit et signé la Constitution des États-Unis. Un tiers environ des présidents américains furent des francs-maçons. Ils sont aussi largement représentés au Congrès et au Sénat. Le sceau américain, la pyramide à l’œil qui voit tout, les armoiries de l’État au verso du sceau, le phénix ainsi que la bannière d’origine avec les 13 étoiles, et en 13 rayures sont d’anciens et importants symboles franc-maçonniques. Certes ils ont été créés sur l’ordre des Rothschild et introduits par Adam Weishaupt, mais leur symbolisme remonte à l’époque de l’Ancienne Égypte.

C’est Philippe Rothschild qui a fait l’ébauche de la pyramide des Illuminés, représentée sur les billets d’un dollar, comme le révèle sa petite amie Ayn Rand dans son livre ‘‘Atlas Shrug- ged‘‘.

À la fin de la guerre d’indépendance, les loges des francs-maçons américains se détachèrent de la loge mère anglaise, elles fondèrent leur propre grande loge américaine. Cette dernière comportait le ‘‘rite d’York‘‘, composé de 10 degrés (le 10ème degré est celui des templiers) et le ‘‘rite écossais‘‘ lui-même divisé en 33 degrés.

La plupart des francs-maçons s’imaginent qu’il n’y a pas de degrés au-delà du 33ème. De fait, les membres du 33ème degré deviennent des initiés parmi les Illuminés qui ont leurs propres degrés (cf. § 11 des Protocoles).

Les Illuminés de Bavière contrôlaient déjà parfaitement toutes les loges du ‘‘Grand Orient‘‘ d’Europe. Les francs-maçons d’Amérique, à cette époque-là, n’étaient pas encore contaminés par ‘‘l’illuminisme‘‘ de Weishaupt. Cela eut lieu plus tard.

Il nous faut savoir que probablement 90% des francs-maçons d’aujourd’hui n’ont pas la moindre idée de ce que leurs supérieurs, imbriqués dans le réseau des Illuminati, peuvent bien manigancer. Les francs-maçons, comme beaucoup d’autres organisations, ne sont qu’une couverture qui permet aux Illuminati d’accroître leur influence.

Lyndon LaRouche en donne la description suivante : ‘‘L’image des loges locales de francs-maçons n’est donnée la plupart du temps que par les actions qu’elles mènent. Très souvent, ce sont des cercles d’hommes poursuivant certains buts d’utilité publique, qui se servent d’une secrète poignée de main ou d’autres tours de passe-passe propres aux sociétés secrètes. En se réunissant, ils croient pouvoir se faire passer pour les personnalités du lieu. C’est avantageux pour leurs a aires et leur carrière. Leurs femmes aussi trouvent ainsi de bonnes équentations dans les sociétés et apprennent les derniers racon- tars voisinage. Mais au sommet, il en va tout autrement.. Le simple ère de loge ne sait vraiment pas du tout ce qui se passe tout en haut. (…)‘‘ (‘‘Neue Solidarität‘‘ du 10 mars 1993)

Pendant ce temps, qu’en était-il des finances aux États-Unis ?

Le président américain Thomas Jefferson et Benjamin Franklin – président du Conseil exécutif suprême de Pensylvanie – étaient farouchement opposés à l’idée d’une banque centrale privée qui contrôlerait la monnaie américaine. Après la mort de B. Franklin en 1790, les agents de Rothschild promurent Alexander Hamilton au poste de ministre des Finances. Celui-ci créa la ‘‘First National Bank of the United States‘‘, la première banque centrale américaine. Elle était structurée comme la ‘‘Banque d’Angleterre‘‘ et contrôlée par les Rothschild.

Le président Thomas Jefferson a déclaré : « Si les Américains permettent aux banques privées de contrôler l’émission de leur monnaie, d’abord par l’inflation, puis par la déflation, les banques et les sociétés qui grandissent autour d’elles priveront les gens de tous les biens jusqu’à ce que leurs enfants se réveillent en étant des sans-abri sur le continent que leurs pères ont conquis. » 

En 1811 prit fin le contrat de la banque avec les États-Unis. L’économie américaine était déjà tellement déstabilisée que le contrat de cinq ans ne fut pas renouvelé. Par la suite, les Rothschild usèrent de leur influence auprès du Parlement Britannique, si bien que l’Angleterre exigea qu’on lui rende ses colonies en Amérique. Cela entraîna la guerre de 1812-1814. Cette guerre endetta si fortement les États-Unis qu’il ne leur restait rien d’autre à faire que de quémander de nouveau des crédits auprès des banquiers (c’est-à-dire auprès de la banque centrale).

En 1836, sous la présidence d’Andrew Jackson, elle fut de nouveau remerciée mais reprit sa concession en 1863 et devint en 1913 la ‘‘Federal Reserve Bank‘‘, aujourd’hui la banque centrale américaine.

Le président A. Jackson avait déclaré que les banquiers centraux étaient un repaire de vipères et de voleurs et qu’il avait l’intention de les expulser d’Amérique.

Abraham Lincoln, à son époque, a pris des mesures contre la banque centrale et il a été tué pour cela.

Le président James Garfield a été abattu peu après avoir déclaré que celui qui contrôle l’émission de monnaie contrôlerait les affaires et les activités de toutes les personnes.

Le président John F. Kennedy était l’un des rares présidents des Etats-Unis à ne pas faire partie de la franc-maçonnerie. En 1961 il s’exprime à ce sujet devant la presse et il ne fait pas de quartier aux sociétés secrètes qui pourrissent l’Amérique de l’intérieur. C’était le le 27 avril 1961 :

« Le mot même de « secret » est répugnant dans une société libre et ouverte; et nous sommes, en tant que peuple, intrinsèquement et historiquement opposés aux sociétés secrètes, aux serments secrets et aux procédures secrètes. (…..) Nous sommes opposés dans le monde entier par une conspiration monolithique et impitoyable qui repose principalement sur des moyens clandestins pour étendre sa sphère d’influence, sur l’infiltration au lieu de l’invasion, sur la subversion au lieu des élections, sur l’intimidation au lieu du libre choix, sur la guérillala nuit au lieu des armées le jour. C’est un système qui a enrôlé de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine très efficace et très soudée qui combine des opérations militaires, diplomatiques, intellectuelles, économiques, scientifiques et politiques (…). Ses préparatifs sont cachés, non publié. Ses erreurs sont enterrées, non titrées. Ses dissidents sont réduits au silence, non loués. Aucune dépense n’est mise en doute, aucune rumeur n’est imprimée, aucun secret n’est révélé.« 

En 1982, le fisc américain accusait une dette d’environ 1.070.241 millions de $. La Fed récolta donc environ 115.800 millions de $ d’intérêts sur une seule année, payés par les contribuables américains. Le capital de ces intérêts va tout droit dans les poches de la Fed, donc dans celles des banquiers privés internationaux.

En 1992, les obligations possédées par la Fed étaient d’une valeur d’environ 5.000.000 millions de $ et les intérêts à payer par les contribuables montent constamment. C’est la Fed qui a créé tout ce capital en prêtant de l’argent au gouvernement américain et en touchant des intérêts élevés, elle n’a eu qu’à payer les frais d’impression. C’est la plus grande duperie de l’histoire des États-Unis et personne ne l’a remarquée. En plus, la Fed, grâce aux obligations du gouvernement américain, à le droit de gage sur les propriétés publiques et privées de tous les États-Unis. D’innombrables procédures juridiques sont restées jusqu’ici sans effet et n’ont pu annuler la loi de la ‘‘Federal Reserve‘‘. Juridiquement, il n’y a aucune possibilité pour les citoyens de récupérer leur argent puisque la Fed n’est pas un département du gouvernement américain mais une institution privée. D’après le droit constitutionnel, Fed n’aurait même pas le droit d’exister.

« Où la Réserve Fédérale se procure-t-elle l’argent avec lequel sont créées les réserves bancaires ? Elle ne se procure pas cet argent, elle le crée. Quand la Réserve Fédérale rédige un chèque, cela crée de l’argent. Il peut en résulter une augmentation des réserves bancaires, en effet, à vue ou en liquidités. Si le client préfère des liquidités, il peut demander des billets de banque de la Réserve Fédérale, et la Réserve Fédérale les fera imprimer par le Département du Trésor. La Réserve Fédérale n’est rien de plus qu’une machine à faire de l’argent. Elle peut émettre de la monnaie ou des chèques. Et elle n’a aucun problème pour faire des chèques valides, car elle peut obtenir toutes les coupures de 5 et 10 dollars nécessaires pour les compenser rien qu’en demandant au Département du Trésor de les imprimer. »

Money Facts », publié par la Commission sur les Banques et la Monnaie, Congrès des États-Unis, 1964).

À la mort de Mayer Amschel Rothschild en 1812, le droit de décider de la fortune familiale revint à Nathan Rothschild. Nanti de cette position, il créa la ‘‘Nathan Mayer Rothschild & Sons Bank‘‘ à Londres, avec des succursales à Vienne, Paris et Berlin. Les opérations de cette banque portaient sur des marchés d’actions et des prêts, elle assurait des gouvernements, elle administrait et dirigeait d’autres banques, des compagnies de chemin de fer, des aciéries, des industries d’armes et d’autres. Aux États-Unis, N. M. Rothschild & Sons étaient représentés par Khun Loeb & Co, J. P. Morgan & Co, et August Belmont & Co.

Les Rothschild contrôlaient, pendant cette période de l’histoire, la City de Londres et, de ce fait, aussi les colonies de la Couronne britannique et le gouvernement anglais ainsi que le gouvernement français, le ‘‘Comité des 300‘‘, les Illuminés de Bavière et, par conséquent, toutes les loges secrètes d’Europe et des États-Unis infiltrés par les Illuminati. Avec l’aide de leurs représentants, la ‘‘Khun Loeb Bank‘‘ dont le directeur était Jacob Schiff, la ‘‘August Belmont & Co. Bank‘‘ et la ‘‘J. P. Morgan & Co. Bank‘‘ aux États-Unis ainsi que la ‘‘M. M. Warburg Gesellscha ‘‘ à Hambourg et Amsterdam, les Rothschild avaient érigé, entre autres, le ‘‘Standard Oil-Imperium‘‘ de Rockefeller, les chemins de fer Harriman et les aciéries Carnegie, et ils contrôlaient, ainsi, la majeure partie de l’économie américaine.

Les banques citées ci-dessus comptaient parmi les plus puissantes du monde et étaient toutes sous le contrôle des Rothschild.

Les Rothschild alliés aux ‘‘Illuminés de Bavière‘‘ représentent la force financière soutenant le sionisme et, plus tard, le communisme. Ils ont comploté et financé bien des révolutions et des guerres. Ils ont financé les deux camps de la guerre civile américaine de 1861 à 1865. De décembre 1860 à mai 1861, 11 États dont le système économique reposait sur l’esclavage (les États du Sud) démissionnèrent de l’Union et constituèrent les ‘‘États confédérés‘‘. Cela provoqua la guerre de Sécession, en avril 1861, contre les autres États de l’Union situés au Nord des États-Unis. Ce sont presque exclusivement des agents de Rothschild qui ont créé et fomenté la guerre civile. L’un de ces provocateurs fut Georges Bickley qui avait fondé les ‘‘Chevaliers du Cercle d’Or‘‘. Par l’intermédiaire de Bickley et ses chevaliers, la maison Rothschild insista sur les inconvénients que représentait l’Union pour les États confédérés. Dans les autres États de l’Union, par contre, les Rothschild, en se servant de ‘‘J. P. Morgan‘‘ et d’‘‘August Belmont‘‘, mirent l’accent sur les avantages de l’Union.

La banque Rothschild de Londres finança le Nord, celle de Paris le Sud. Quelle affaire colossale pour les Rothschild ! On ne peut être que le vainqueur quand on finance les deux camps et qu’on leur fournit les armes. Quels étaient les vaincus ? Les américains, ceux des États du Nord et ceux des États du Sud.

Cependant, le président A. Lincoln qui avait percé le jeu des Rothschild refusa, en 1862 et 1863, de leur payer les intérêts qui s’élevaient à des sommes colossales. Peu après, il chargea le Congrès de faire imprimer les dollars ‘‘Green Back‘‘ pour payer les troupes de l’Union. Bien entendu, cela ne s’accordait pas au plan des Rothschild : la conséquence fut qu’un de leurs agents, John Wilkes Booth, tua sur leur ordre Lincoln le 14 avril 1865. Celui-là fut, plus tard, libéré de prison par les ‘‘Chevaliers du cercle d’or‘‘ et passa le restant de sa vie très agréablement en Angleterre avec une somme rondelette offerte par les Rothschild.

Après la mort de Lincoln, les dollars ‘‘Green Back‘‘ furent à nouveau retirés de la circulation et rachetés à un prix ridiculement bas par les banquiers centraux Morgan, Belmont et Rothschild.

Après avoir tiré sur Lincoln, Booth fut aidé par des membres d’une société secrète connue sous le nom de Chevaliers du Cercle Doré (CCD). Cette société avait d’étroites relations avec la société française des saisons, qui produisit Karl Marx. Les CCD ont fomenté beaucoup de la tension qui causa la guerre civile, et le président Lincoln avait ciblé particulièrement ce groupe. Booth était membre des CCD et était connecté par le truchement du secrétaire d’État de la Confédération Judah Benjamin à la maison des Rothschild. Benjamin s’enfuit en Angleterre après la guerre civile. Près d’un siècle après l’assassinat de Lincoln pour avoir fait imprimer les green backs, le président John F. Kennedy se trouva lui aussi sous les feux des huit familles.

La mesure de la richesse des nations est la somme des biens, des services, des ressources naturelles et de la richesse privée. Au début de l’Amérique, la richesse privée se composait principalement d’or ou d’argent. Un souci se posait pour les transporter lors de grandes transactions en raison d’un poids élevé et de vols fréquents, de sorte que, par la gentillesse de leurs cœurs, les banquiers permettraient aux gens de laisser leurs or et argent en dépôt, tandis que la banque émettrait un certificat d’or ou d’argent, un simple morceau de papier aussi bon que l’or. Il fut déclaré sur le projet de loi : « Payer au porteur sur demande en or ou en argent ». 

Après que les banquiers ont commencé à émettre ces notes, ils se sont aperçu après un certain temps que les gens n’utilisaient plus autant l’or et ne revenaient pas pour le retirer. Ils se sont donc dit qu’ils pourraient émettre et prêter plus de billets qu’il n’existait d’or pour le garantir. C’est la véritable source d’inflation. 

Peu de temps après, ils ont remplacé les certificats d’or et d’argent par des billets de la Réserve Fédérale qui ne valaient rien. Sans l’or et l’argent, des métaux avec une réelle valeur, l’Amérique était en faillite. La Réserve fédérale est une société privée. Lorsque les billets de la Réserve fédérale sont imprimés, ils sont ensuite prêté au Trésor des États-Unis ou à la population. Les billets qui coûtent 2 cents chacune à être imprimées par la Fed sont ensuite prêtées au gouvernement des États-Unis à la valeur nominale de 8 1/2% d’intérêt. L’intérêt est perçu chaque année par l’IRS une société privée contrôlée par la Réserve Fédérale. Les mots « Note de la Réserve fédérale » apparaissent pour la première fois sur le papier-monnaie en 1933.

Si vous empruntez de l’argent à quelqu’un et que vous devez payer des intérêts c’est judicieux de se demander d’où proviendra l’argent pour payer les intérêts. Si vous devez l’emprunter, cela créera encore plus d’intérêts. De toute évidence, dans cette situation, il n’y a pas de sortie. 

Les familles de grands noms comme Rockefellers et J.P. Morgan n’étaient pas les principaux pouvoirs financiers en Amérique. Ce n’était que des agents, des chefs de file et des porte-parole hautement rémunérés. Il y avait encore d’autres personnes au dessus d’eux. 

Tous les pères fondateurs des Etats-Unis d’Amérique étaient des maîtres maçonniques ainsi que presque tous les présidents. 


La Réserve Fédérale

La mesure de la richesse des nations est la somme des biens, des services, des ressources naturelles et de la richesse privée. Au début de l’Amérique, la richesse privée se composait principalement d’or ou d’argent. Un souci se posait pour les transporter lors de grandes transactions en raison d’un poids élevé et de vols fréquents, de sorte que les banquiers permettraient aux gens de laisser leurs or et argent en dépôt, tandis que la banque émettrait un certificat d’or ou d’argent, un simple morceau de papier aussi bon que l’or. Il fut déclaré sur le projet de loi : « Payer au porteur sur demande en or ou en argent ». 

Après que les banquiers ont commencé à émettre ces notes, ils se sont aperçu au bout d’un certain temps que les gens n’utilisaient plus autant l’or et ne revenaient pas pour le retirer. Ils se sont donc dit qu’ils pourraient émettre et prêter plus de billets qu’il n’existait d’or pour le garantir. C’est la véritable source d’inflation. 

Peu de temps après, ils ont remplacé les certificats d’or et d’argent par des billets de la Réserve Fédérale qui ne valaient rien. Sans l’or et l’argent, des métaux avec une réelle valeur, l’Amérique était en faillite. La Réserve fédérale est une société privée. Lorsque les billets de la Réserve fédérale sont imprimés, ils sont ensuite prêté au Trésor des États-Unis ou à la population. Les notes qui coûtent 2 cents chacune à être imprimées par la Fed sont ensuite prêtées au gouvernement des États-Unis à la valeur nominale de 8 1/2% d’intérêt. L’intérêt est perçu chaque année par l’IRS une société privée contrôlée par la Réserve Fédérale. Les mots « Note de la Réserve fédérale » apparaissent pour la première fois sur le papier-monnaie en 1933.

Si vous empruntez de l’argent à quelqu’un et que vous devez payer des intérêts c’est judicieux de se demander d’où proviendra l’argent pour payer les intérêts. Si vous devez l’emprunter, cela créera encore plus d’intérêts. De toute évidence, dans cette situation, il n’y a pas de sortie. 

Les familles de grands noms comme Rockefeller et J.P. Morgan n’étaient pas les principaux pouvoirs financiers en Amérique. Ce n’était que des agents, des chefs de file et des porte-parole hautement rémunérés. Il y avait encore d’autres personnes au dessus d’eux. 

Tous les pères fondateurs des Etats-Unis d’Amérique étaient des maîtres maçonniques ainsi que presque tous les présidents. 

L’influence de l’argent

La famille probablement la plus influente dans ce cercle de pouvoir au cours du siècle dernier a été la famille Harriman. Edward H. Harriman a amassé plus de 60 millions de dollars à la fin des années 1800 dans une transaction financière impliquant l’Union Pacific et Kuhn Loeb, une banque d’investissement. William Averall Harriman, son fils, a été formé à Yale dans la Fraternité Skull and Bones en 1913. Averall Harriman a contrôlé Harriman and Co., propriétaire de Brown Bros. et Harriman, la plus grande banque d’investissement privée au monde. 

Prescott Bush, le père de George Bush a été initié et diplômé en 1917. Prescott Bush ainsi que certains autres diplômés de Skull and Bones étaient des administrateurs de la banque Harriman. Ces banques ainsi que Guaranty Trust et Union Banking Corp, toutes contrôlées par Skull and Bones, étaient les entités les plus influentes dans la construction de l’Union soviétique depuis les débuts de la révolution bolchévique au début des années 1900, grâce à des contrats pour améliorer l’extraction de matières premières et la reconstruction de l’infrastructure de transport. Ces mêmes banques ont également été directement responsables du financement de l’ascension d’Hitler au pouvoir et de la construction du parti National Sozialiste par des contacts et des banques subsidiaires en Allemagne.

Prescott Bush l’Union Bank, la banque des Nazis

Skulls & Bones

Le Pouvoir / Le Culte du Secret / Le Développement d’un Réseau

Au début des années 1830, un étudiant de l’Université de Yale, du nom de William H. Russell – futur major de la promotion 1833 –, se rendit en Allemagne pour y effectuer une année d’études. Russell venait d’une très riche famille qui était à la tête de l’une des organisations d’affaires les plus méprisables d’Amérique au XIX° siècle : Russell and Company, un empire du trafic de l’opium. Par la suite, Russell deviendra membre du parlement de l’État du Connecticut, général de la garde nationale du même État et fondateur de l’institut universitaire et commercial de New Haven. Lors de son séjour en Allemagne, il devint l’ami d’un dirigeant d’une société secrète allemande, dont le symbole était une tête de mort. Très rapidement, il fut embrigadé dans ce groupe, un prolongement de la fameuse société des Illuminati de Bavière. Quand il revint aux États-Unis, il trouva une atmosphère à ce point anti-maçonnique que même son honorable société étudiante, Phi Bêta Kappa, avait été dépouillée de tous ses secrets, sans autre forme de procès.

Exaspéré, Russell rassembla le groupe d’étudiants les plus prometteurs de sa promotion – dont Alphonso Taft, le futur secrétaire à la Guerre, procureur général, diplomate en Autriche, ambassadeur en Russie et père du futur président des États-Unis William Howard Taft – et, par vengeance, il créa la société secrète la plus puissante que les États-Unis n’aient jamais connue.

Ces hommes avaient nommé leur organisation la « Fraternité de la mort », ou, de manière plus informelle, l’ordre du « Crâne et [des] os » ( « Skull & Bones » ). Ils adoptèrent le symbole numérologique 322, parce que leur groupe, fondé en 1832 , était le second chapitre d’une organisation allemande. Ils vénéraient la déesse Eulogie, déesse grecque de l’éloquence, célébraient les pirates et conspiraient pour dominer le monde.

1832 – Implantée dans l’Université de Yale, aux Etats-Unis, le « Skull and Bones » – également appelé « Chapter 322 » ou encore « Brotherhood of Death » – fut fondée en 1832 par 2 étudiants : William Huntington Russell et Alphonso Taft. Cette société secrète recherchera avant tout des étudiants de troisième année aux qualités sportives et/ou intellectuelles, des sortes de leaders ayant de fortes personnalités et si possible, un bon compte en banque. Personne ne peut décider de devenir membre de l’organisation Skull & Bones, il faut en effet être choisi ou « élu » par les anciens.

Recrutement  Chaque année en avril, 15 étudiants sont repérés et désignés d’une simple tape sur l’épaule. Si l’étudiant accepte de rejoindre la confrérie, il est invité à se rendre dès le lendemain sur High Street, dans une mystérieuse bâtisse appelée « The Tomb » (La Tombe). Encadrés par les plus anciens, les membres s’y réunissent en secret 2 fois par semaine (tous les jeudis et dimanches), pour discuter entre autres de leur vie personnelle, de leurs études, ou encore de leurs projets professionnels. Des débats sur des questions politiques, sociales, et ésotériques y sont également tenus. Ce club très fermé reposera alors sur trois fondements : le principe de l’élection, le goût du secret, et le développement d’un réseau.

« Qui est le fou, qui est le sage, le mendiant ou le roi ? Qu’ils soient pauvres ou riches, tous sont semblables dans la mort. » 

Rapidement après sa fondation, l’Ordre “Skull & Bones” prit une tournure beaucoup plus « occulte et rituel », et devint alors un instrument de pouvoir dans les mains d’un vaste réseau politico-financier.

Ses propres membres l’appellent ‘‘ The Order‘‘ (l’ordre). Il est connu depuis plus de 150 ans comme groupe local 322 d’une société secrète allemande ; d’autres lui donnent le nom de ‘‘Brotherhood of Death‘‘ (Fraternité de la mort). L’ordre secret ‘‘Skull & Bones‘‘ (crâne et os) fut introduit à l’Université Yale par William Huntington Russel et Alphonso Taft en 1833. C’est Russel qui le ramena, après ses études en 1832, d’Allemagne à Yale. L’ordre fut incorporé dans le ‘‘Russel Trust‘‘ en 1856.

William Russel devint, en 1846, membre de l’Assemblée d’État du Connecticut et en 1862, il fut nommé général de la garde nationale.

Alphonso Taft devint ministre de la guerre en 1876, puis vice-général et ambassadeur des États-Unis en Russie en 1884. Son ls devint, plus tard, premier magistrat, puis président des États-Unis.

Une vieille tradition veut qu’on représente sur les pierres tombales des francs-maçons au grade de maître un crâne et des ossements disposés en forme de croix. Cela remonte aussi à un rite des templiers à 1127 apr. J.-C. Le nom de l’ordre vient probablement d’une de ces traditions.

Yale et l’unique université avec des sociétés secrètes où sont admis seulement des seniors, c’est-à-dire des anciens. Les deux autres sociétés secrètes sont les ‘‘Scroll & Key‘‘ (rouleau et clef) et ‘‘Wolf’s Head‘‘ (tête de loup).

Des membres sélectionnés parmi l’élite

Les Skull & Bones cultivent leurs talents en sélectionnant des adhérents au sein de la classe des juniors de l’université de Yale, un établissement connu pour son élitisme étrange, gothique, et sa dévotion rigide envers le passé. La société secrète évalue scrupuleusement ses candidats, favorisant les protestants et, désormais, les catholiques blancs, avec une prédilection pour les enfants des membres riches de la confrérie originaires de la côte est des États-Unis. 

Elle est dirigée par environ une vingtaine de familles figurant parmi les plus influentes du pays – Bush, Bundy, Harriman, Lord, Phelps, Rockefeller, Taft et Whitney, entre autres –, qui sont encouragées à se marier entre elles pour consolider leur pouvoir. Elle force même ses membres à confesser toutes leurs histoires sexuelles pour que le « club », puisse déterminer si le nouveau skullbonien sera digne des lignées des prestigieuses dynasties Skull & Bones. Un rebelle ne sera jamais un Skull & Bones ; et de même personne dont l’origine indiquerait qu’il ne se sacrifierait pas pour le bien supérieur de la grande organisation.

Les candidats sont exclusivement des blancs, des hommes, des protestants et sont originaires habituellement de très riches familles. Souvent, leurs pères étaient déjà membres du même ordre. Pendant la dernière année d’étude, on les appelle chevaliers, plus tard, ils deviennent patriarches à vie.

Les patriarches se retrouvent pour des rencontres au ‘‘Deer Island Club‘‘ à New York. Ce club doit son existence, depuis 1907, au patriarche Georges Douglas. Le ‘‘Deer Island Club‘‘ de même que le ‘‘Russel Trust‘‘ ne sont administrés et dirigés que par des patriarches.

Le « Tombeau » des Skull & Bones

Dès qu’un initié reçoit la permission d’entrer dans le « tombeau » – une crypte sombre, sans fenêtres, située à New Haven et pourvue d’un toit servant de piste d’atterrissage pour l’hélicoptère privé de la société –, il doit jurer de garder le silence et de toujours nier être membre de l’organisation.

Pendant l’initiation, qui comporte une mise en condition psychologique ritualiste, les juniors se battent dans la boue et sont frappés physiquement, cette étape de la cérémonie représentant leur « mort » au monde, ainsi qu’on le leur précise. Puis ils se mettent nus dans un cercueil, se masturbent, et doivent révéler aux membres de la société leurs secrets sexuels les plus intimes. 

Après cette purification, les skullboniens donnent aux initiés une robe, symbole de leur nouvelle identité en tant qu’individus poursuivant dorénavant des objectifs « plus élevés ». La société baptise son initié d’un nouveau nom, signe de sa renaissance sous la nouvelle identité de chevalier X, membre de l’Ordre. 

C’est durant cette initiation que les nouveaux adeptes découvrent le décor du « tombeau », constitué d’objets et notamment d’emblèmes nazis gardés comme des reliques – y compris un ensemble de plats en argent ayant appartenu à Hitler – , de douzaines de crânes et d’un assortiment d’objets décoratifs : des cercueils, des squelettes et des entrailles.

Ils sont aussi amenés à « la prostituée des skullboniens », la seule résidente à plein-temps du « tombeau », dont le rôle est de garantir que le skullbonien sorte du « tombeau » plus mûr qu’en y entrant.

Les sacrifices et les cadeaux

Les membres des Skull & Bones doivent faire quelques sacrifices envers leur société. Pour qu’ils restent loyaux à son égard, ils sont menacés d’inscription sur une liste noire en cas de manquement aux règles. Mais en contrepartie ils sont rémunérés par des honneurs et des prix. Par exemple, un cadeau de quinze mille dollars à l’occasion de l’obtention de leur diplôme universitaire, et un cadeau de mariage, sous la forme d’une grande horloge grand-père. Même s’il doit payer une dîme sur ses biens, chaque adhérent de la société est assuré d ‘obtenir une sécurité financière pour le restant de sa vie. De cette façon, les skullboniens peuvent être certains qu’aucun de leurs membres n’éprouvera le besoin de vendre les secrets de la société pour en faire un moyen de subsistance. Et cela fonctionne bien : personne n’a publiquement souillé mot de son appartenance aux Skull & Bones. 

Les skullboniens reçoivent automatiquement des offres d’emploi au sein de nombreuses banques d’investissement et de firmes juridiques dirigées par les frères de la société secrète. On leur donne également un accès exclusif à l’île des Skull & Bones, un lieu de retraite luxueux, construit pour des millionnaires, où un manoir prodigieux et une compagnie féminine sont à leur disposition.

Ils ont fait mainmise sur Yale

L’ influence de cette organisation commence à Yale, où les Skull & Bones se sont approprié des fonds universitaires pour leurs besoins personnels, laissant l’université appauvrie. Leur couverture légale, la Russell Trust Association (« Association de trust Russell »), est propriétaire de presque tous les biens immobiliers de l’université, ainsi que de la majorité des terres du Connecticut. Les Skull & Bones ont établi leur contrôle sur les revues de la faculté et du campus de Yale de telle façon que les étudiants ne peuvent ouvertement aborder le sujet. Year by year (« Année après année »), la seule publication du campus opposée à la société secrète, a déclaré au cours de sa brève période d’existence en 1873 : « Le mal mortel se développe. »

Un séjour d’une année dans le « tombeau » de Yale suffit à instiller une loyauté indéfectible chez les membres de la société secrète, supposés capables de punaiser leur insigne des Skull & Bones à même leur peau pour ne pas le perdre pendant la nage ou le bain. Les chevaliers (nom donné aux membres étudiants) apprennent vite que leur allégeance à la société secrète doit tout supplanter : famille, amitiés, pays, Dieu. Dès qu’ils sortent de l’école, on attend d’eux qu’ils atteignent des positions importantes, afin qu’ils puissent ensuite élever le statut de la société secrète et le prestige de leurs « frères ». Cet objectif leur a permis d’atteindre les niveaux les plus élevés de la société, à tel point qu’un historien a fait observer que, « à tout moment, l’Ordre peut contacter ses adeptes dans n’importe quel secteur de la société américaine pour qu’il fasse ce qu’il faut faire ». 

Ils ont infiltré tous les secteurs de la société

Beaucoup de skullboniens ont été sénateurs, membres du Congrès des États-Unis, membres de la Cour suprême, officiels du gouvernement. Il existe une cellule des skullboniens à la CIA, qui utilise la société secrète comme base de recrutement, car ses adhérents savent bien évidemment garder les secrets. Les membres de la secte dominent les institutions financières comme J. P. Morgan, Morgan Stanley, Dean Witter et Brown Brothers Harriman, qui comptait à une époque plus d’un tiers de skullboniens parmi ses associés. C’est à travers ces compagnies que les Skull & Bones ont apporté leur appui financier à Adolf Hitler – car la société suivait à l’époque une doctrine nazie, et aujourd’hui néonazie. Au moins une douzaine de skullboniens ont été liés à la Réserve fédérale, parmi lesquels le premier président de la Réserve Fédérale de New York. Les gestionnaires de la fortune des familles Rockefeller, Carnegie et Ford sont également membres des Skull & Bones.

Ils ont aussi pris des mesures pour contrôler les médias américains : deux des adeptes ont fondé l’entreprise juridique chargée de représenter le New York Times ; des plans concernant le Time et le Newsweek ont été élaborés dans leur « tombeau ». La société a pris le contrôle de maisons d’édition comme Farrar, Straus & Giroux. 

Dans les années 1880, afin de pouvoir s’assurer que l’histoire serait écrite selon ses propres conditions et pourrait promouvoir ses propres objectifs, elle a créé l’Association historique américaine, l’Association psychologique américaine et l’Association économique américaine, et a installé ses membres à la présidence de ces associations.

L’infiltration du gouvernement

Sous la direction de la société secrète, des skullboniens ont d’abord développé la recherche sur la bombe atomique puis incité à l’utiliser. Ce sont eux aussi qui ont organisé l’invasion de la Baie des Cochons. Ils ont trempé dans l’affaire du Watergate et dans l’assassinat de Kennedy. Et maintenant ils contrôlent le Conseil pour les relations étrangères et la Commission trilatérale de telle façon qu’ils peuvent privilégier leur propre stratégie politique. Les officiels du gouvernement membre de l’ordre ont utilisé le nombre 322 comme code pour des envois de documents diplomatiques hautement secrets.

La société est favorable à la discrimination contre les minorités, elle a même lutté pour l’esclavage – d’ailleurs, huit des douze résidences de Yale portent le nom d’anciens esclavagistes alors qu’aucune n’a été appelée du nom d’un abolitionniste. Elle encourage également la misogynie : jusque dans les années 1990, ses membres n’admettaient pas les femmes car ils les croyaient incapables de partager l’expérience des Skull & Bones et, de plus, prétendaient craindre des incidents de violences sexuelles.

La profanation, l’intimidation et l’assassinat

Cette société secrète approuve aussi la profanation des tombes : dans les entrailles du « tombeau », on trouve les crânes volés du chef apache Géronimo, de Pancho Villa et de l’ancien président Martin Van Buren.

Enfin, elle a pris des mesures pour s’assurer que les secrets des Skull & Bones demeurent aussi insaisissables que l’air. Le journaliste Ron Rosenbaum, qui, dans les années 1970, a écrit sur cette société un long article, mais peu fouillé, a soutenu qu’une source l’avait prévenu de ne pas trop s’approcher de la vérité. « Dans quelle banque avez-vous votre compte chèques ? », lui a demandé cette source, au milieu d’une discussion sur les aspects mithriaques du rituel des skullboniens. Rosenbaum a donné le nom de sa banque. « Ah ! a répondu la source, nous avons trois skullboniens à son conseil de direction. Vous n’obtiendrez jamais plus de crédit. Ils vont examiner votre téléphone. Ils vont [… ]. » La source a continué : « Les diplômé se soucient encore de cela. Ne riez pas. Ils n’aiment pas les gens qui se mêlent de tout et sont trop curieux. Le pouvoir des skullboniens est incroyable. Ils ont leur exécutants à tous les niveaux du pouvoir dans le pays. Vous voyez, c’est comme si vous essayiez de pénétrer la mafia. »

Dans les années 1980, un homme connu seulement sous le nom de Steve avait des contrats pour écrire deux livres sur la société secrète, en utilisant des documents et des photographies qu’il avait obtenus directement du « tombeau » des skullboniens. Mais des informations sur Steve sont parvenu aux Skull & Bones. Des membres de la secte ont cambriolé son appartement, volé ses documents, menacé et poursuivi l’auteur, à qui ils ont fait peur pour qu’il se cache … il l’est toujours. Ces livres n’ont jamais vu le jour. 

Dans le thriller d’Universal Pictures, The Skulls, sorti sur les écrans en l’an 2000, un aspirant journaliste décrit le profil de la société secrète pour le New York Times. Quand il se glisse dans le « tombeau », les skullboniens l’assassinent. Dans le véritable « tombeau » des Skull & Bones, un couteau ensanglanté est exposé dans une vitrine. Il est dit que, lorsqu’un skullbonien vole des documents et menace de publier les secrets de la société c’est ce couteau qui sera utilisé pour le tuer.

Telle est la légende des Skull & Bones. 

Dans l’Amérique du XXI° siècle, il est étonnant de voir qu’autant de personnes continuent de croire qu’un petit club universitaire puisse exercer une si grande influence sur la seule superpuissance mondiale. Mais pourtant il semblerait que ce soit effectivement le cas.

Source : « Skull & Bones, la vérité sur la secte des présidents des Etats-Unis » tiré du livre d’Alexandra Robbins. Titre original : Secrets of the Tomb : Skull and Bones, the Ivy League, and the Hidden Paths of Power. 


L ’Histoire secrète de l’Amérique

Croyez-vous à une grande conspiration planétaire ? Croyez-vous que le gouvernement soit corrompu ? Si oui, à quel degré l’est-il ? La route que nous prenons en tant que race humaine sur la planète Terre nous a été préalablement pavée et tracée à notre profit.

Beaucoup de gens parlent de conspirations telles que le Watergate ou l’assassinat de Kennedy mais très peu de gens connaissent suffisamment les faits réels pour les expliquer parce qu’ils n’ont pas recherché par eux-mêmes. Au fur et à mesure que l’information se propage elle est déformée et devient confuse car la plupart des gens ont tendance à avoir un angle de vue personnel dans l’information qu’ils transmettent, parce qu’ils ont une arrière-pensée. La VÉRITÉ est basée principalement sur les FAITS et rien d’autre.

Le terme de faction « colombienne » des Illuminati désigne ceux qui sont venus en Amérique dès le début. Columbia était en effet le nom qui désignait autrefois, en Angleterre, les colonies d’Amérique. Des documents qui ont été récupérés en Allemagne ont montré que le symbole de la société Illuminati était la pyramide et l’oeil dans la pierre qui constituait son sommet, comme le montre le projet de loi ONE-DOLLAR. Le symbole de Columbia Broadcasting System (CBS) est l’oeil qui voit tout. 

Les plus hauts degrés de franc-maçonnerie sont les 32ème et 33ème degré. À l’arrière du billet de un dollar, sur le Grand Sceau de l’US., il y a 32 plumes sur l’aile droite de l’aigle et 33 sur la gauche. Sous la pyramide, le terme latin « Novus Ordo Seclorum » signifie « Nouvel Ordre Mondial ». Il est apparu sur le billet de 1 dollar à partir de 1933.

Les symboles sont faits pour vous dire quelque chose. Tout le monde utilise des symboles. Les logos d’entreprise, les drapeaux, les insignes et les lettres de l’alphabet sont tous des symboles et ils signifient quelque chose.

Quand on regarde un billet de un dollar américain de près on constate qu’il présente une accumulation de différents symboles qui sont tous très intéressants à étudier. Par exemple, sur un côté, on trouve un aigle. Cet oiseau vient de l’ancien concept du Phénix. Une ville des Etats-Unis s’appelle d’ailleurs Phoenix. L’aigle possède deux ailes, cette de droite et celle de gauche. Voilà pourquoi la politique américaine est basée sur deux partis qui sont les Démocrates et les Républicains. C’est symbolisé dans le billet par cet aigle qui possède une aile droite et une aile gauche.

Au-dessus de l’aigle on peut voir 13 étoiles. Les 13 étoiles forment un ensemble que nous appelons un hexagramme ou encore l’étoile de David. Il existe également 13 bandes dans le drapeau américain. Le billet montre aussi 13 flèches (symbolisant la force dans l’unité), il y a 13 feuilles et 13 baies sur la branche d’olivier. L’inscription Annuit Coeptis est composée de 13 lettres et on peut voir pour finir 13 couches dans la pyramide.

De l’autre côté, vous pouvez voir la pyramide. Beaucoup de gens se demandent pourquoi il y a une pyramide sur un billet américain de un dollar. Sur la pyramide, à sa base, on peut lire les chiffres romains 1776. C’est l’année où l’ordre des Illuminati de Bavière a été fondé par Adam Weishaupt. Et si on regarde le cercle de droite, qu’on l’observe attentivement, on s’aperçoit qu’il se trouve sur chaque cimetière national aux Etats-Unis. 

Sous la pyramide on peut lire l’inscription latine NOVUS ORDO SECLORUM : Le nouvel ordre des âges. On le traduit à présent plus communément avec l’expression « Nouvel Ordre Mondial ». Tout le monde a entendu le président Bush parler du nouvel ordre mondial dans un de ses discours. C’est exactement ce qui se passe. Le monde est pris en charge par un nouvel ordre du monde qui se trouve à droite sur le billet de un dollar. Le nouvel ordre des âges a commencé.

Autour de l’aigle on peut compter 13 baies, 13 feuilles et 13 flèches. On retrouve également 13 bandes sur le drapeau américain. La plupart des gens pensent que les treize étoiles représentent les treize colonies d’origine. Mais pourquoi justement avoir fondé treize colonies et pas quatorze ou sept ou dix ? Quand on comprend que le nombre treize est un nombre très important en franc-maçonnerie et que bon nombre des pères fondateurs de ce pays étaient francs-maçons ou rosicruciens vous tenez alors un fil conducteur pour comprendre ce qui a été fait lors de la création du pays. Ils savaient ce qu’ils faisaient quand ils ont divisé le pays en treize colonies. Le nombre treize n’est pas un mauvais numéro pour eux alors que pour nombre d’entre-nous il s’agit d’un chiffre porte-malheur.

Sur la Côte Est des États-Unis se trouve la région de la Nouvelle Angleterre où les premières colonies se sont établies. Les pères fondateurs (des francs-maçons), ne sont pas entré en guerre contre leurs parents, la monarchie d’Angleterre. Lorsque les Maçons d’York, en Angleterre, sont venus s’établir en Amérique, ils se sont installés sur la côte Est et ont fondé une ville qu’ils ont baptisé NEW-YORK. À New-York se trouve la Statue de la Liberté, offerte par la France, qui détient le flambeau maçonnique de l’illumination. 

Prise de contrôle du système éducatif

Un groupe particulier de familles composé des Russell et des Pierpont a fondé plusieurs institutions scolaires, dont deux d’entre elles étaient les Universités de Yale et celle de Princeton. 

Le révérend James Pierpont et le révérend Nodiah Russell ont fondé Yale en 1701. En 1832, le général William Huntington Russell et Alfonso Taft, grand-père de William Howard Taft, ancien président des États-Unis, ont fondé une société secrète à Yale appelée Skull and Bones, ou « La Fraternité de la Mort ». Le frère-frère de Christian Huntington, Samuel Russell, a fondé « Russell and Co. », le plus grand syndicat de trafic d’opium au monde à l’époque. Cela leur a donné une énorme fortune. Les fondateurs et les derniers diplômés influents des Skull and Bones ont étudié la philosophie et d’autres sujets en Allemagne, où de nombreux enseignants « Illuminés » de premier plan travaillaient. 

Tout ceci correspond à la doctrine n°2 des illuminati :

Les illuminati qui sont dans le corps enseignant des collèges et des universités devront instruire les meilleurs élèves pour les besoins de la cause.


Le Bohémian Club

Le Bohemian Club, créé en 1872 par des journalistes du San Francisco Chronicle et situé à San Francisco en Californie, est l’un des clubs politiques américains les plus fermés du monde. Essentiellement conservateur et regroupant l’élite et des personnes d’influence, il compte quelque 2 000 membres (uniquement des hommes, pour la plupart des Américains, mais également quelques Européens et Asiatiques) qui se réunissent tous les ans lors des dernières semaines du mois de juillet au Bohemian Grove.

Durant l’été 2000, le reporter Alex Jones a infiltré le Bohemian Grove et filmé clandestinement une cérémonie, ce reportage étant destiné à son documentaire, Dark secrets inside Bohemian Grove, lequel est très contesté par la critique. La séquence qui aurait été tournée dans l’enceinte du Bohemian Grove, montrerait un rituel intitulé Cremation of care (« bûcher des soucis ») qui ouvrirait le fameux séminaire de juillet. Sur les plans filmés on distingue un lac artificiel, une statue de hibou en ciment haute de plusieurs mètres (le hibou étant le symbole du club). Des haut-parleurs sont disposés de chaque côté du hibou, donnant l’illusion qu’il parle. La voix enregistrée de l’ancien journaliste Walter Cronkite, membre du Bohemian Club, serait ainsi utilisée. À la fin, une barque contenant un cercueil dérive jusqu’au pied du hibou. Le cercueil contient une effigie d’enfant (un mannequin et non un véritable bébé), qui est alors brûlée sur un bûcher. Selon le réalisateur Alex Jones, cette cérémonie symbolise la disparition des soucis pour les membres du club, et cette analyse rejette a priori l’idée de complot.

source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bohemian_Club


La Rose † Croix est une secte qui se veut très ancienne. Elle s’apparente à la franc-maçonnerie

L’ organisation de la Rose † Croix remonterait, selon certaines sources, à l’Antiquité de l’Egypte ancienne. Cette secte serait capable de transmettre une sagesse précieuse, autrefois transmise par les « maîtres » de génération en génération.

L’organisation de la Rose † Croix remonterait, selon certaines sources, à l’Antiquité de l’Egypte ancienne. Cette secte serait capable de transmettre une sagesse précieuse, autrefois transmise par les « maîtres » de génération en génération. 

Il faut bien reconnaître que la Rose † Croix est en réalité une proche parente de la Franc-Maçonnerie. Son origine est incertaine mais elle serait apparue bien avant les organisations de Francs-Maçons qui datent, pour ces dernières, de l’époque de la construction des cathédrales.

L’emblème de la Rose † Croix est une croix portant en son centre une rose rouge. En raison de cette croix, certains membres prétendent qu’il sont des chrétiens. Mais un vrai chrétien ne sera ni conquis, ni impressionné par ce système philosophique ! Le livre saint des chrétiens est la Bible et ils n’ont nul besoin d’adhérer à d’autres courants spirituels. La Bible est la révélation, par Dieu, de tous les trésors de la sagesse et de la connaissance, selon eux. Tout porte à croire que la Rose † Croix n’est rien d’autre qu’un courant ésotérique ampli de mysticisme et qu’il est beaucoup plus éloigné du catholicisme que les témoins de Jéhovah

La filiation templière

Les tortures des suppliciés les ont fait avouer sans aucun doute des infamies imaginaires suggérées par leurs bourreaux. Il ne paraît pas douteux que la mort de Jacques de Molay, le 23° et dernier Grand Maître de l’Ordre des Templiers, ainsi que celle de ses compagnons ait été l’un des grands crimes de l’histoire politique française. Vraisemblablement, aucun membre de l’Ordre séjournant alors en France n’a échappé au massacre organisé. Certains content des fuites avec des charrettes emplies de pièces d’or mais ce ne sont que des mythes et fables qui ont été colportées par les badauds. Il en est de même de la survivance de l’Ordre et de la continuité clandestine de ses activités.

L’infiltration est partout

Il existe des « loges rosicruciennes » dans la plupart des régions du globe. Cette organisation est très prolifique en publications et il existe même une Université Internationale de la Rose † Croix. En bref, ils sont partout. Et ce n’est que peu dire car les gouvernements, les administrations et les industries sont infiltrés par les rosicruciens.

L’organisation de la Rose † Croix se présente elle-même comme un mouvement pacifiste, fraternel et philosophique. Il n’a rien d’une religion. Mais qu’en est-il de la réalité ?

Le rosicrucianisme comprend toute une série d’initiations occultes, exactement comme c’est le cas dans tout ordre franc-maçonnique. Mais la Rose † Croix s’apparente un peu à des pseudo-religions telles que la Wicca ou le chamanisme. Elle propose à ses membres un art de vivre pour le cœur et l’esprit, c’est-à-dire une certaine philosophie spirituelle. La Rose † Croix va même jusqu’à promettre la connaissance des lois de l’univers et de la nature. On est en plein hermétisme. Ce courant de pensée procure à ses adeptes l’éveil de leur créativité et la connaissance du soi, leur donne la raison et la finalité de leur existence et décuple tout leur potentiel humain. On est donc bien loin de la religion chrétienne ou de l’Ordre du Temple.

DeS adeptes célèbres de la Rose Croix

Pour dresser une liste des membres célèbres de la Rose † Croix, bien entendu, ce ne sont que des suppositions car le principe des sociétés secrètes est d’être secrètes. Les membres ne vont pas proclamer en public qu’ils appartiennent à une organisation occulte. Les illustres personnages qui sont supposés avoir rejoint l’Ordre maçonnique de la Rose † Croix sont les suivants :

Pythagore

Platon

Aristote

Thomas d’Aquin

Copernic

Descartes

Leibniz

Balzac

Les rosicruciens vont même jusqu’à prétendre que Jésus en faisait partie. Mais pas le Jésus qui incarne la religion chrétienne et qui aurait été déifié en tant que Christ. Non, le véritable Jésus, celui qui n’était qu’un simple philosophe de l’Antiquité et qui a été crucifié par les Romains. Cette doctrine n’a rien de nouveau ; elle existait déjà au premier siècle de notre ère. Pour mettre en garde les chrétiens, l’apôtre Jean avait d’ailleurs écrit :

« Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? Celui-là est l’antéchrist, qui nie le Père et le Fils.Quiconque nie le Fils n’a pas non plus le Père. »

Les doctrines rosicruciennes

Le rosicrucianisme défend la thèse de la réincarnation et enseigne que chacun doit passer par différentes incarnations successives avant de parvenir enfin au Paradis et faire partie de Dieu. Il s’agit d’une fusion avec le cosmique, une illumination. Mais la Bible dit exactement le contraire :

« Il est réservé aux hommes de ne mourir qu’une seule fois, après quoi vient le jugement. »

Les rosicruciens ne voient dans la Bible qu’un livre d’une grande valeur mais ne lui attribuent aucune espèce d’autorité. Elle représente pour eux la même chose que le Livre des Morts des Anciens Egyptiens ou le Livre des Connaissances des magiciens. De même que pour les wiccans, Dieu est partout, en toute chose et dans l’air que l’on respire. Il est l’Intelligence Universelle, le Grand Architecte. Ça n’a rien de comparable avec le Dieu des religions monothéistes qui est presque incarné en une entité dotée de parole et d’un corps. La religion pratiquée par les adeptes de la Rose † Croix est donc très proche des religions païennes des celtes et des nordiques. 

Le salut s’obtient par le travail sur soi même. La doctrine de la Rose † Croix est une sorte de technique de développement personnel. Ou alors ce sont les méthodes de développement de soi qui sont des méthodes rosicruciennes. Il s’agit de se purifier du mal et d’atteindre les niveaux supérieurs de la conscience pour finir dans l’illumination cosmique. Le rosicrucien travaille sur lui-même pour mettre en avant les qualités suivantes :

Humilité / Générosité / Tolérance

Une autre chose qui n’a rien d’anormale pour les rosicruciens est de communiquer avec l’esprit des défunts. Ce n’est possible qu’à la seule condition de s’élever à leur niveau et non de les faire descendre sur notre plan d’existence. C’est une différence essentielle par rapport au spiritisme qui s’attache à appeler les esprits pour les faire venir : « Esprit es-tu là ? »

Encore une fois, la Bible met en garde contre ce genre de pratiques quelque peu nécromantiques :

« Ceux qui évoquent les esprits, qui interrogent les morts, et quiconque se livre à ces pratiques est en horreur à l’Eternel. »

Pour les fidèles de l’Ordre, il n’y a ni paradis, ni enfer, ni Diable. Leur philosophie intègre les fondements du yoga et de la pensée positive. Seule les pensées positives peuvent neutraliser les énergies négatives. 

Les rosicruciens pratiquent l’astrologie, la projection astrale, l’hypnose, la télépathie, la perception extra-sensorielle, l’alchimie, l’écriture automatique et tout ce qu’on peut trouver comme pratiques ésotériques. La Bible qualifie ces choses d’ « abominations ». Alors, quand certains rosicruciens voudraient conserver l’appellation de « chrétiens », vous avouerez que c’est plus que « limite » et incompatible. La Rose † Croix est un endoctrinement sectaire et une étude approfondie de ses pratiques pourrait révéler des choses terrifiantes. Car il s’agit bien d’une secte.

Et si ce n’était qu’un canular ?

L’une des plus célèbre sociétés secrètes de l’histoire n’est-elle qu’un simple mythe ? Si l’histoire de ce mystérieux réseau de savants se disant détenteurs de secrets antiques a longtemps relevé de la légende, celle-ci a toutefois fini par devenir en partie réalité et a inspiré des générations de penseurs. Mais si ce n’était en fait qu’une supercherie due à de brillants théologiens ?

C’est de 1614 à 1616, par une série de trois manifestes publiés en Allemagne, que la « Fraternité de la Rose-Croix » révèle son existence au monde. Une bonne partie de l’Europe cultivée se prend alors de passion pour les idées de cet ordre jusqu’alors inconnu. Le premier de ces fascicules, la Fama Fraternitatis, d’abord paru à Cassel, en 1614, doit ainsi être réimprimé à de nombreuses reprises en quelques années. Depuis trois générations, y apprend-on, les frères de la Rose † Croix se transmettent en secret les arcanes de l’alchimie antique – comprendre, précise le texte, l’alchimie au sens noble, l’étude des lois de la nature, et non sa vision étriquée, celle des vils « faiseurs d’or » à la recherche de la pierre philosophale. Or, après 120 ans d’existence, l’Ordre a décidé, en publiant ces écrits anonymes, de se dévoiler à l’humanité, à laquelle elle promet, en lui révélant ses secrets, un « remède suprême», clé de sa libération et de sa régénération spirituelle…

La ficelle semble un peu grosse ? Peu réputé pour sa crédulité, Descartes lui-même, qui se trouve alors en Allemagne, cherche pourtant à entrer en contact avec ces « rosicruciens ». En vain. Et pour cause… Tous les historiens un peu sérieux en conviennent aujourd’hui : les manifestes rosicruciens ne sont que des fictions, des supercheries montées de toutes pièces. Aucune trace, à cette époque, d’une société secrète de la Rose † Croix. Les auteurs de ces textes n’ont pourtant pas des profils de plaisantins : réunis autour du théologien luthérien Johann Valentin Andreae (1585-1654), ce petit groupe d’amis, juristes et théologiens, auquel on a donné le nom de Cercle de Tübingen (une ville universitaire près de Stuttgart), se signale par l’éclectisme et la qualité de son érudition. Ils figurent parmi les meilleurs « alchimistes » de cette Allemagne du début du XVIIe siècle : des savants, généralement protestants, qui, devant l’essoufflement de la Réforme et le déclin du dogme catholique, se prennent de passion pour les traditions ésotériques ayant traversé le Moyen-Age en provenance directe de l’Antiquité. Le canular du Cercle de Tübingen n’est d’ailleurs une plaisanterie qu’en apparence.

Dans son autobiographie, Andreae écrira ainsi :

« C’est l’affaire du christianisme qui me tenait à cœur et je voulais le faire progresser par tous les moyens ; et comme je ne pouvais le faire par des chemins rectilignes, je tentai de le faire par des détours et des pitreries. » 

Les idées rosicruciennes conquièrent l’Europe

La stratégie de communication, misant sur le goût universel pour le secret et le mystère, est parfaite : aussitôt, donc, la Rose † Croix fascine. Son idéal de « Réformation universelle » va occuper bien des beaux esprits. Plutôt que Descartes, ou Leibniz, qu’on a longtemps voulu faire passer, à tort, pour des rosicruciens, son premier porte-parole d’influence est Michael Maier, médecin et conseiller de l’empereur Rodolphe Il, qui publie plusieurs commentaires enthousiastes des manifestes rosicruciens. Après un voyage en Allemagne, le médecin anglais Robert Fludd joue pour sa part un rôle essentiel dans la propagation de ces idées dans les Îles britanniques : elles influenceront beaucoup Francis Bacon au moment de rédiger son roman utopiste La Nouvelle Atlantide  (1622), best seller de l’époque. Et elles investissent même quelques têtes couronnées, comme celles de l’empereur Rodolphe II, de Frédéric V du Palatinat et de Gustave II Adolphe de Suède. Mais si l’idéal rosicrucien conquiert une partie de l’Europe humaniste, désespérée par les guerres de religion et en quête d’un nouveau souffle intellectuel, on ne compte toujours pas, en ce milieu du XVIIe siècle, la moindre société secrète de la Rose † Croix. 

La fable d’Andreae et de ses compagnons va pourtant finir par prendre vie. Au début du XVIIIe siècle, après un léger essoufflement au cours des décennies précédentes, le phénomène rosicrucien renaît de plus belle. Pour la première fois, en 1710, est créé en Allemagne un authentique ordre rosicrucien, celui de la Rose-Croix d’Or, qui essaime dans les grandes villes, puis dans toute l’Europe centrale et jusqu’en Russie. C’est dans ces groupements, à l’organisation toutefois assez lâche, que naît la légende du rôle des Rose † Croix dans dans la naissance de la franc-maçonnerie. 

Un mythe encore vivace

Mais le canular des origines resurgit en 1777, quand deux francs-maçons berlinois, Bischoffswerder et Wöllner, fondent la « Rose-Croix d’or d’ancien système » pour attirer à eux des princes allemands passionnés d’ésotérisme et un brin crédules. Les deux hommes initient notamment l’héritier très mystique de la couronne de Prusse, ravi d’apprendre qu’il intègre une société secrète dont la filiation remonte à Adam lui-même, et impatient de découvrir les secrets qu’on lui promet sur la transmutation des métaux et l’allongement de la vie… Devenu roi de Prusse sous le nom de Frédéric-Guillaume Il, en 1786, il fera de Wöllner son Premier ministre et de Bischoffswerder son ministre de la Guerre. Les deux hommes, après avoir dicté au roi une politique obscurantiste contre les partisans prussiens des Lumières, seront finalement contraints de révéler leur supercherie et de dissoudre leur ordre.

La Societa Rosicruciana in Anglia, créée en 1865 à Londres, par deux francs-maçons, et dont l’accès est réservé à des frères de la Grande loge unie d’Angleterre, est un groupe chrétien travaillant sur les traditions kabbaliste et hermétique, qui, s’il existe toujours aujourd’hui, est plus que confidentiel. Carrément fantaisiste est pour sa part l’ « Antique et mystique ordre rose-croix », créé aux États-Unis en 1915 par le docteur Harvey Spencer Lewis : selon lui, la Rose † Croix est une société millénaire ayant des origines égyptiennes, voire atlantes… Cette société n’en est pas moins la seule à revendiquer aujourd’hui le titre d’ordre « authentique » de la Rose † Croix. Sa doctrine, désormais très New Age, préconise l’accès au divin par la méditation et la prière. À cent lieues du message humaniste délivré en des temps troublés par Andreae et ses compagnons.

Une doctrine très inspirée

Si les sources des premiers manifestes de la Rose † Croix sont multiples et éclectiques, ils se révèlent aussi caractéristiques de la culture des milieux alchimiques de l’époque : offrant une synthèse de traditions antiques, notamment issues de la kabbale juive, du gnosticisme, du néoplatonisme ou de l’hermétisme, sa doctrine puise encore aux sources de la sagesse indienne. 

Elle affirme que tous les individus sont des développements d’un être unique, la Monade ; l’homme, déchu de la divinité par sa révolte, doit la retrouver par l’extase et par le respect d’une vie saine, toute d’esprit et d’amour : la droiture, la lutte contre les tendances mauvaises, l’intégrité de l’esprit, l’austérité des mœurs, la charité et la justice… permettent au rosicrucien accompli d’entrer dans le cœur humain du Saint-Esprit, qui unit l’homme à Dieu et lui confère ses dons – les « Maîtres inconnu », membres les plus savants de la confrérie, sont ainsi censés disposer de la Science totale, de la Pierre philosophale et de l’art de prolonger la vie indéfiniment… Au terme d’une « Réforme universelle », religieuse et sociale, les rosicruciens promettent en tout cas un retour à l’âge d’or de l’humanité.

sources : Extrait d’un texte de Charles Giol, agrégé d’histoire et diplômé du Centre de formation des journalistes, auteur entre autre de : De Jaurès à Hollande. Histoire de France de 1914 à nos jours. Il collabore à différents journaux tels que l’Express, Sciences et Avenir, et le Nouvel Obs.

Une des branches les plus importantes des Illuminati en Allemagne fut celle des Rose-croix, ordre mystique introduit par l’empereur Charlemagne au début du IXème siècle. La première loge officielle fut créée à Worms en 1100 apr. J.-C. Les Rose-Croix se permirent d’affirmer qu’ils connaissaient l’origine (extra-terrestre) de l’homme ainsi que les doctrines ésotériques de l’Égypte. Ils devinrent célèbres grâce à leur travail sur les symboles mystiques et sur l’alchimie. Il y avait un lien si étroit entre les Rose-Croix et les Illuminati que le fait de monter dans les grades secrets d’initiation chez les Rose-Croix avait souvent pour effet d’être admis chez les Illuminati.


Le Golden Dawn

L’ordre hermétique de La Golden Dawn était une société magique fondée en 1888 par W. Wynn Westcott, un médecin londonien. Elle s’apparente à la Rose-Croix.

À la différence des ordres maçonniques classiques, la Golden Dawn est très orientée vers la magie et la Kabbale hébraïque. On y trouve également des rites égyptiens. Elle s’intéresse aux rites énochiens et à la magie rituelle au même titre que la wicca. Elle aborde les domaines de l’alchimie et de la philosophie cosmique. C’est une société secrète très complète au niveau ésotérique et ses membres ont mené de nombreuses expériences mystiques et les dirigeants ont réalisés beaucoup de publications.

Westcott était déjà le mage suprême de la Societas Rosicruciana In Anglia (S.R.I.A), mais, ayant constaté que ses connaissances ésotériques et en magie étaient trop vastes pour l’ambition de cette petite société rudimentaire, il décida de fonder une autre société secrète de plus grande envergure. La S.R.I.A. était en effet limitée aux francs-maçons du 3ème degré et a été conçue pour faire appel à ceux qui estimaient que leurs enseignements à la Royal Arch n’avaient pas assez de tradition magique. Même si la S.R.I.A. avait fait un bond dramatique dans la direction magique par rapport à la franc-maçonnerie traditionnelle, il y avait encore un mur entre elle et le concret que pratiquent les authentiques occultistes. 

Naissance de la Golden Dawn

C’est avec l’aide de Samuel Liddell « MacGregor » Mathers que Westcott a formulé tout un système d’occultisme basé sur la mystique hébraïque et divers articles de la littérature philosophique. Ce système était centré sur les traditions magiques et religieuses de plusieurs pays à travers les âges, mais il a été construit autour de quelques manuscrits mystérieux de chiffrement d’origine obscure. Ces manuscrits ont donné les contours squelettiques d’une série de rituels classiques; Sur cette base, La Golden Dawn est née.

Mais selon Ellie Howe (un franc-maçon notoire), Westcott étaient une personne qui « vivait dans son monde fantastique à lui ». Il était très certainement nostalgique, sans doute inconsciemment, d’une vie antérieure dans laquelle il aurait put être un acteur ou un prêtre. En effet, il avait un penchant très marqué pour les déguisements en robes (telle que les robes du Magus suprême de la Societas Rosicruciana In Anglia, … ). 

Une propagation mondiale

Très vite, la Golden Dawn reçoit un énorme succès et ouvre des loges (temples) un peu partout dans le monde. En raison de cette fragmentation mondiale, il n’y a toujours pas de tête unique de l’Ordre, et il ne semble pas qu’il y en ait une seule un jour.

Jusqu’à sa mort en 1985, Israël Regardie était considéré comme la figure principale dans le mouvement Golden Dawn en raison de ses révélations passées. Bien qu’il n’ait pas commencé un temple américain, il a initié un peu dans la classe 5 = 6 dans l’espoir qu’ils pourraient continuer la tradition de la Golden Dawn après sa mort. Cependant, bien qu’il ait donné cette note de l’Ordre Intérieur, il n’a pas enseigné la théorie qui l’accompagnait. Bien que certains de ces individus ont fondé leurs propres temples, les trois anciens chefs d’un temple de Los Angeles affirment qu’en ce qui concerne les instructions rituelles, l’apport de Regardie était très mineur ou inexistant. 

source : http://www.dramatic.fr/golden-dawn-p389.html


Les dérives de la Loge P2

La révélation, dans les années 1980, des activités mafieuses de ces francs-maçons dissidents, hommes de pouvoir farouchement anticommunistes, a scandalisé l’Italie.

En mars 1981, une loge maçonnique fait les gros titres de la presse italienne. Au cours d’une enquête sur un scandale financier, la police effectue une descente dans la villa toscane de Licio Gelli, personnalité trouble et « maître vénérable » de la Propaganda Due – alias la « P2 ». Outre deux millions de dollars en lingots d’or, la perquisition révèle un document qui intrigue les enquêteurs : la liste des 962 adhérents de la loge, recensant un nombre incroyable de personnalités de premier plan. Parmi elles, on trouve notamment tous les chefs des services secrets italiens, près de 200 officiers de haut rang, 44 sénateurs ou députés, trois ministres, des hauts fonctionnaires, des hommes d’affaires, ou encore de nombreux dirigeants de journaux… Aussitôt, la presse annonce la mise au jour d’un véritable État dans l’État. Le feuilleton de la P2 ne fait que commencer.

La naissance de la loge P2

Ses origines remontent à 1877, quand le Grand Orient d’Italie crée la loge Propaganda Massonica, destinée à accueillir des personnalités qui ne peuvent pas fréquenter les « ateliers » avec assiduité. Censés promouvoir les valeurs des fils de la Veuve dans la société italienne, hommes politiques et aristocrates intègrent cette loge qui, au sein de la société « discrète » qu’est la franc-maçonnerie, se veut d’emblée particulièrement secrète.

Au début des années 1920, ses efforts sont ruinés lorsque Mussolini interdit la franc-maçonnerie. Après la guerre, elle doit servir de colonne vertébrale à la reconstruction du Grand Orient d’Italie – qui numérote alors ses loges, attribuant le numéro deux à celle qui se nomme désormais « Propaganda Due ». Mais elle ne retrouvera pas son élan originel avant 1971. Cette année-là, Licio Gelli, homme d’affaires toscan né en 1919, qui fréquente la P2 depuis 1967, parvient à se faire nommer au grade – inédit dans la tradition maçonnique – de « secrétaire de l’organisation » de la loge.

La personnalité de Licio Gelli et la « Loge Noire »

Adhérent de plusieurs groupes néofascistes, enrichi dans la vente d’armes et de pétrole, Licio Gelli recrute de nouveaux frères à son image : des hommes d’influence partageant un anticommunisme viscéral gonflent vite les rangs de la P2.

Cette nouvelle orientation déplaît fortement au Grand Orient d’Italie. En 1974, la Grande Loge extraordinaire de Naples dissout la P2. Mais Gelli ne s’en laisse pas compter. Dès l’année suivante, il la recrée en toute indépendance : la Propaganda est dorénavant ce qu’on appelle une « loge pseudo-maçonnique » ou « loge noire ». C’est devenu une loge dissidente qui n’a plus aucun lien avec le Grand Orient d’Italie.

Noires sont en effet ses activités, comme l’opinion le découvrira au cours de la décennie suivante. La P2 se spécialise d’abord dans les affaires véreuses. Puis, le 9 mai 1978, Aldo Moro est retrouvé mort dans le coffre d’une voiture à Rome. Le nom de Gelli est déjà mis en avant. La P2 est aussi impliquée dans le scandale de la faillite de Banco Ambrosiano, l’une des principales banques milanaises, et attire sur elle l’attention de la justice. Roberto Calvi, le directeur de cet établissement, lui-même membre de la P2, pratique une gestion pour le moins occulte. Nouant des liens avec la Mafia, arrosant les partis politiques, il creuse, avec l’aide active de ses « frères », un déficit de plus d’un milliard de dollars. Il est surnommé le « banquier du Pape ». C’est en enquêtant sur lui que la justice remonte, en 1981, à Gelli, et commence à cerner, grâce à la liste de ses membres, l’influence occulte de la P2.

Un gouvernement de I’ombre qui préparait un coup d’État…

En 1982, les enquêteurs font une nouvelle découverte de choix : dans le double-fond d’une mallette appartenant à Gelli, ils trouvent un document intitulé Plan de la renaissance démocratique. Les chefs de la P2 y exposent un projet politique pour l’Italie. Désignant comme principaux ennemis le Parti communiste italien (PCI) et les syndicats, ils appellent de leurs vœux une « démocratie autoritaire », fortement marquée à droite. La presse s’emballe aussitôt : la loge serait donc un « gouvernement de l’ombre » réactionnaire, préparant un coup d’État en cas de victoire du PCI.

Les révélations qui vont s’enchainer au fil des années 1980, toujours plus scandaleuses, ont de quoi alimenter les soupçons. La justice découvre tout d’abord que la P2 arrosait les partis conservateurs à coup de milliards de lires ; puis on apprend que le changement de ligne éditoriale du Corriere della Sera, le grand quotidien italien, qui avait subitement viré à droite en 1977, était en fait dû à la prise de contrôle du journal par Gelli et ses amis. 

L’attentat de la gare de Bologne

La stupéfaction culmine lorsqu’une enquête judiciaire révèle l’implication de la P2 dans le sanglant attentat de la gare de Bologne, qui avait fait 85 morts et plus de 200 blessés, en août 1980. Les recherches démontrent aussi comment les services secrets – dont les chefs appartenaient tous à la P2 – avaient effacé toutes traces du rôle de Gelli et de ses frères dans l’attentat qu’ils avaient sans doute eux même organisé, dans l’espoir de faire accuser la gauche pour la décrédibiliser.

Jugés à plusieurs reprises, Gelli et les principaux responsables de la P2 sont condamnés pour malversations financières, entrave à la justice et divulgation de secrets d’État. Les juges écartent en revanche toutes les accusations de terrorisme et de complot contre l’État, alimentant dans l’opinion l’idée que les accusés conservent de nombreuses protections.

Licio Gelli a vécu de nombreuses années dans sa villa d’Arezzo, dans laquelle il était assigné à résidence. Il est mort le 15 décembre 2015 à l’âge de 96 ans. En 2003, dans une interview à La Republica, il s’est déclaré ravi que Silvio Berlusconi – qui figurait sur la fameuse liste des 962 membres de la P2 –, en renforçant le contrôle du gouvernement sur la justice et les médias, ait pu réaliser une partie du fameux Plan de la renaissance démocratique…

Auteur : Texte de Charles Giol, agrégé d’histoire et diplômé du Centre de formation des journalistes, auteur entre autre de : De Jaurès à Hollande. Histoire de France de 1914 à nos jours. Il collabore à différents journaux tels que l’Express, Sciences et Avenir et le Nouvel Obs. On le voit souvent en compagnie de Caroline Brun, la Présidente de l’Agence Forum News. Forum News est une agence de presse qui fournit du contenu journalistique clé en mains à la presse écrite, audiovisuelle ou numérique.

Histoire de Franc-Maçonnerie, temple Salomon, Templiers, loge P2

Le nombre 666

Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. 

Cet extrait du livre de l’Apocalypse de l’apôtre Jean (Nouveau Testament) met en lumière ce « nombre d’homme » utilisé dans les milieux satanistes. Notons, par ailleurs, que cet extrait se trouve au 18e verset (18 = 3 x 6) du 13e chapitre (le nombre 13 étant porte-malheur, ou bonheur, par excellence). 

Le chiffre correspond également au résultat du calcul numérique du « carré magique » ou « sceau du Soleil » : l’addition des 36 premiers chiffres (1 + 2 + 3 + … + 36 = 666). 

Le chiffre 666 peut également être trouvé en faisant la somme de tous les chiffres romains, du plus petit au plus grand :

I + V + X + C + L + D = 

1 + 5 + 10 + 50 + 100 + 500 = 6 6 6 

Il est la représentation numérique du Mal et du Diable, très souvent arborée par les adeptes du satanisme

La représentation du diable

Le diable est souvent symbolisé par des symboles inversés : la croix inversée par exemple.

Si on considère que le nombre 999 représente la fin de tout, l’apocalypse, la fin du monde, alors il est aisé de symboliser cette fin diabolique en la retournant. Et 999 à l’envers devient 666 : le nombre du diable.

Les nombres et les croyances

Outre le nombre 666 il existe également d’autres nombres qui sont d’une grande importance dans les croyances populaires.

Une considération particulière est donnée au nombre treize qui est connu depuis l’antiquité et constitue le nombre le plus important dans la religion de la Wicca

La tradition dit aussi que le septième fils d’un septième enfant ou que la septième fille d’une septième fille sera un sorcier ou magicien ( Seventh Son of a Seventh Son ). 

Il y a aussi l’ancienne croyance qui veut que quelques années de vie d’une personne se révèlent d’une grande importance ou ont une forte influence sur le reste de la vie de cette personne. Ces années sont les septième et neuvième et leurs multiples par des nombres impairs 3, 5, 7 et 9.

Chez les Druides et les Celtes, le numéro trois jouissait d’une signification particulière et était considéré comme l’équilibre entre deux extrêmes. Les druides sont même allés jusqu’à exprimer leurs connaissances en triades. Le symbole des druides était le Tribann, ou les Trois Rayons de Lumière, cette croyance dans le trèfle étant symbolisée longtemps avant que St. Patrick l’utilise pour expliquer la doctrine Chrétienne.

L’importance des nombres et la relation entre certains d’entre eux et les planètes apparaît également :

Soleil : 1

Lune : 2 et 7

Jupiter : 3

Mercure : 5

Vénus : 6

Saturne : 8

Mars : 9.

source : http://www.dramatic.fr/blog/le-nombre-666-b84.html


Lucifer fait référence aux termes latins « lux » (lumière) et « ferre » (apporter) : Lucifer serait donc le « porteur de lumière ». Lucifer était le nom utilisé par les astrologues romains pour désigner la planète Vénus, l’« Étoile du Matin ». Des querelles de spécialistes et d’exégètes existent quant à la nature de Lucifer : doit-il être rattaché au Mal (il serait un ange déchu) ou renvoie-il plus simplement à un roi babylonien ayant combattu les Hébreux ?

Diverses organisations de base, de milieu et de front seraient actives dans la promotion et l’établissement du Nouvel Ordre Mondial dont le Maitreya serait déclaré le leader. Les organisations de base mentionnées dans diverses sources sont de nature luciférienne. Leur objectif final est d’adorer Lucifer et de soumettre le monde entier à son autorité directe.

David Spangler, Directeur de l’Initiative Planétaire, Nations Unies : « Personne n’entrera dans le Nouvel Ordre Mondial à moins qu’il ne prenne l’engagement d’adorer Lucifer. Personne n’entrera dans le Nouvel Âge à moins qu’il ne prenne une Initiation Luciférienne.« 

Luciférisme traditionnel et luciférisme orthodoxe

Lucifériens et sataniques ne s’apprécient guère et mettent d’abord en avant leurs différences. Les adeptes du « porteur de lumière » affirment que Lucifer est un être bien plus positif que Satan

Certes, les disciples de Lucifer – qui sont également panthéistes – ne se rattachent pas au culte de Satan, ni aux enseignements laveyens ; pourtant, des similitudes existent, légitimant leur inscription dans le courant du satanisme. Tels les sataniques, ils vouent un culte à une divinité cornue supérieure souvent rattachée au Mal (Lucifer a été chassé par Dieu pour lui avoir désobéi). Tels les sataniques, ils dénoncent le « Créateur » (ou « Démiurge ») comme l’ennemi et le bourreau des hommes. Tels les sataniques, ils sont fortement contestés et suscitent frayeurs et inquiétudes, et s’inscrivent dans un courant doctrinal déconsidéré tant par les croyants que par les athées ou agnostiques. Et tels les sataniques, ils mettent en pratique des rituels et des cérémonies marginales inspirés de la lecture d’ouvrages fondateurs.

Les spécialistes du culte de Lucifer distinguent deux types de luciférisme (ou lucifellisme ou luciférianisme). Tout d’abord, la doctrine luciférienne orthodoxe. Cette doctrine est un système de croyances porté par des adeptes vénérant le personnage de Lucifer et les qualités qui lui sont propres. Ce système repose sur des héritages et sensibilités divers : le gnosticisme (qui met l’accent sur le dualisme de l’univers et le caractère maléfique du Démiurge), le schisme de l’évêque italien de Cagliari, Lucifer Calaritanus (les « lucifériens », disciples de cet évêque, étaient opposés aux tenants de l’arianisme, courant de pensée chrétien fondé par Arius au IVe siècle) et le luciférianisme traditionnel. 

La doctrine orthodoxe du luciférisme se rattache principalement à cette approche traditionnelle, où Lucifer est défini comme une entité spirituelle ou comme la personnification et le symbole de la sagesse et de la connaissance. Déchu pour avoir apporté la connaissance (« la lumière ») aux hommes, tel un nouveau Prométhée (son surnom est celui de « porteur de lumière »), Lucifer fait l’objet de cérémonies d’adoration ou de vénération. Il est ainsi décrit comme le plus bel ange et le plus puissant d’entre eux. Les adeptes lucifériens, qui attendent le retour de leur messie, mettent en pratique, dans le cadre de leur culte, une nudité totale symbole du caractère égalitaire de chacun des membres.

Les lucifériens et la Wicca

Le luciférisme traditionnel a aujourd’hui pratiquement disparu pour faire place à une doctrine luciférienne wiccane. Le wiccanisme, dont les tenants se disent héritiers des sorciers et sorcières brûlés sur les bûchers, est une mouvance de sorcellerie fondée au milieu du XXe siècle par le Britannique Gerald Brosseau Gardner, ancien fonctionnaire douanier, passionné d’occultisme (proche des rosicruciens et de la théosophie) et auteur de divers ouvrages popularisant les pratiques de néo-sorcellerie (comme le Livre des Ombres ou Witchcraft Today).

Le contact entre lucifériens et Wicca s’est réalisé en France dans les années soixante-dix au mépris des craintes des plus orthodoxes d’un côté comme de l’autre. Aujourd’hui, les deux branches ont quasiment fusionné. De cette fusion sont nés de multiples groupes, aux sensibilités diverses, à l’image de l’Église philosophique luciférienne ou du Cercle initiatique de la Licorne occidentale. Le rapprochement s’est fait à partir de pratiques et croyances communes. Les lucifériens ont repris du wiccanisme son goût pour la magie blanche et le personnage de Lilith, perçu comme l’égal féminin de Lucifer. Le wiccanisme développe en effet un panthéisme structuré autour d’une déesse et d’un dieu dont les multiples divinités païennes ne seraient que des facettes. Les lucifériens wiccans tendent ainsi à considérer que ces deux divinités seraient en réalité Lucifer et Lilith, le masculin et le féminin, égaux et complémentaires.

La doctrine luciférienne wiccane place la sexualité au centre des pratiques et des dogmes : ainsi, les articles 28 à 33 du règlement intérieur de la Wicca, préconisent à tout « néophyte de découvrir son complément astral, de sexe opposé, au cours d’un baptême mineur ou majeur », ce baptême étant l’occasion de « concilier les forces supérieures de Lilith, Diane et Lucifer » en ayant des « relations sexuelles avec celui ou celle qui travaillera en sa compagnie ». 


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